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  • « A découvrir » par la Revue des médiathèques et des collections musicales
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    Manu Dibango s’est révélé en 1978 avec le titre Choc’n Soul, manifeste de la fusion de l’Afrique originaire avec les musiques afro-américaines comme le jazz ou la disco. Cet album est un retour sur les années 1978 à 1989 ; douze titres parmi ses meilleurs, sans doute. Qui composent une magnifique introduction à son œuvre immense, à présent. A découvrir. Puis à collectionner sans hésiter. Lucas FALCHERO - REVUE DES MEDIATHEQUES ET DES COLLECTIONS MUSICALES

  • « L’examen d’une carrière sous l’angle du groove » par So Jazz
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    Les années 70 révèlent Manu Dibango sur la scène du rare groove international. Il enregistre même avec des cadors du jazz made in New York, un épisode qui narrait l’excellent sélection African Woodoo. Ce Choc’n’Soul poursuit l’examen d’une carrière sous l’angle du groove, entre des faces gravées en 1978 à Kingston avec la rythmique Robbie Shakespeare – Sly Dunbar, une section de cuivre qui comptait dans ses rangs les frères Brecker, et celles posées à Paris au cours des années 80, avec les jeunes lions de la scène afro-jazz (Brice Wassy, Paco Séry). Jacques DENIS – SO JAZZ

  • « Fiery Afro-funk » by Rock N’Reel
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    The Cameroonian saxman at his creative peak when he recorded this material between 1978 and 1989. The bulk of the dozen tracks were recorded in Kingston at that earliest date, back when the jamaican capital was at its hottest, and Manu and crew unite with the likes of Sly Dunbar and Robbie Shakespeare to create some sublime, fiery Afro-funk, sometimes with a Stax-like groove or a overlooked them recently do so to their own loss. Norman DARWEN – ROCK N’REEL

  • « Un dialogue savoureux » par la Revue des médiathèques et des collections music
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    Voici un disque de musique populaire américaine jouée par deux héritiers de la tradition. Ils choisissent de produire un blues francophone humain et artistique qui parle des malheurs de la vie (évidemment). Un dialogue savoureux entre un père et son fils hérité des chants cajuns et acadiens. Jacques VAIZELLE - REVUE DES MEDIATHEQUES ET DES COLLECTIONS MUSICALES

  • Un album hautement conseillé, comme le précédent. par Citizen Jazz
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    "La liste des « saucissons » universels de la pop et du rock est longue. Les passer à la moulinette du swing est un travail considérable qui ne semble pas effrayer les Pink Turtle : deux ans après leur premier album Pop in Swing, les revoilà avec Back Again et la métamorphose de treize autres illustrissimes morceaux. « Money Money Money » de ABBA à la sauce manouche ? pas de problème. « (I Can’t Get No) Satisfaction » sur des rythmes cubains ? Ils osent. Le kitsch « Born To Be Alive » tel que l’aurait peut-être écrit Patrick Hernandez s’il était né à Rio de Janeiro ? Allons-y. Ce côté foutraque séduit quelques invités de passage, comme André Minvielle qui pose son scat sur « Sir Duke » (Stevie Wonder), Didier Lockwood, Jean-Jacques Milteau ou Morgane Imbeaud du groupe Cocoon. Si la démarche est délibérément humoristique, les Pink Turtle n’en sacrifient pas pour autant une indéniable exigence musicale : les arrangements vocaux comme instrumentaux sont toujours aussi élaborés et eff [...]

  • « Pour notre plus grand plaisir » par Soulbag
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    Ce disque en duo devrait forcément sortir un jour mais il fallait le réussir et c’est chose faite. Mélangeant habilement originaux, reprises de leurs répertoires respectifs et trois classiques, Patrick et Steve évitent de tomber dans le trou béant du blues acoustique pre-war servile et privilégient leur propre univers, fait d’humanisme, de gouaille, dans un contexte qu’on devine urbain, une sorte de no man’s land hors du temps, ce n’est pas pour rien que le disque s’appelle «La P’tite Ceinture». Le père n’abuse pas de la slide et est plus leader que le fils, l’harmonica d’icelui étant du coup constamment présent, majoritairement non amplifié, pour notre plus grand plaisir. Les deux voix se marient souvent, en alternance ou en harmonie, les aspérités de l’une gommant la jeunesse de l’autre. Swing par-ci, mélancolie par-là, désabusement et regard philosophique un peu plus loin, l’ambiance reste intimiste et on pense bien sûr à une passation d’expérience entre l’ancien et le nouveau. [...]

  • « Un chanteur à la panoplie large, jazz, soul, ballade » par Soulbag
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    Julien Brunetaud en est à plus d’un disque par an et prend le risque de dérouter les auditeurs. Ce nouvel opus est beaucoup plus jazz que les précédents, avec de rares incursions dans le R&B, voire le blues tout court. Il s’affirme dans tout les cas de plus en plus comme un chanteur à la panoplie large, jazz, soul, ballade, repoussant des limites qui semble ne pas exister pour lui. Face à cette boulimie discographique, l’amateur de blues se concentrera sur le formidable « Driftin’ Blues ». Christophe MOUROT-SOULBAG

  • « De divins refrains » par So Jazz
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    L’éditeur Frémeaux poursuit son intégrale de la grande prêtresse du gospel. En 1957, Mahalia Jackson s’offre une maison pour le coquette somme de 40000 dollars dans la banlieue chic de Chicago. Ce qui ne l’empêche pas d’essuyer les tirs du voisinage. Au racisme quotidien elle répond par de divins refrains, habités par un une foi indéfectible, comme «23rd Psalm» et «Come Sunday», deux joyaux sertis de luxueuses orchestrations gravés avec Sir Duke Ellington, à l’occasion du messianique Black, Brown And Beige. Jacques DENIS-SO JAZZ

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