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  • «Tromboniste de valeur et personnage-clef du jazz parisien » par Jazzman
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    En ces années-là, lorsqu’ un amateur avait dépensé toutes ses économie entre le club de St Germain et le Blue Note, il lui restait une seul solution afin d’assouvir son vice : aller pour le prix d’une consommation écouter les « Antillais » à la Cigale. Sous le signe de l’éclectisme s’y pratiquait un jazz roboratif de première qualité. Nous est offert aujourd’hui l’opportunité de revenir sur ces moments de bonheur et, un demi siècle plus tard, s’imposent toujours la qualité des arrangements d’Al Lirvat (Route 66, I’m in the mood for love, When the saints) et la valeur des solistes. Benny Waters qui, sur Blues in the Groove ou Yes ! The Cigal Sing again damerait le pion à l’illinois Jacquet ; Chidebert Mourinet proche de l’excellent Robert Ma-Vounzy ; Pierre Jean Louis, surprenant pianiste ( Two Baboons) et Al Lirvat lui-même, tromboniste de valeur et personnage-clef du jazz parisien qui révéla Michel Sardaby, Alain Jean Marie et André Condouant. Il est bon de pouvoir lui rendre tri [...]

  • « Al Lirvat and his cigals band» par Jazz Magazine
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    De 1955 à 1961, le tromboniste guadeloupéen Al Lirvat a dirigé l’orchestre de la Brasserie de la Cigale, qui comptait dans ces rangs le saxophoniste Benny Waters. Il existe peu d’enregistrements de ce septette, qui naviguait entre middle jazz du dixieland. Celui-ci, datant de 1955, témoigne d’une des facettes du jazz que l’on pouvait entendre alors à Paris.P.P - JAZZ MAGAZINE

  • On en cause déjà à la récré... par Djangostation
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    "Après avoir accompagné longtemps les plus grandes pointures du jazz manouche, Doudou Cuillerier sortait enfin son propre album A feu doux en 2005. Aujourd’hui, et toujours à la tête de sa formation Doudou Swing (Victorine Martin à la guitare, Antonio Licusati à la basse et Emy Dragoï à l’accordéon), Doudou concrétise un nouveau projet qui lui tenait à cœur depuis longtemps et qui lui va comme un gant : un conte musical pour les enfants. Alors bien sûr, le conte va parler des manouches et de Django ! Et plus précisément de l’apprentissage de la musique, écrite et improvisée. En suivant les pérégrinations de Mister Django le manouche apprenti guitariste et de son ami savant le professeur Onoff, tous deux en quête de Madame Swing kidnappée par la méchante Sorcière des Arpèges, on va en apprendre beaucoup sur la musique : le rôle de chaque instrument, l’importance du rythme, le plaisir du swing et de l’improvisation et la jubilation du scat, mais aussi l’intéret de savoir lire une pa [...]

  • Voilà un duo palpitant par Jazz Hot
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    J’ai toujours aimé la musique de Sylvain Kassap, et là je suis comblé. De plus sa liaison musicale en duo avec Hélène Labarrière produit un choc émotionnel rare. Ces deux musiciens, auteurs de tous les thèmes sauf un, sont de grands lyriques à l’état sauvage. Kassap c’est le chant de l’âme des plages les plus lumineuses aux recoins les plus sombres. Labarrière c’est le lyrisme contenu qui peut éclater en folie rythmique .Voilà un duo palpitant qui nous mène de surprise en surprise vers un plaisir suprême. Qu’on écoute l’unisson la basse-contrebasse dans « Brouhaha » et « Hélène », ils sont beaux comme des cantiques. Sur le dernier morceau la basse décale le rythme tandis que la clarinette joue son blues imperturbable : sacré moment ! « Désert» Une mélopée brisée à la clarinette ponctuée par des notes de rondes ou sèches, c’est beau comme la religion des athées. Mais le point sublime c’est « Strange Fruit », Kassap est d’un lyrisme fou, tendu, poignant, qui vous arrache des larmes [...]

  • l’esprit du jazz par Télérama
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    Faut-il ou non à la France un Orchestre de jazz ? Le débat dure depuis ses débuts, en 1968. Quatorze ans, six chefs et treize disques plus tard, la question se pose toujours. Plus ailleurs pour les amateurs de big bands que pour les autorité culturelle et pour les musiciens, qui sont contents, quand ils sont recruté, d’être libérer pendant deux ou trois ans de l’insécurité matérielle, et de participer à une expérience artistique controversée. Le choix des chefs et de la durée de leur mandat, leur goût plus ou moins prononcé pour la recherche restent l’objet de leur controverse. Jusqu'à la nomination de Paolo Damiani pour la prochaine direction de l’O N J, les chefs ont toujours été français (ce que les statuts n’imposait pas) ; leur mission est passé d’un an à deux, puis à trois ans. Le bilan en termes esthétique, est globalement positif. Du point de vu d’un chroniqueur de disques, celui de l’O N J dirigé par François Jeanneau semble le seul à pouvoir figurer dignement dans une di [...]

  • Travail d’avant-gardiste éclairé
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    Une contrebassiste, Hélène Labarrière, un clarinettiste Sylvain Kassap, unissent leurs efforts pour exprimer à travers leurs compositions, la vision actualisée de leur conception musicales_ mélange de ferveur et de fureur extravagante_ qui, d’ailleurs, confirme leur engagement dans la musique européenne dérivant du free. Vision parfaite de ce courant de musiciens avancés qui, au mépris de critiques éventuelles, continuent ce travail d’avant-gardiste éclairé. Un témoignage approprié de ce monde où la révolution est toujours en détour du chemin.JAZZNOTES

  • « Entre le très bon et l’excellent » par Jazz Magazine
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    Commençons par les reproches : sous-titre un peu présomptueux (mais n’est-ce pas le cas de tous les « Best of » ?), sélection ignorant superbement les boppers, boîtier volumineux et malcommode, photo plutôt cucul, commentaires des titres un peu trop systématiquement dithyrambiques. Quant au bon, à l’excellent côté, il est à rechercher (ce qui, au fond, est ce qui importe) dans la musique. Ces retransmissions radio nous font entendre le gratin des big bands de l’époque (curieusement classés par ordre alphabétique : Armstrong, Basie, Ellington, Hampton, Erskine Hawkins, Andy Kirk, Lunceford, Millinder, Webb) mais aussi des petites formations (Goodman, Pete Johnson, Louis Jordan, John Kirby, Kid Ory). Tous sont au mieux de leur forme, voire euphoriques (Hampton’s Boogie Woogie, évidemment) et nous offrent des interprétations parfois assez éloignées de leur prestations en studio. Certains orchestres mériteraient un disque, voire un coffret spécial (comme Basie, qui a souvent été enreg [...]

  • « Une incroyable bande-son » par Le Journal des Instituteurs
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    La diversité est celle des hommes, des paysages, des coutumes, mais aussi des sons : là où chante le cassican à collier qui semble rire de notre intérêt, les coquelicots ne poussent pas… Ces ambiances sonores comportent une dimension émouvante, elles attirent notre attention sur la fragilité de ces écosystèmes. La librairie sonore Frémeaux & Associés a fédéré un certain nombre de labels phonographiques pour constituer une sonothèques des écosystèmes, dont il faut espérer que ce ne soit pas le musée figé d’ambiances mortes. Grande est l’étrangeté de ces sons australiens (les grenouilles font vibrer une contrebasse !). On pourra rechercher les photos de ces oiseaux et proposer aux enfants de réaliser une fresque qu’animerait cette incroyable bande-son. JOURNAL DES INSTITUTEURS

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