<< 1 ... 347 348 349 350 351 >>
  • Le don de l’émotion, le lyrisme dans la simplicité. par La Croix
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    "Auteur d’une centaine de livres – romans, nouvelles, essais, contes pour enfants… –, traduits en d’innombrables langues, lauréat de nombreux prix, Clavel était insensible aux honneurs, aux calculs, aux vanités du petit monde littéraire. Devenu juré Goncourt en 1971, il en démissionna en 1977. Insoumis, révolté par la souffrance et l’injustice, il s’opposa jusqu’à la fin à la corruption par l’argent, à la violence organisée, il se battit pour les enfants, les pauvres, pour la protection de la planète. Et il avait avoué que sa foi en Dieu s’effritait lorsqu’il regardait le malheur des hommes. (...) Des romanciers du XIXe siècle, il possédait le souffle, l’aptitude à construire une histoire, à suivre des fils solides dans la narration, le don de l’émotion, le lyrisme dans la simplicité. D’eux aussi il a hérité un monde – des paysans, des artisans, des modes de vie, des traditions, des savoirs, des valeurs – tout un univers qui est en train doucement de disparaître."par Francine de M [...]

  • Musique mythique de la rencontre manquée de deux géants par Jazz Hot
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Evan Christopher nous propose dans cet album, Django à la Créole, une sorte de musique mythique de la rencontre manquée de deux géants de la musique du XXème siècle, Sidney et Django, sur lesquels planent l’ombre tutélaire de Duke Ellington et les regrets éternels de Charles Delaunay, deux acteurs majeurs de l’histoire du jazz. Ces deux hommes, pour l’un, en tant que musicien, pour l’autre en tant que promoteur de leur art, avaient en commun d’avoir immédiatement discerné le génie de Bechet et de Reinhardt. Dans Music Is My Mistress, Duke présente Sidney, qu’il engagea pendant trois mois dans son orchestre en 1924, comme le plus grand musicien de jazz et comme un véritable génie de la musique (qu’avait déjà révélé Ernest Ansermet dans un fameux article de la Revue de la Suisse Romande de 1919). Il découvrit également Django pendant sa tournée européenne de 1937 et l’invita à rejoindre son orchestre après la Seconde guerre, à la fin des années 1940. Ses deux tentatives avec ces deu [...]

  • ... à jamais un modèle de dignité, de probité, et de sagesse. par RFI
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    "Depuis 1998, le label Frémeaux & Associés a entrepris un travail patrimonial imposant en faisant paraître l’intégrale des œuvres léguées à la postérité par la chanteuse de Gospel, Mahalia Jackson. Le volume 8 de cette anthologie est désormais disponible, et nous permet de redécouvrir la voix lumineuse de cette immense figure du peuple noir américain.Bien qu’elle n’ait jamais pris de cours de chant, son désir sincère de porter la parole divine la hissera très rapidement au rang des reines de l’art vocal. Pour autant, Mahalia Jackson ne se laissera pas griser par le succès grandissant. Elle se fera un devoir de ne jamais se compromettre. Cette intransigeance ne sera pas toujours du goût de ses interlocuteurs, mais suscitera le respect de ses admirateurs. Très sollicitée, Mahalia Jackson résistera aux tentations, aux contrats mirobolants, et aux chemins de traverse qu’on voulait lui faire prendre. Profondément intègre, elle suivra sa voie, guidée par une foi inébranlable et une forc [...]

  • Lettre d'Alain Gerber à Frémeaux & Associés
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    "Remarquables aussi les choix de Jacques Morgantini pour les deux derniers recueils que vous avez publiés." par Alain GERBER

  • Impair et valses : réédité enfin chez Frémeaux et Associés par Djangostation
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    "Des valses, rien que des valses. Bien longtemps oubliés, notamment car Django les a délaissé pour se tourner essentiellement vers les jazz et le bop (même s’il en a lui même composé -Montagne Sainte Geneviève - Chez Jaquet...), elles font de plus en plus souvent leur retour. Romane décide d’en faire un CD, comme un recueil. Il les arrange à sa sauce et le résultat est plutôt réussi même si le son général est un peu froid, en raison d’une production très studio avec enregistrement instrument par instrument, le jeu de Romane est toujours aussi fluide. Mais le cadeau bonux c’est qu’il nous offre les partitions et tablatures (sur la partie CD Rom), mais également les play-backs pour les travailler. Les rendre plus populaires et accessible voilà une belle initiative. Pas un vrai CD de Romane à mon gout mais plutôt un recueil des valses incontournables du style. Comme une référence à travailler."par CRISTOF - DJANGOSTATION

  • Un passionnant débat sur la survivance d'un auteur et d'une oeuvre par Le Quotid
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    A l'occasion de la commémoration du cinquantième anniversaire de la disparition d'Albert Camus, le journal Le Monde et son rédacteur en chef, par ailleurs lui-même écrivain, Eric Fottorino, a invité l'un des proches de l'auteur de l'Etranger, Jean Daniel du Nouvel Observateur, à débattre avec lui de l'héritage camusien. Ceci en compagnie d'un ancien nouveau philosophe, Bernard-Henri Lévy, et de son contraire médiatique, le toujours très clair Michel Onfray. Publié par les éditions Frémeaux, un passionnant débat sur la survivance d'un auteur et d'une oeuvre... par B.R. LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • Une des questions les plus essentielles de l'histoire de la pensée, celle du mal
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Depuis la nuit des temps, l'organisation humaine, pour se structurer, doit définir le bien et le mal. Naguère, l'association Arte-Filosofia organisait un colloque réunissant André Comte-Sponville, Françoise Dastur et Michel Terestchenko, autour de l'une des questions les plus essentielles de l'histoire de la pensée, celle du mal. Citant Leibniz ("Si Dieu existe, d'où vient le mal ? S'il n'existe pas, d'où vient le bien ?"), les éditions Frémeaux et associés proposent de se plonger dans cette passionnante réflexion. Ainsi Michel Terestchenko y interroge, au travers du documentaire Le jeu de la mort, vu naguère sur France 2, la "banalité du mal" et y défend la thèse de la vulnérabilité fondamentale du sujet moral. par L'ALSACE

<< 1 ... 347 348 349 350 351 >>