-
« Un concentré de super-swing » par Mediapart
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un concentré de super-swing à la Lionel Hampton, sorti par le label Frémeaux et Associés. On est ému pour deux choses : d’abord le partage de ces deux grands artistes de la musique des années trente (et début quarante), cela pendant toute leur vie. A un très haut niveau. Ensuite par la transmission de leur passion à leurs deux fils Didier Dorise et César Pastre. » Par Bruno PFEIFFER – MEDIAPART
-
« Un chanteur au sommet de son art » par Chants…Songs
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« La collection Live in Paris permet de retrouver Yves Montand sur la scène du théâtre de l’Étoile en 1958 et 1962. Un chanteur au sommet de son art. Montand a débarqué à Paris en février 1944 après avoir fait ses premières armes, maladroitement, sur les scènes méridionales. La rencontre avec Édith Piaf et leur relation de près de deux ans marquera un virage dans sa carrière et sera déterminante pour ses prestations scéniques. C’est sur la scène de l’Étoile qu’il débutera en janvier 1945 en première partie de la Môme. Un an plus tard, il y sera sans Piaf. L’Étoile, une salle de 1500 places située près de la place Wagram, haut lieu du music-hall parisien deviendra un endroit où le chanteur aura ses habitudes. Dans Live in Paris 1962 + Bonus ’58, on retrouve l’artiste dans un tour de chant peaufiné du début à la fin. Accompagné par un orchestre solide – outre le fidèle pianiste Bob Castella, on y entend , entre autres, Hubert Rostaing, fin clarinettiste, ou Didi Duprat à la guitar [...]
-
« Objectif atteint, et avec brio » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Illustration sans doute la plus parfaite de l’héritage artistique transmis de génération en génération, l’album Doriz & Pastre, Fathers & Sons, The Lionel Hampton / Illinois Jacquet Ceremony. Peut-on imaginer pied de nez plus efficace aux tenants de la déconstruction que ce quartette composé de Dany Doriz (vibraphone) et de Michel Pastre (saxophone ténor) flanqués de leurs rejetons respectifs, l’un à orgue Hammond, l’autre à la batterie ? Comble d’impudence, leur but est de rendre hommage à deux maîtres incontestés de leurs instruments qui ont traversé les décennies. Objectif atteint, et avec brio. Moralité, la tradition a encore de beaux jours devant elle et le changement dans la continuité reste une garantie de la pérennité du jazz. »Par Jacques ABOUCAYA (CAUS)
-
« Un bouquet aussi varié que chatoyant » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Heureusement, certains artistes et certains producteurs résistent de pied ferme à la dictature de la mode. La qualité et l’authenticité restent leurs seuls critères et les résultats sont à la hauteur. Ainsi en va-t-il du coffret de deux CDs intitulé West Side Story. Leonard Bernstein & Stephen Sondheim, 1961-2021. A partir de la bande originale du film, les thèmes devenus des standards sont célébrés par des artistes prestigieux qui impriment à leurs interprétations leur marque propre, dans la plus pure tradition du jazz. C’est le cas des pianistes Oscar Peterson, Dave Brubeck, André Previn, Ludovic de Preissac, entre autres. Les formations qu’ils dirigent offrent, à partir de cette thématique bien définie, un bouquet aussi varié que chatoyant. » Par Jacques ABOUCAYA (CAUS)
-
« Le cadeau de noël parfait » par Musiques du monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voilà le meilleur disque de Noël que j’aie entendu depuis le temps béni de mon enfance, où mon père nous régalait avec ses 33 tours de Nat King Cole, Bing Crosby et consorts, disques devenus cultissimes, ressortis en CDs bien des décennies plus tard, et désormais disponibles sur youtube, deezer & co, partout et pour tous. Bref : le groupe Louis Prima Forever, que nous découvrons ici, a une pêche d’enfer, et, avant même de les VOIR sur une vidéo youtube, le disque, que je passe en boucle à la maison en cette saison pré-Noël (comme mes parents le faisaient à la maison avec nos disques d’enfance sus-cités, pareillement jazzy), m’avait mise en joie ! Si donc tout comme moi vous aimez « The Christmas Song », « Santa Claus is coming to town » et autres tubes jazzy de Noël, vous allez succomber ! Car je n’ai réalisé qu’une fois devenue adulte, que les disques de Noël que mon père nous achetait – les Nat King Cole, Bing Crosby, Frank Sinatra et autres – étaient en fait : du jazz ! O [...]
-
« Un succès mérité » par Jacques Aboucaya
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Heureusement, certains artistes et certains producteurs résistent de pied ferme à la dictature de la mode. La qualité et l’authenticité restent leurs seuls critères et les résultats sont à la hauteur. (…) illustration de l’harmonieuse continuité entre succès d’hier et réussites d’aujourd’hui, le CD Louis Prima Forever. Christmas in Swing. Le chanteur et trompettiste néo-orléanais Louis Prima (1910-1978) a laissé des compositions mémorables et marqué par son exubérance des interprétations restées dans les mémoires. Le groupe français qui a choisi son patronyme comme raison sociale fait, depuis des années, revivre son œuvre avec un succès mérité. Dirigé par le batteur Stéphane Roger, l’orchestre se caractérise, outre la qualité intrinsèque de ses membres, par une mise en scène faite de gags des plus efficaces et une parfaite assimilation de l’esprit du compositeur américain. Ici, les morceaux interprétés tournent autour du thème de Noël, suspect à plusieurs titres : outre sa connot [...]
-
« Du swing, de la gouaille, du flow » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Louis Prima fut sans doute un des plus grands entertainers de l’histoire du jazz et de la variété. L’octet français s’est mis sous sa protection en s’appelant Louis Prima Forever, avec Pauline Atlan au chant et Michel Bonnet à la trompette et aux arrangements. Et ils sont enthousiasmants, ces arrangements. C’est un disque de Noël et le mot Christmas est de presque tous les titres, mais c’est fait manière Louis Prima, avec du swing, de la gouaille, du flow. Et le groupe n’a pas oublié le medley indispensable quand on parle de Louis Prima : Just a gigolo et Ain’t got nobody. On se croirait en 1956 à Las Vegas… » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR
-
« Fait avec passion » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« C’est Laurent Cugny, prof à la faculté de lettres de Sorbonne Université et ancien directeur de l’Orchestre national de jazz, qui s’y est collé. Et il la fait avec passion. Il nous donne un cours particulier sur l’histoire du jazz, retraçant l’histoire chronologique habituelle, du New Orleans au jazz-rock, en s’en évadant pour tracer les portraits de figures majeures ou pour parler plus précisément du jazz vocal. Cugny nous raconte tout ça comme s’il nous narrait une histoire au coin de feu, il est agréable et fascinant à écouter, on apprend plein de choses, sans se lasser. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR