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  • « Superbe ! » par La Revue des médiathèques
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    « Avec cette fausse « traîtrise » au tango traditionnel, le bandonéiste Juanjo Mosalini et le guitariste Adrian Fioramonti composent surtout un album métissé, qui s'appuie sur la tradition pour leur offrir la liberté de jouer. Du coup, l'imaginaire se développe, empruntant au rock comme au jazz. Superbe ! »Par Pierre DENUIS – REVUE DES BIBLIOTHEQUES ET MEDIATHEQUES MUSICALES

  • « Doit-on rappeler l’importance du catalogue Frémeaux ? » Par Vinyl
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    (…) Nos indispensables Frémeaux & Co enfoncent le clou avec un autre double CD de 47 titres couvrant la période 1955-1961. On y retrouve à nouveau le rarissime premier 25cm de Nougaro publié chez Président en 1959 (Il Y Avait Une Ville, Vachement Décontracté, etc) avec, aux compos, Michel Legrand, Jimmy Walter, Henri Salvador ou Gerry Mulligan, mais surtout quantité d’artistes - connus ou pas – interprétant les chansons du Toulousain bien avant qu’il ne se décide à le faire lui-même : Philippe Clay (9 titres), Marcel Amont (3 titres), Jean Constantin (2 titres, dont les célèbres Pantoufles à Papa), Colette Renard, Lucette Raillat, Jacqueline François, Jocelyne Jocya (cf. V49), Pierrette Bruno, Lucienne Delyle, Richard Anthony (j’ignorai qu’il avait chanté Nougaro) et beaucoup d’autres qui me sont quasi inconnus... Comme c’est l’usage chez ces véritables professionnels de la sauvegarde du patrimoine, le tout est servi avec un très riche livret bilingue de 24 pages. L’auteur, Olivie [...]

  • « De belles choses » par Django Station
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    « C’est toujours un plaisir de voir paraître un disque de Gus Viseur, car si le swing manouche connait depuis quelques années déjà le succès que l’on sait, il n’en est pas de même du swing musette et les héritiers de Gus Viseur ou Tony Muréna ne sont pas légion. (…) Il y a tout de même de belles choses (comment pourrait-il en être autrement avec un musicien de la classe de Viseur ?), comme ce Gus blues de 43 par exemple avec Robert Mavounzy au sax et Matelot Ferret et Gaston Durand aux guitares (ce que ne précisent pas les liner notes). Après guerre, ce n’est plus du jazz ; le temps du swing est révolu et à part quelques belles valses (A tout va, Quinte floche avec Baro et Matelot cantonnés à la pompe ou Quinze mai, avec Matelot et André Lluis), le répertoire alterne succès de la chanson et musiques dites typiques ; bref on est dans le registre de la musique de danse ou d’ambiance. Le disque se termine d’ailleurs sur Be bop polka, en duo avec Loulou Legrand, plus polka que be bop [...]

  • « L’âge d’or du swing musette parisien » Par Django Station
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    « Avec Gus Viseur et Jo Privat, Tony Muréna fait partie des grands rénovateurs de l’accordéon jazz. Sans doute moins virtuose que Viseur, et moins tzigane que Jo Privat, il n’en fit pas moins une brillante carrière de jazzman, carrière hélas un peu occultée par ses derniers enregistrements, plus nombreux, cédant à la mode du musette populaire. En revanche, la copieuse sélection en 3 CD brillamment réunie ici par Francis Couvreux ne propose que du bon ! Centrée sur les années 39-49, sorte d’âge d’or du swing musette parisien, elle permet de (re) découvrir dans l’ordre chronologique le meilleur des titres de Tony Muréna. Bien plus qu’une énième compilation d’accordéon swing, le coffret s’accompagne d’un généreux livret de 24 pages (français/anglais) retraçant la vie et l’œuvre du musicien : photos rares parfois issues de collections privées et références d’enregistrement et d’intervenants (quand elles sont identifiées) complètent le bel objet. Au delà de l’exceptionnel accordéoniste [...]

  • « Un moment musical d’une rare intensité » Par Isabelle Albouker
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    « Ces jeunes chanteurs, par la qualité de leur voix, l’étrangeté de certains sons, une dynamique et une pulsation constante offrent à leur public médusé et conquis, comme je l’ai été, un moment musical d’une rare intensité. » Par Isabelle ALBOUKER (COMPOSITEUR)

  • « La singularité de la Nouvelle Orléans » par Tean
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    Au moment ou de nouveau une catastrophe naturelle révèle à l’Amérique « post raciale » en pleine campagne présidentielle à quel point personne n’est encore égal devant un ouragan, ce double CD nous rappelle la singularité de la Nouvelle Orléans, cité unique et emblématique des traumatismes de l’histoire des USA. C’est ainsi dans la ville créole, parmi les communautés d’esclaves et noirs libres, qu’est apparue la « contre-culture » vaudou, réminiscences africaines aux multiples facettes qui trouvera naturellement son chemin dans le rythm’n blues, le jazz et évidemment le rock n’roll. Libérée et sexuelle, débarrassée dans l’expression artistique de ses oripeaux religieux, Screamin’ Jay Hawkins (idolâtré par Gainsbourg), Muddy Waters, Bo Diddley ou Billy Holiday lui rendirent l’hommage érotique et émancipateur qu’elle méritait.Par King MARTOV - TEAN

  • « Un achat incontournable »par Blues & Co
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    Il a inventé le Bo Diddley Beat dit aussi le Jungle beat qui inspirera de nombreux groupes pop des années sixties : Rolling Stones, Pretty Things… voire même l’illustre Buddy holly. Ses sources viennent de divers horizons : blues, rhythm and blues, bien entendu, mais aussi du hillbilly, gospel, calypso des caraïbes et d’un courant musical des côtes de l’ouest africain. D’après les écrits de Bruno Blum dans le livret accompagnant le coffret de trois disques ce serait son bassiste Roosevelt Jackson qui lui suggérera de changer son nom Ellas McDaniel en Bo Diddley : surnom qui évoque un homme de petite taille aux jambes arquées (Bow legs) et le Diddley Bow qui est un instrument de musique à une corde montée sur un arc ou accroché à un mur  sur lequel on fait glisser un goulot de bouteille. Cette idée sera adoptée par le boss Leonard Chess. Sur les soixante quatre titres judicieusement sélectionnés, vous retrouvez les principaux classiques des années 1955 à 1960 « I’m a man » qui sera [...]

  • « Un grand moment de pureté musicale » par Classica
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    Ce disque étonnant voit Cesarius Alvim jouer avec lui-même tenant simultanément le piano et la contrebasse grâce au procédé du re-recording. Il est dédié au pianiste Martial Solal qui déclare à son propos : « Quand on parle de Cesarius Alvim ou qu’on entend sa musique, on sait tout de suite que l’on a affaire à quelqu’un d’une très grande sensibilité, qui transparait immédiatement dans son approche instrumentale et dans ses compositions » ; il est également dédié au contrebassiste Eddie Gomez, qui fut celui de Bill Evans, dont les paroles concordent : « Ce nouveau CD est magnifique. Il va droit au cœur, du début à la fin, empli de douces et tendres mélodies qui chantent et brillent ». Qu’ajouter après ces deux maîtres ? Que depuis Rue de Lourmel avec Jean-Pierre Mas, Cesarius Alvim n’a cessé d’être poète. Que sa musique chantante, si personnelle, si rare aussi, ouvre des espaces sonores dont la clarté bienveillante, les coloris chatoyants, n’ont jamais failli à la qualité élégiaqu [...]

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