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« Sylvain Kassap Hélène Labarrière. » par JAZZMAGAZINE
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Une de ces conversations dont on suit avec une curiosité passionnée les moindres digressions, tensions, paroxysmes, allusions, citations. Les sujets en sont graves, gais nostalgiques, voire douloureux et parfois mélangés, mais, d’un Brouhaha au Désert en passant par la mélodie de Strange Fruit, la densité de l’échange est constante. Au point que corps et paroles, à la manière d’objets virtuels ou de « fantômes », semblent émerger du magma, du feu du dialogue si le mot vif n’avait pas existé, il eut fallu l’inventer pour qualifier un tel moment.Philippe CHARLES – JAZZMAGAZINE
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« Les cinglés du music-hall » par Virgin
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Si la télévision se montre oublieuse des leçons de ses maîtres parmi lesquels Jean-Christophe Averty fait figure de Méliès cathodique rien effacera le souvenir du zézayant « A vos cassettes » qui propulsait chaque samedi le doigt des auditeurs de France - Inter vers la touche enregistreuse de leur radiocassette. Alchimiste tirant du creuset de la culture populaire les trésors du music-hall, son grand œuvre est à l’égal de celui d’Henri Langlois pour le cinéma. Aboutissement de ces années de recherches et d’archives, la collection les Cinglés du Music-Hall feuillette l’histoire des années 39 et 40 au travers des succès de ces « fous chantants », de Maurice Chevalier à Ray Ventura, qui hantaient les scènes de France et de Navarre, insoucieux des oreilles ennemies.VIRGIN
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la chanson est plus qu’un art par le monde de la musique
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Qu’elle soit comptine de cour de récréation ou tube radiophonique, qu’elle soit niaise rengaine ou authentique chef d’œuvre, la chanson est plus qu’un art, mineur ou pas. Sifflée, chantée de bouche en bouche, reprise en chœur, de l’échafaudage du peintre à la table de banquet, elle trotte dans les tête, elles se fait insidieuse, insistante, elle taraude le mental des plus réfractaires. Bref, elle est celle qui berce les joies et les joies et les peines, qu’on le veuille ou non. Lancée comme produit. Que son succès ou non au temps, on finit toujour par la retrouver en classant sa correspondance ou en rangeant son grenier entre la boîte de pâte à raser et le timbre d’époque. Alors c’est elle qui produit : du souvenirde l’imaginaire du passé que l’on n’a pas connu. C’est la magie de l’aire du temps. C’est cet aire du temps que d’année en anné , Jean Christophe Averty nous restitue en sélectionnant les succès du moment. Certaines Chansons sont restées ( La java Bleue par Fréhel), d’au [...]
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« Les Chansons de Bob et Bobette » par Phonoscopies
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Elles sont au nombre de douze. Déposées à la SACEM le 23 juillet 1929 elles furent enregistrées chez Columbia à la rentrée, les 12 et 13 septembre 1929 par jean Sobrier et Suzanne Feyrou, acompagnés pa l’orchestre Armand Bernard, et furent disponibles, pour noël 1929, sous forme d’un album illustré de trois disques ou de six disques. Les petits privilègiés de 6 à 8 ans qui sont aujourdhui, nous l’esperons, d’alertes jeunes octogénaires , se souviennent sans nul doute de ce magnifique cadeaux de noël, peut être accompagner des albums fraîchement imprimés : « Les farces de bicots ou Zig et puce et Alfred »…Il y a quelques années, Jean Christophe Averty eut l’exellente idée de transmettre via Frémeaux& Associés, l’intégrale Columbia de ce patrimoine de souvenirs …héritage précieux et inestimable… » constitué « d’histoire à dormir debout, auxquelles nous avons cru, dur comme fer, et dont nous sommes persuadés qu’elles nous sont bel et bien arrivées, au coin des rêves… »PHONOSCOPIES
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« 24 titres pour couvrir l’année 1929 » par Écouter Voir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )C’est reparti, après une brève interruption. 24 titres pour couvrir l’année 1929. Un évenement Télérama et la version française de Singin’In The Rain par Gregor et ses Gregorians, précisent les sticks apposés par Frémeaux et Associés. De toute manière, si on a commencé la collection, il faut continuer. On le regrettera d’autant moins qu’émergent du passé, portées par un son délicieusemebnt nimbé, des noms peu familliers ou attendus dans d’autres spécialités : Fernand Gravey, Berthe Delny, Robert Burnier… (Michel Sineux)ECOUTER VOIR
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« A l’heure du cinéma parlant… » par Centre Presse
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Par la chandelle verte ! Dans la mirifique, espastrouillante et fabuleuse collection de disques anciens dirigée par le grand satrape jarriste Jean-Christophe Averty, voici enfin la fatidique année 1929 ! L’année de la gande crise américaine se confond avec l’explosion du cinéma parlant, boulversement esthétique qui apporte en Europe – avant les premiers retombés de la crise – les comédies musicales d’Holywood ! Alors, le music hall parisien se met à la page… A ce titre, on découvre avec étonnement « je chante sous la pluie », adaptation française du célèbre » i singin in the rain », par Gregor et ses Gregorians – tout un programme. Ce qui n’empêche pas Maurice Chevalier de poursuivre sa carrière inoxidable, Marie Dubas de continuer à défendre la chanson réalistre, etc.Christophe DESHOULIERE - CENTRE PRESSE
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« The Golden Gate Quartet – Live à Vienne » par Jazzman
Catégories : Article de presse ( Article de presse )L’importance du Golden Gate Quartet déborde largement le cadre strict de la musique religieuse afro-américaine. La précision des ensembles, les harmonies serrées et les arrangements policés impeccablement exécutés qui constituent, depuis trois quarts de siècle, la marque de fabrique de cet ensemble, ont aussi servi de modèle à nombre de groupes vocaux relevant de la musique profane. Les quatre premiers titres du Golden Gate Quartet renvoient à ces critères d’excellence en proposant des interprétations relevant de la tradition la plus authentique. [...] Le tout est honorablement filmé. Alain TOMAS - JAZZMAN
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Une leçon de styles par Le Nouvel Observateur
Catégories : Article de presse ( Article de presse )"Le jazz manouche est à la mode. Mais il n’avait pas jusqu’ici abordé les rivages du répertoire jeune public. Lacune comblée avec ce spectacle concocté par un spécialiste du genre le guitariste Doudou Cuillerier. La musique est impeccable. [...] Au moins « Mister Django et Madame Swing » a-t-il le mérite d’être pédagogique au meilleur sens du terme et de présenter très clairement aux enfants ce que sont le scat, l’improvisation, le swing, le jazz etc…Une leçon de styles." par ISABELLE CALABRE - LE NOUVEL OBSERVATEUR