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  • « Ce travail constitue pour le patrimoine littéraire un inédit véritable » par L
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    Jules Romains et Louis Jouvet, qui fit triompher Knock, se retrouvent à travers une actualité liée à leur mort. Cette année, on célèbre le cinquantième anniversaire de la disparition de l’acteur, le 16 août 1951, à la suite d’un malaise cardiaque pendant une répétition à l’Athénée. L’année prochaine, se sera le vingtième anniversaire de celle de l’écrivain qui à rendu son dernier souffle le 14 août 1972, vingt et un ans, presque jour pour jour, après la fin théâtrale de son génial interprète. Pour marquer ces événements, outre les reprises de spectacles, dont Knock que jouera Fabrice Luchini durant la saison 2002-2003 sur la scène de l’Athénée, deux auteurs se sont manifestés avec des œuvres complémentaires. D’une part, Jean Marc Loubier en publiant une version définitive de son excellente biographie Louis Jouvet le patron (Ramsay) ; d’autre part, Olivier Rony qui vient de faire éditer un ensemble de quatorze CD des Hommes de bonne volonté adaptés et lus par Jules Romains (Frémeau [...]

  • Reprise étonnante par Musicosphere
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    "Pendant que je travaillais sur la rubrique “radio” du site en écoutant TSF Jazz, mon oreille a été attirée par une reprise étonnante d’un morceau pop. Pink Turtle est un groupe swing de 7 musiciens parisiens. Sur leur premier cd, le bien nommé “pop in swing”, ils reprennent des standards du pop/rock, en les réarrangeant à leur sauce, c’est à dire le jazz, le swing.Pink Floyd, Lou Reed, Queen, the Eagles, les Bee Gees… La palette est large, et très bien présentée !Sur leur myspace, vous ne trouverez malheureusement pas les reprises de Pink Floyd et Queen, mais vous y apprécierez entre autres Hotel California des Eagles, Walk on the Wild Side de Lou Reed et Logical Song des Bee Gees.Visiblement, les gus ne manquent pas d’humour. Si l’on en croit l’historique de leur site (mais je ne vous recommande pas d’y croire !), le groupe, créé en 1969, n’aurait pas survécu à un succès auquel il ne s’était pas préparé. Les morceaux que l’on retrouve aujourd’hui sur l’album des Pink Turtle sera [...]

  • « Dolto en héritage » par Libération
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    Elle voulait être « médecin d’éducation », elle fut une pionnière en France de la psychanalyse des enfants. Dès 1967, sous le pseudo de Docteur X, Françoise Dolto médiatise ses thèses sur les ondes d’Europe 1, en répondant en direct et anonymement aux auditeurs. Bien qu’intuitive sa vision inédite du bébé et du petit enfant transformera radicalement les relations entre l’enfant et ses parents. Ainsi y a-t-il un avant-Dolto et un après. Le bambin que l’on prenait alors pour un « tube digestif » qui ne souffre pas, ne comprend rien de ce qui lui arrive, est considéré désormais comme une personne à part entière, un « être de langage » doté d’une précoce compréhension émotionnelle. C’est en 1967 et 1977 que se produit la rencontre entre la psychanalyse et le grand public qui contribua largement à sa notoriété. Sous son vrai nom cette fois, Françoise Dolto accepte une émission sur France inter. Lorsque l’enfant paraît, animée par Jacques Pradel (justement jeune papa à l’époque) est un [...]

  • « Do it your secte » par le Figaro
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    Albert Algoud a enregistré un double CD Comment gagner sa vie sur celle des autres, où il dénonce, à sa manière, le mécanisme des sectes. « Cette tartufferie des temps modernes me révolte, dit il. Pour montrer l’absurdité du système, je traite par l’humour et la dérision. » LE FIGARO

  • « Rodolphe Raffalli- Gypsy swing guitare » par Jazz Hot
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    Après la réussite de son album A Georges Brassens, Rodolphe Raffalli nous revient pour nous présenter un CD du même Calibre. Reprenant a son compte les propos émis lors d’une interview (cf. Jazz Hot n° 551), le guitariste « utilise les chansons françaises pour exprimer un son, une époque, un état d’esprit ». C’est tout d’abord Charles Aznavour qui image ses propos (« Je me voyais déjà » et «  Tu te laisse aller ») suivit de cela par Serge Gainsbourg avec « Les oubliettes », puis Charles Trenet (« Vous êtes jolie »). A l’occasion de cette deuxième production pour Frémeaux & Associés, Raffalli repend les partenaires de son premier album et y joint Christian Escoudé (g) et Florin Niculescu (vln). Les batteurs sont toujours absents du projet. Le leader utilisant la « pompe » des guitaristes ou la verve du contrebassiste pour assurer cet aspect de l’expression. Le côté jazz du guitariste reste présent avec une reprise de Billie Holiday. » God Bless the Child » cette admirable mélodie, [...]

  • « Rodolphe Raffalli : sous le Corse, le manouche » par Jazz Man
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    Quarante-cinq bougies sur le gâteau en mai prochain, trente années passées à gratter toutes les planètes musicales où la guitare a droit de cité. Jazz manouche, bossa, country, hard bop, chanson française, western swing et tutti frutti… Que les choses soient claires : Rodolphe Raffalli n’est pas qu’un enfant de Django. Cet Italo-corse  a fait les grands soirs des cabarets sud-américains de la rue Descartes à Paris, et des cafés-concerts du quartier Ménilmontant, avant de s’illustrer à la chope des puces de Saint-Ouen et au Festival de Samois. Il y a deux ans, son hommage "A Georges Brassens " dynamitait l’actualité musicale. Dix-sept mille exemplaires écoulé à ce jour. Côté scène un paradoxe. Chacune des apparitions de son quartette est le théâtre d’une vraie mêlée collective et pourtant … deux ou trois concerts seulement prévus d’ici l’été ! "C’est vrai, avec l’émulation autour du Brassens, nous nous attendions à mieux faire. À force, une certaine impatience nous gagne. Mais le m [...]

  • « Un son démentiel » par L’Echo républicain
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    « En 1955, Little Richard jouait la musique la plus extrême qui soit. Des chansons comme Lucille ou Tutti Frutti semblaient littéralement débarquer d’une autre planète, mais les oreilles chastes de l’Amérique d’Eisenhower se sont vite converties à sa folie, pendant un temps au moins. Soixante ans plus tard, l’éditeur de patrimoine Frémeaux consacre au rock’n’roller un triple-CD qui contient tous les morceaux qui l’ont fait entrer dans la légende, le tout avec un son démentiel. Une débauche d’énergie propre à faire passer Elvis Presley pour un gentil fils à sa maman. »Par Rémi BONNET – L’ECHO REPUBLICAIN

  • « Rodolphe Raffalli à Georges Brassens » par CLASSICA
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    Brassens affirmait souvent qu’une guitare et son fidèle Pierre Nicolas à la contrebasse lui suffisait. De fait, on se demande s’il ne vaut pas mieux,à la lumière de ses disques tendres mais un peu "gentillets", redécouvrir l’œuvre à vif du guitariste,  débarrassé des oripeaux de l’hommage obligé. Chez le guitariste Rodolphe Raffalli, en revanche on décèle plus de musicalité, de compréhension, et donc un supplément d’âme. Le swing manouche de Raffalli colle avec âpreté et tendresse au thèmes de Brassens, au prix de trouvailles inédites (la profonde sensibilité de Pénélope, la version bossa des Copains d’abord) : comme dans le modèle tout le monde semble se loger dans les six cordes d’une « sèche ».Presque une affaire de morale…Hervé GUILLEMINOT - CLASSICA

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