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« Objectif atteint, et avec brio » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Illustration sans doute la plus parfaite de l’héritage artistique transmis de génération en génération, l’album Doriz & Pastre, Fathers & Sons, The Lionel Hampton / Illinois Jacquet Ceremony. Peut-on imaginer pied de nez plus efficace aux tenants de la déconstruction que ce quartette composé de Dany Doriz (vibraphone) et de Michel Pastre (saxophone ténor) flanqués de leurs rejetons respectifs, l’un à orgue Hammond, l’autre à la batterie ? Comble d’impudence, leur but est de rendre hommage à deux maîtres incontestés de leurs instruments qui ont traversé les décennies. Objectif atteint, et avec brio. Moralité, la tradition a encore de beaux jours devant elle et le changement dans la continuité reste une garantie de la pérennité du jazz. »Par Jacques ABOUCAYA (CAUS)
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« Un bouquet aussi varié que chatoyant » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Heureusement, certains artistes et certains producteurs résistent de pied ferme à la dictature de la mode. La qualité et l’authenticité restent leurs seuls critères et les résultats sont à la hauteur. Ainsi en va-t-il du coffret de deux CDs intitulé West Side Story. Leonard Bernstein & Stephen Sondheim, 1961-2021. A partir de la bande originale du film, les thèmes devenus des standards sont célébrés par des artistes prestigieux qui impriment à leurs interprétations leur marque propre, dans la plus pure tradition du jazz. C’est le cas des pianistes Oscar Peterson, Dave Brubeck, André Previn, Ludovic de Preissac, entre autres. Les formations qu’ils dirigent offrent, à partir de cette thématique bien définie, un bouquet aussi varié que chatoyant. » Par Jacques ABOUCAYA (CAUS)
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« Le cadeau de noël parfait » par Musiques du monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voilà le meilleur disque de Noël que j’aie entendu depuis le temps béni de mon enfance, où mon père nous régalait avec ses 33 tours de Nat King Cole, Bing Crosby et consorts, disques devenus cultissimes, ressortis en CDs bien des décennies plus tard, et désormais disponibles sur youtube, deezer & co, partout et pour tous. Bref : le groupe Louis Prima Forever, que nous découvrons ici, a une pêche d’enfer, et, avant même de les VOIR sur une vidéo youtube, le disque, que je passe en boucle à la maison en cette saison pré-Noël (comme mes parents le faisaient à la maison avec nos disques d’enfance sus-cités, pareillement jazzy), m’avait mise en joie ! Si donc tout comme moi vous aimez « The Christmas Song », « Santa Claus is coming to town » et autres tubes jazzy de Noël, vous allez succomber ! Car je n’ai réalisé qu’une fois devenue adulte, que les disques de Noël que mon père nous achetait – les Nat King Cole, Bing Crosby, Frank Sinatra et autres – étaient en fait : du jazz ! O [...]
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« Un succès mérité » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Heureusement, certains artistes et certains producteurs résistent de pied ferme à la dictature de la mode. La qualité et l’authenticité restent leurs seuls critères et les résultats sont à la hauteur. (…) illustration de l’harmonieuse continuité entre succès d’hier et réussites d’aujourd’hui, le CD Louis Prima Forever. Christmas in Swing. Le chanteur et trompettiste néo-orléanais Louis Prima (1910-1978) a laissé des compositions mémorables et marqué par son exubérance des interprétations restées dans les mémoires. Le groupe français qui a choisi son patronyme comme raison sociale fait, depuis des années, revivre son œuvre avec un succès mérité. Dirigé par le batteur Stéphane Roger, l’orchestre se caractérise, outre la qualité intrinsèque de ses membres, par une mise en scène faite de gags des plus efficaces et une parfaite assimilation de l’esprit du compositeur américain. Ici, les morceaux interprétés tournent autour du thème de Noël, suspect à plusieurs titres : outre sa connot [...]
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« Du swing, de la gouaille, du flow » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Louis Prima fut sans doute un des plus grands entertainers de l’histoire du jazz et de la variété. L’octet français s’est mis sous sa protection en s’appelant Louis Prima Forever, avec Pauline Atlan au chant et Michel Bonnet à la trompette et aux arrangements. Et ils sont enthousiasmants, ces arrangements. C’est un disque de Noël et le mot Christmas est de presque tous les titres, mais c’est fait manière Louis Prima, avec du swing, de la gouaille, du flow. Et le groupe n’a pas oublié le medley indispensable quand on parle de Louis Prima : Just a gigolo et Ain’t got nobody. On se croirait en 1956 à Las Vegas… » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« Fait avec passion » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« C’est Laurent Cugny, prof à la faculté de lettres de Sorbonne Université et ancien directeur de l’Orchestre national de jazz, qui s’y est collé. Et il la fait avec passion. Il nous donne un cours particulier sur l’histoire du jazz, retraçant l’histoire chronologique habituelle, du New Orleans au jazz-rock, en s’en évadant pour tracer les portraits de figures majeures ou pour parler plus précisément du jazz vocal. Cugny nous raconte tout ça comme s’il nous narrait une histoire au coin de feu, il est agréable et fascinant à écouter, on apprend plein de choses, sans se lasser. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
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« La préfiguration du potentiel du banjo » Par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le banjo à cinq cordes est l’instrument populaire de référence du continent nord-américain, mais ceux qui l’ont modernisé restent méconnus. Ce coffret fait notamment la part belle à Vess Ossman, au jeu en picking novateur, et Fred Van Eps, guitariste de studio prolifique. Leurs ragtimes et cake-walk préfigurent le potentiel du banjo, qui explosera lors du revival folk des années 1950. Par TELERAMA
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« Une excellente sélection » par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Le cajun, c’est la musique de ces français acadiens chassés du Canada britannique et réenracinés en Louisiane à partir de 1756. Près de deux siècles plus tard, leurs airs dansants, leur blues créole aux accents traînants ont muté sur le violon du bayou, avec des virtuoses comme Harry Choates (l’irrésistible Jolie Blonde), et se régénèrent encore, en intégrant accordéon et steel guitar. Un livret passionnant de Jean Buzelin accompagne cette excellente sélection. Par TELERAMA