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  • The result is nothing short of exquisite by Driftwood Magazine
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    "The tango has had a long history in Finland, dating back to the World War I era, although the Finns took the genre in directions that were quite foreign to the Argentinian and Uruguayan traditions. For example, the Finnish tangos are mostly performed in minor keys, and the main instrument is usually the accordion rather than the bandoneon. Anyone seeking to find out more about the history of Finnischer Tango should seek out two superb (albeit hard-to-find) compilations bearing that name on the German Trikont label. Another option is to seek out an excellent recent example of the genre: The sextet known as Tango-Orkestri Unto, named after Finnish tango composer Unto Mononen, is led by pianist-arranger Timo Alakotila (a founding member of JPP) and includes singer Pirjo Aittomäki, well-known Finnish accordionist Johanna Juhola, violinist Mauno Järvela (also of JPP), and the bassist from Värttinä. Besides compositions by members of the group as well as by Mononen, the album (the gro [...]

  • Miraculeux ! par Le Journal de Montréal
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    "Avec cette édition spéciale rentrée de votre cahier week-end, une nouvelle saison artistique s'ouvre, et autant la commencer du bon pied. En provenance des voutes dorées de la maison de disques Frémeaux & Associés qui réalise des "petits miracles" à moindres coûts, revisitons l'une des plus belles machines du jazz : les Jazz Messengers avec comme saint patron le batteur Art blakey. Grâce à un livret qui se lit comme un roman, Alain Gerber pour l'histoire des Jazz Messengers et Alain Tercinet qui saisit toute l'importance du message jazz, nous voilà parti sur les routes de l'aventure. Avec une précision d'horloger, les deux complices démarrent avec le Horace Silver Quintet, cofondateur résolument "funky" d'une bande de jeunes joups, puis passage de flambeau à ùaître Art, qui offre une plateforme inespérée à ceux qui feront en sa compagnie la bougie d'allumage du hard-bop des années 50-60. Coulé dans le blues et le gospel, pour contredire un certain jazz cool, voici donc les Donald [...]

  • Séance où l’élégance rime avec la pertinence Par Jazz News
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    "Le label de Vincennes documente depuis un bail le vaste territoire du Brésil, à travers des compilations thématiques mais aussi des rééditions. Dernière en date, celle de ce trio éphémère, dont l’unique disque fut produit en 1968 par Yves Chamberland et publié par Saravah, le label de Pierre Barouh. Fernando Martins au piano, Edu Lobo à la basse et Nelson Serra à la batterie y déploient un jazz tour à tour vif ou plus méditatif, sur un répertoire partagé entre originaux (la plupart de la main de Lobo) et standards des boss de la bossa (Jobim et Joao Donato), mais aussi des maîtres de la samba (Noel Rosa et Dorival Caymmi). Sans oublier le fameux « Berimbau » de Baden Powell qui donne d’emblée le ton de cette séance où l’élégance rime avec la pertinence."par Jacques DENIS - JAZZ NEWS

  • Musique de danse d’extrême qualité par On-Mag
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    "Sont-ce des big bands de jazz ou de music-hall, ces grands orchestres qui ont maintenu, après guerre, en France, ce goût pour le swing qui avait fait florès avant l’invasion ? Difficile à dire, car la frontière est ténue, et c’est précisément sur ce fil qu’ont marché les compilateurs de chez Frémeaux pour réaliser, à partir de disques de surprise-parties, comme on disait à l’époque, ce double CD. Concurrencés par le nouveau jazz qui venait des Amériques, le bebop, ces orchestres ne jouaient pas que de la musique commerciale, mais aussi des musiques à danser de qualité, et parfois, du jazz.Regardons le premier CD. Les noms de ces orchestres restent parfois familiers, notamment aux plus anciens (Ray Ventura, ne serait-ce que pour la scie d’avant-guerre, « Tout va très bien, Madame la marquise », André Ekyan ou Hubert Rostaing, pour avoir joué avec Django Reinhardt). Ou encore Noel Chiboust ou Aimé Barelli. Mais les Christian Bellest, Michel Ramos, Pierre-Séverin Luino, Jean Faustin [...]

