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  • « Fait avec passion » par Le Soir
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    « C’est Laurent Cugny, prof à la faculté de lettres de Sorbonne Université et ancien directeur de l’Orchestre national de jazz, qui s’y est collé. Et il la fait avec passion. Il nous donne un cours particulier sur l’histoire du jazz, retraçant l’histoire chronologique habituelle, du New Orleans au jazz-rock, en s’en évadant pour tracer les portraits de figures majeures ou pour parler plus précisément du jazz vocal. Cugny nous raconte tout ça comme s’il nous narrait une histoire au coin de feu, il est agréable et fascinant à écouter, on apprend plein de choses, sans se lasser. » Par Jean-Claude VANTROYEN – LE SOIR

  • « La préfiguration du potentiel du banjo » Par Télérama
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    Le banjo à cinq cordes est l’instrument populaire de référence du continent nord-américain, mais ceux qui l’ont modernisé restent méconnus. Ce coffret fait notamment la part belle à Vess Ossman, au jeu en picking novateur, et Fred Van Eps, guitariste de studio prolifique. Leurs ragtimes et cake-walk préfigurent le potentiel du banjo, qui explosera lors du revival folk des années 1950. Par TELERAMA

  • « Une excellente sélection » par Télérama
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    Le cajun, c’est la musique de ces français acadiens chassés du Canada britannique et réenracinés en Louisiane à partir de 1756. Près de deux siècles plus tard, leurs airs dansants, leur blues créole aux accents traînants ont muté sur le violon du bayou, avec des virtuoses comme Harry Choates (l’irrésistible Jolie Blonde), et se régénèrent encore, en intégrant accordéon et steel guitar. Un livret passionnant de Jean Buzelin accompagne cette excellente sélection. Par TELERAMA

  • « La mise en valeur des précurseurs » par Télérama
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    Dans les années 1940 et 1950, la salsa n’avait pas déferlé sur le monde, mais toute l’Amérique latine guinchait sur des rythmes mitonnés dans le chaudron insulaire de Porto Rico. La compilation met en valeur cette scène de précurseurs, qui ravivèrent les couleurs de la bomba, héritée des esclaves, et de la plena, musique de chronique sociale, mais aussi du mambo, de la guaracha et de la pachanga, musiques plus sophistiquées ayant émergé dans le Spanish Harlem. Avec, pour faire monter la « sauce », le sonero Ismael Rivera, le percussionniste Rafael Cortijo ou le pianiste Eddie Palmieri. Par TELERAMA

  • « Toots déploie son talent et sa dextérité » par Jazz Mania
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    « Toots Thielemans aurait eu cent ans cette année. Il était né dans les Marolles, à Bruxelles, le 29 avril 1922 et il est mort le 22 août 2016. A l’occasion de ce centenaire, sa Belgique natale lui a abondamment rendu hommage : Exposition « The Sound of a Belgian Legend » à la Bibliothèque Royale à Bruxelles, nombreux concerts, séquences radio et télévision, etc. Dans la foulée, le label français Frémeaux et Associés lui a consacré un coffret de 4 Cds avec ses enregistrements de 1952 à 1961, chaque CD reprenant l’intégralité de deux long-playings, lesquels illustrent à merveille ce que Toots disait lui-même de son style musical, « Entre un sourire et une larme » et de sa devise : « Be Yourself! No More! No Less! ». Rappelons que Toots a démarré son parcours musical, enfant, à l’accordéon. Puis il est passé à la flûte et surtout à la guitare et à l’harmonica. On ne va pas revenir sur tout son parcours – il est bien détaillé dans le livret d’Olivier Julien – pour nous limiter au pre [...]

  • "Une fougue remplie de ce swing éternel" par Le Quotidien du médecin
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    « Relativement rare dans le jazz, le vibraphone a cependant connu des périodes fastes : la première durant l'ère swing des années 1930-1940 avec le bondissant et fringant Lionel Hampton ; la seconde grâce au « jazz de chambre » du Modern Jazz Quartet (MJQ), avec l'élégant Milt Jackson. C'est essentiellement au premier que fait référence Dany Doriz. Émule de l'immense Hamp, celui qui est aussi depuis les années 1970 le patron du célébrissime Caveau de la Huchette, créé en 1946 à Paris et devenu doublement mythique mondialement grâce au film « La, La Land », n'a jamais caché sa dévotion personnelle et musicale pour le maître du jazz swing, avec qui il a souvent partagé la scène. Pour son nouveau CD, « Doriz & Pastre - Fathers en Sons - The Lionel Hampton/Illinois Jacquet Ceremony » (Frémeaux & Associés), il s'est associé au saxophoniste-ténor Michel Pastre, grand adorateur de saxophonistes mainstream comme Illinois Jacquet, Ben Webster ou Arnett Cobb. Sans oublier la complicité de [...]

  • « Un trésor à ne pas manquer » par Classica
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    A l’été 1959, Ray Charles est déjà une vedette internationale ayant fait paraître sur le label des frères Ertegun une série d’albums dont certains titres comme « What I Say » ou « Hallelujah I Love Her So » sont des succès mondiaux. Il signe alors avec ABC-Paramount, une major compagnie aux moyens de production et de distribution plus importants. S’ouvre alors pour lui une période que l’on peut aujourd’hui considérer comme classique, aux arrangements soignés et au répertoire visant un public plus large que le seul public de jazz. De grandes chansons sont enregistrées : « Hit the Road Jack », « Georgia On My Mind », “Hard Hearted Hannah”, « I Can’t Stop Loving You » et beaucoup d’autres dont « Danger Zone », un de ses chefs-d’œuvre qui mériterait d’être plus connu. Le coffret de quatre CD élaboré par Joël Dufour rassemble quatre-vingt-cinq chansons, qui presque toutes restent dans l’oreille à l’écoute. Un trésor à ne pas manquer assurément. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Brother Ray au Top ! » par le Quotidien du médecin
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    « Le coffret "Ray Charles - The ABC Paramount Years 1959-1962" rend parfaitement compte du virage musical effectuié par l'artiste, passant d'une musique largement inspirée des gospels à des reprises de standards de comédies musicales, de country et western, le tout agrémenté de cordes, voire d'instrumentaux aux accents jazzy, comme le légendaire "Genius + Soul = Jazz" (1960). Brother Ray au Top ! » Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

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