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  • « Dissocier les notes et les mots » par Platine
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    Un texte de chanson n’a bien souvent aucune valeur s’il ne repose pas sur des notes. Gainsbourg est, peut-être, un des rares à pouvoir dissocier les notes et les mots et que ces derniers puissent vivre leur vie. Dans le double CD Portraits, pas de musique, que des textes lus (plus ou moins bien). On en retiendra Bambou dans : L’eau à la bouche (1959), Bonnie and Clyde en duo avec Maurice Garrel (Serge et BB en 1967), Desespérado (Dario Moreno 1968), L’anamour (F.Hardy 1968), Baby Lou (A. Chamfort 1977), Souviens-toi de m’oublier en duo avec Garrel (C. Deneuve et Serge, 1981), Dépression au dessus du jardin (Catherine Deneuve 1981), Malaise en Malaisie et laide, Jolie laide (A. Chamfort 1981), En rire de peur d’être obligée d’en pleurer (J. Birkin 1983), pour ce que tu n’étais pas (Charlotte 1986), Des ils et des elles (Birkin 1990), ainsi que ses propres chansons Lulu (1986), Aberdeen et Kowloon et Made in China (1989). Également Lulu, le fils de Serge, chantant Eau et Gaz à tous [...]

  • « Á découvrir » par La Classe
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    De la chanson à la poésie : peu de textes résistent à ce passage de la forme chantée au dénuement total. Quelques rares chanteurs de variétés ont parfois frôlé la poésie : Ferré, Trenet et…Gainsbourg, en faveur duquel vient témoigner un double CD intitulé « Portraits ». Lues par différents comédiens, 78 chansons sans musique deviennent ici 78 poésies modernes à découvrir littéralement. Des textes à l’étrange beauté : toujours sophistiqués, souvent désespérés, ils forment une œuvre à part entière…à ne pas mettre entre toutes les oreilles !LA CLASSE

  • « Chansons mises à nu » par L’Alsace
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    Serge Gainsbourg observait : « le problème est simple : soit on a du talent, soit on a du génie. Or, le génie ne peut s’exprimer que par la peinture, l’architecture, la poésie ou la sculpture. Il reste la poésie…Il me reste la poésie ». A travers 78 lyrics…sans musique, on peut découvrir, dans un coffret de deux CD chez Frémeaux & Associés, des chansons mises à nu par de bonnes voix pour goûter différemment la force évocatrice du verbe de Gainsbarre. « Je suis venu te dire que je m’en vais et tes larmes n’y pourront rien changer… », c’est aussi un beau texte.L’ALSACE

  • « Poésies touchantes et imagées » par Notes Bibliographiques
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    Soixante-dix-huit poèmes de la vie quotidienne dits par Maurice Carême. La diction est excellente, le ton déclamatoire. Il célèbre l’amour, la femme (« Femme tu es la saveur de mon pain »), sa mère (« J’ai eu de toi une image qui ne vit que dans mon cœur »), la famille, Dieu et aussi la nature qui l’émerveille…Pour lui le poète est l’homme qui parle aux autres hommes de tout ce qui donne du prix à l’existence. Belge francophone, il devint instituteur puis se consacra à son œuvre pour laquelle il a reçu de nombreux prix. « Calme toi, calme toi, retrouve ton silence ne te retourne pas sur ton passé perdu ». Un livret retrace la vie et l’œuvre de ce poète dont nous avons tous appris, à l’école, des poésies touchantes et imagées.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « Magicien des mots et des images » par Famille Chrétienne
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    Tout enfant a appris, dans le primaire, des Poèmes de Maurice carême, dont la langue, claire et limpide, est d’une simplicité voulue. En voici soixante dix huit interprétés par l’auteur lui-même (1899-1978). Magicien des mots et des images, poète du bonheur, de la spiritualité et de la vie, il est aussi le poète de l’enfance, dont il a gardé la capacité d’émerveillement.FAMILLE CHRÉTIENNE

  • « L’amour de la vie » par Paganimo
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    Loin des productions « savonnettes » qui ne durent même pas le temps que vivent les roses…Frémeaux & Associés ont pris le parti de nous faire redécouvrir les artistes, les auteurs et les musiciens qui ont marqué le XXe siècle. Compiles ? Ah que non ! La démarche est tout autre : coffrets présentés comme de petits livres musicaux, de ceux que l’on garde, que l’on prête…à de vrais amis (pour être sûr de les récupérer un jour) ces éditions méritent d’être connues, et Paganino y reviendra. Une de leurs dernières productions est consacrée à Jacques Prévert, ce monument qui a rejoint très vite Molière et Voltaire en classe de Français, avec son franc parler, son anarchisme volontairement tendre mais sans concession qui nous emmènent au pays de l’enfance pour une candeur, une joie de vivre, une fraîcheur qui relèguent « aux autres » la haine, la guerre, l’intolérance…Frémeaux a pris le parti de Jacques : la vérité d’un récit illustré par les interprètes les plus fidèles et amoureux de sa [...]

  • « Une joie continue » par Elle
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    Rien ne pouvait mieux célébrer la naissance de Jacques Prévert (4 février 1900) que ce coffret de quatre CD réalisés par Radio France INA. Chacun de ces enregistrements est consacré à l’un des thèmes préférés de l’auteur : l’enfance, l’amour, la musique, la liberté. Impossible d’énumérer toutes les voix des intervenants (Juliette Gréco, Pierre Brasseur, Cora Vaucaire…), mais nul ne manque à l’appel. Une joie continue, à la fois nostalgique et toujours actuelle.P. H. - ELLE

  • « Faire de la poésie avec des mots simples » par Phonoscopies
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    « Auteur le plus important du XXe siècle ? » cela serait sans doute faire injure aux Proust, Gide, Aragon, Colette, Montherlant ou Cocteau…Disons que, plébiscité par le grand public plus que par les intellectuels, Prévert aura été d’abord un formidable vulgarisateur, prouvant – avec Charles Trenet – que l’on peut faire de la poésie avec des mots simples, de tous les jours. Si ces poèmes devenus chansons doivent surtout à l’étonnante musique de Kosma, le cinéma des années 30 – 40 doit beaucoup au scénariste et dialoguiste. « Prince sans rire » du calembour et du coq à l’âne, jongleur de mots à l’éternelle cigarette vissée au coin des lèvres, ce « passant considérable », attachant et humain, restera le témoin lucide et idéaliste de son temps. Cette « Promenade-Prévert » qui se présente comme une succession de témoignages, d’archives radio, de rééditions de disques, a obtenu le Grand Prix de l’Académie Charles Cros.PHONOSCOPIES

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