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Une ambiance à la fois paisible, tendre, et pleine de vitalité par L’Ecole d’Auj
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Après avoir regardé un film à la télévision, Martine fait un cauchemar. Son frère Jean n’hésite pas à l’effrayer d’avantage en lui racontant une histoire de fantômes. Mais la fillette, aidée de Patapouf (son chien), va prendre joliment sa revanche. Cette première aventure est suivie par quatre autres histoires : Martine et sa copine se perdent sur les routes de campagne ; Martine rêve qu’elle se glisse dans la peau d’une écuyère, d’une acrobate, d’une magicienne ou d’une dompteuse de fauves ; Martine cherche Patapouf qui s’est égaré en ville ; Martine effectue un stage de voile. Tirés de la célèbre collection, ces récits prennent corps, portés par la voix chaleureuse de Marie-Christine Barrault. La comédienne installe une ambiance à la fois paisible, tendre, et pleine de vitalité. La musique de Pierre Bertrand habille chaque récit dans des styles très différents. Cette harmonie entre les sons et le texte pourra être soulignée et commentée avec les plus grands. Le contenu pédagogiq [...]
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Un poète qui mêle nostalgie et humour par Dernières nouvelles d’Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Pierre Louki restera un auteur-compositeur-interprète à part dans la chanson française. Ce compagnon de route de Georges Brassens qui partagea avec lui les scènes des cabarets rive gauche à l’époque des vaches maigres, s’est produit la dernière fois sur scène en décembre 1999. C’était à l’Espace Kiron, à Paris et l’enregistrement intégral de cet ultime récital vient de sortir. L’occasion de retrouver un poète qui mêle nostalgie et humour dans les poèmes qu’il chante ou qu’il récite. Fantaisiste dans ses sketches, émouvant dans les reprises de chansons créées par Isabelle Aubret (« L’enfant qui »), et Juliette Gréco (« Sur l’arbre mort »). Un double album pour ne pas oublier un chanteur rare…Par DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
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L’une des plus formidables sections rythmiques de l’histoire par So Jazz
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Par définition, les meilleures formations de la swing era ne pouvaient faire l’économie des piliers que furent Artie Bernstein (chez Benny Goodman) ou John Kirby (chez Fletcher Henderson), et bien sûr, Walter Page (chez Count Basie). Avec Freddie Green, Jo Jones et le Comte, Page participa à l’une des plus formidables sections rythmiques de l’histoire. Et il y a même fort à parier que les solistes historiques de la bande à Basie, Lester Young en tête, ont trouvé l’assise de leur génie dans la pulsation souple et infaillible de Page.Par B.G. – SO JAZZ
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Pops Foster : accompagnateur privilégié de Louis Armstrong dans les années 30 pa
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Contrairement à Walter Page qui commença à assurer la basse – comme il était de coutume dans les fanfares – à l’aide d’instruments à vent, Pops Foster a toujours joué avec les cordes. Peut-être parce qu’il apprit sur le plus rudimentaire des instruments (la bassine emmanchée et deux simples cordes à tension variables), une fois passé au violoncelle, puis à la vraie contrebasse, il en tirait un des sons les plus pleins de l’histoire de l’instrument. Pilier de l’orchestre de Luis Russel, il fut l’accompagnateur privilégié de Louis Armstrong dans les années 30.Par B.G. – SO JAZZ
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Chez Frémeaux, décidément on aime les entreprises audacieuses par On-Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Après l’intégrale Django Reinhardt (20 tomes), celle de Louis Armstrong (en cours, déjà 9 parus), voici l’intégrale Charlie Parker. Chez Frémeaux, décidément on aime les entreprises audacieuses. Le premier volume regroupe, sur 3 CDs, l’enfance d’un chef : Charlie Parker de 1940 (il a vingt ans) à 1945 et l’on devine déjà la dimension du personnage.Sur le premier CD, qui débute par un enregistrement privé d’un solo de sax alto à Kansas City, le jeune Charlie mêle Honeysuckle Rose et Body and Soul pour en faire un « Honey & Body », une manière de montrer qui il est et ce qu’il connaît. Et cela croît et embellit avec l’orchestre de Jay McShann. Dans ce très bon orchestre, il se fait entendre et sa façon de jouer, son phrasé, tout en volubilité et en apparente facilité, nécessitent de sacrées qualités, qu’il possède, de souffle et de générosité. Que soit sur les ondes d’une radio de Wichita (Kansas) à Dallas (Texas) ou au Savoy Ballroom de New York, il joue comme un furieux et toujou [...]
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Pour des belles soirées de juin comme des froides nuits de janvier par Diapason
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Deux coffrets pour retrouver toutes les chansons traditionnelles qui célèbrent les saisons. A raison d’une trentaine de chansons par saison, voilà de quoi meubler les belles soirées de juin comme les froides nuits de janvier. Un répertoire mignon comme tout.Olivier BELLAMY - DIAPASON
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Une page intéressante du patrimoine du blues classique. par le Quotidien du Méde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Washboard Sam, de son vrai nom Robert Brown (1910-1966), fut le plus populaire des joueurs de washboard – la fameuse planche à laver chère aussi au style New Orleans – dans le blues des années 1930-1940. Demi-frère du guitariste Big Bill Broonzy, selon les dires ce dernier, Washboard Sam s’est retrouvé à partir de 1932 à Chicago, via Memphis, où il rejoint l’écurie du producteur blanc Lester Melrose et son label Bluebird. « The Blues - Swinging The Blues - 1935-1947 » (Frémeaux & Associés) est un double CD qui retrace les débuts discographiques du musicien et chanteur, dans lequel on le redécouvre principalement aux côtés de son mentor, Big Bill Broonzy, de Memphis Slim et Roosevelt Sykes (piano) ou encore Willie Dixon (contrebasse), sur toute une série d’enregistrements et de compositions personnelles, dont la plus fameuse reste « Diggin’ My Potatoes » (1939). Une page intéressante du patrimoine du blues classique."par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
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« Somptueuse compilation » par So Jazz
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Charlie Parker rêvait de faire sur son alto ce que la main droite d'Art Tatum réusissait sur un clavier. Fats Waller le compara à Dieu en personne. En 46 années de présence sur cette terre, cet OVNI quasi aveugle a éclaboussé de son génie le monde du jazz. Concoctée par Alain Gerber, cette somptueuse compilation s'impose comme l'une des références du genre. M. D. – SO JAZZ