  • Extrait d'un entretien de Philippe Sollers avec Frédéric Joignot, Lemonde.fr
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    "Ce diagnostic du nihilisme, de la morbidité de notre temps, voilà encore l’actualité de Nietzsche ?Nietzsche disait qu’il fallait exiger trois qualités chez quelqu’un qui se mêlait de penser. D’abord, se situer en dehors de l’université. Cela va de soi. Vous savez de quel poids pèse la cléricature universitaire sur les esprits, partout, et surtout en France, avec sa « république des professeurs ». Vous n’avez pas le droit de penser en dehors de la faculté. Moi-même, je ne suis pas censé penser, comme beaucoup d’autres… La seconde qualité exigée par Nietzsche est d’être un bon philologue. S’intéresser au plus près aux textes, à la langue, au style. La troisième est le coup d’œil médical. Sans ses trois qualités, vous ne penserez pas très loin, vous resterez un « âne » comme il dit, qui porte le poids des idées reçues… Faire le diagnostic de son époque. Il n’est pas le seul. Un autre médecin de l’âme fait sensation ces mêmes années, ils ont même une amie commune, Lou Salomé, c’est [...]

  • Un débat de grande qualité par Actu Philo / Nice Matin
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    "L’un est neurologue, psychiatre, éthologue et psychanalyste, à qui l’on doit le concept de « résilience ». Le second un philosophe qui, longtemps, estima qu’il « n’est de philosophie sans le bénéfice de la sociologie, des sciences et de la psychanalyse. » Boris Cyrulnik et Michel Onfray se partageront la scène le temps d’une conférence organisée à Ollioules, vendredi en début de soirée. Ils échangeront leurs propos sur le thème « Critique et défense de la psychanalyse ». La personnalité des deux intervenants et leur implication dans la psychanalyse moderne laisse augurer un débat de grande qualité."par K.M. - ACTU PHILO / NICE MATIN

  • Le débat fut passionnant par Ollioules.fr
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    "La conférence a débuté avec l’exposition du point de vue de Boris Cyrulnik, qui a travers l’histoire de l’évolution de la psychanalyse, a démontré sa nécessité. Cette « science » comme la qualifiait Freud, a permis de traiter des patients qui auraient été quelques temps auparavant considérés comme des « dégénéré mentaux au cerveau amoindri ».  Pour lui, comprendre et soigner ne vont pas de pair, et si c’est parfois la psychanalyse en elle-même qui soigne, il faut savoir s’en contenter. La présence de l’autre (le psychothérapeute), est une information tranquillisante et permet au patient de se faire une meilleure représentation de lui- même. En science, il n’y a pas de travail parfait, et si seulement 10% de résultats sont fiables, cela suffit pour faire évoluer la science.Pour Boris Cyrulnik « il y a différent courants de psychanalyse les « intégristes de la psychanalyse, adorateurs de Freud », les usurpateurs, et ceux qui s’en servent comme d’un outil culturel pour aider, et il [...]

  • « L’avantage d’être unique » par Jazzman
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    Beaucoup de musiciens manouches ont rejoué la musique de Django Reinhardt, comme un texte appris par cœur, les approximations en plus. On les a écoutés avec une certaine indulgence, ou d’une oreille d’ethnomusicologue. On leur a toutefois préféré ceux qui, comme les guitariste Bireli Lagrene ou Christian Escoudé, surent s’ouvrir au monde extérieure pour puiser dans la sensibilité collective des Manouches les ferments d’une musique véritablement plus contemporaine. Romane pose un problème. Celui que posèrent, ou posent encore, les Scott Hamilton et autres Wallace Roney. Ne revendiquant rien d’autre que l’héritage de Django Reinhardt. Il a bâti son quintet sur le modèle du Quintet du Hot club de France. A cette inversion près que la véhémence se situe ici plutôt du côté d’un violon qui, entre les mains de Florin Niculescu, évoque plus Coleman Hawkins que Stéphane Grappelli. Mais, de part et d’autre, l’urgence du lyrisme est la même, évacuant la question de l’actualité de cette musiq [...]

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