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  • « Bravo et merci ! » par Blues Mag
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    « Après un premier coffret consacré à la décennie des débuts de Muddy, Gérard Herzhaft présente une anthologie dédiée à la suivante. Cette remarquable (pléonasme quand il s’agit de parutions Frémeaux) réalisation est, en sus, nantie d’un livret clair, net et précis, à la portée de tous, expliquant simplement le passage de Muddy d’une musique rurale du Delta avec accompagnement restreint à un Blues musclé et électrifié avec groupe complet dès 1953. De plus, cerise sur le gâteau, on a droit à une photo d’un Herzhaft jeune avec le maître. Les amateurs de Blues et des racines du Rock’n Roll (Mannish Boy, Baby Please Don’t Go, Hoochie Coochie Man, Got My Mojo Working entre autres) seront déjà familiers avec les titres de la période et se régaleront à leur écoute. Bravo et merci ! »Par Bernard BOYAT – BLUES MAG

  • « Authentique… » par Vibrations
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     Bien avant que la formidable série de David Simon ne le fasse connaître au monde entier, le quartier néo-orléanais de Treme avait sa fanfare homonyme, ici captée live en studio en 1990, en plein revival funky. Aucun artifice, un son brut de décoffrage et ces fameuses lignes de cuivres qui se croisent, se frottent et se carambolent dans une harmonie miraculeuse. Le répertoire est classique mais l’énergie formidable. Sauf à faire le déplacement in situ, difficile de trouver plus authentique en matière de brass band…Par Bertrand BOUARD - VIBRATIONS

  • « Une antichambre roots du DDBB » Par Soul Bag
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    Paru initialement sur le label Sound of New Orleans en 1992 , cet enregistrement fait la part belle à cette véritable antichambre roots et traditionnelle du Dirty Dozen Brass Band. Les prestigieux Roger Lewis et Kirk Joseph respectivement sax baryton et tuba du DDBB en ont fait partie à l’instar de la famille Andrews (James, le trompette ainé, Troy alias Trombone Shorty et Glen David, le cousin extraverti). Le « Back o’town blues » de Luis Russell et de Louis Armstrong souligne les qualités vocales du regretté « Uncle » Lionel Batiste.Par Stéphane COLIN – SOUL BAG

  • « Tremé incarne la tradition » par Jazz News
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    Depuis la série de HBO, le quartier qui jouxte le Carré Français, est devenu un passage touristique obligé. Mais avant de devenir cette caricature, en proie avec la gentrification, Tremé fut l’âme de la ville, l’antichambre où nombre de musiciens ont grandi. Trombone Shorty fut ainsi formé dans les rangs de son brass band. Et c’est d’ailleurs un autre Andews (grande lignée) que l’on retrouve à la coulisse de cet enregistrement de 1990. A l’époque, alors que l’heure est au renouveau des brass Bands, avec le Dirty Dozen pour mener la danse, celui de Tremé incarne la tradition, ce nécessaire lien qui fait la vitalité de la ville. Et dans le genre, la bande drivée par Lionel Batiste, tambour majeur et pilier de Tremé, en donne une version conforme. Jacques DENIS – JAZZ NEWS

  • « Une plongée dans le blues ancien » par Soul Bag
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    Un disque d’Elmore D, accompagné de son Band, dont Big Dave à l’harmonica, et d’invités comme le spécialiste du piano blues traditionnel Christian Rannenberg, c’est l’assurance d’une plongée dans le blues ancien, sinon par le répertoire, du moins par l’approche musicale. Bumble Bee Slim, Big Bill Bronzy, Tampa Red, Washboard Sam, Walter Davis, Jazz Gillum, Buddy Woods côtoient Larry Williams et Elmore lui-même qui compose superbement dans son style de prédilection. En ouverture, Végn’ tot chal est un lazy blues avec une femme qui s’en va et des bouteilles à partager. Confessin’ the moûse est un très beau blues en tempo moyen mettant en valeur le piano de Christian Rannenberg et la guitare slide du leader. Li spér est un « boogie two step » très dansant, avec des paroles très savoureuses. Sûr de son sujet, Elmore effectue des reprises comparées de versions concurrentes d’une même chanson comme Sloppy drunk et Sloppy drunk again ou Roll dem bones (magnifique reprise) et Roll them bo [...]

  • « Comme une bonne bière… » Par Blues & Co
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    De son vrai nom Daniel Droixhe, Elmore D vient de sortir son sixième disque depuis son entrée en studio en 1997. Le belge de Herstal près de Liège a l’art de composer ses chansons en dialecte wallon avec un certain humour sous forme d’anecdotes et de vécus. Pour ce dernier opus, il explique : « comme dans mes albums précédents, des souvenirs personnels sont évoqués aux limites du bavardage ». Ce bluesman est aussi un sentimental ; Il ajoute de la nostalgie et des regrets sur « Back to Hèsta » : où vécurent ses parents. L’intègre et désintéressé sexagénaire du blues, droit dans ses bottes, continue peinard, au gré du vent, des rencontres, son chemin et sa passion depuis plus de quarante ans. Il est entouré suivant les circonstances, de musiciens très compétents et soudés. Parmi eux, le fiston Gilles à la guitare électrique et acoustique ainsi que de deux pianistes dont Christian Rannenberg qui excelle dans « New Orleans stop time »de Bumble Bee Slim. Sont abordés Big Bill Bronzy, T [...]

  • « Au rang d’œuvre à part entière » Par L’enseignement
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    Trente comédiens, une partition musicale originale, des bruitages… Lorsqu’il bénéficie de tels moyens, le livre audio atteint au rang d’œuvre à part entière. Ce « Comte de Monte-Cristo » nous ramène aux grandes heures dramatiques radiophoniques. Avec son récitant prestigieux, (ici, Francis Perrin) et ses comédiens de l’ombre qui, jouant de leur voix, se chargent chacunde deux ou trois petits rôles. Une astuce autorisée par l’absence d’images qui constitue un autre atout : contrairement au spectateur d’un film ou d’un téléfilm, l’auditeur - comme le lecteur – a tout loisir d’imaginer les visages du héros et des personnages qui s’agitent autour de lui. Sans compter que l’écoute étant aussi exigeante en concentration que la lecture, le livre audio pourrait être une bonne manière de faire « lire » ceux qui croient qu’ils n’aiment pas ça. On peut, pour commencer, se jeter à l’eau avec Edmond Dantès. A lui, ça a plutôt bien réussi…Par R.T. – L’ENSEIGNEMENT

  • « Une magnifique pièce de collection » par Blues & Co
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    La suite des aventures de Muddy au pays du blues par Gerard Herzhaft, l’érudit qu’on ne présente plus… Descendu de son tracteur Muddy Waters va électrifier (dans tous les sens du terme) le blues et devenir l’un des montres sacrés de la longue histoire de celui-ci. Ce superbe triple coffret, magnifiquement réalisé, comme d’hab. par Frémeaux & Co nous trimballe au fil des années 51-61, les années des « Hoochie coochie man », « Got my mojo working » ou « Manish boy », etc…. dix ans de l’histoire du blues musclé et dopé à l’électricité, une révolution qui marquera des rosbifs comme les Rolling Stones. Un son superbe et un livret magnifiquement écrit et illustré font de ce coffret une magnifique pièce de collection.Par BLUES & CO

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