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  • « Le siècle d’Ellington » par Télérama
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    L’année Ellington s’achève en même temps que le siècle d’Ellington, puisque le Duke était né en 1899 ? Alain Pailler a sorti, chez Actes Sud, un livre inspiré et plaisamment écrit, Plaisir d’Ellington, où il soutient que les grandes années de l’orchestre sont 1940, 1941 et 1942. Pour le plaisir de se contredire, il choisit dans la compilation qui fait pendant au livre des morceaux élargissant le spectre de 1937 à 1945. Tous mettent aussi en valeur les hommes du Duke, sans lesquels il n’y aurait pas eu l’œuvre ducale : les grands solistes qui donnent, au sein de leurs section, sa couleur à l’orchestre.TÉLÉRAMA

  • « Éternel » par Jazz Notes
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    Trente-six chefs d’œuvres qui se dégustent comme un savoureux breuvage dans un ordre parfait. Tout a été dit sur ce compositeur génial dont le principal instrument était l(orchestre. Pour ceux qui n’ont pas, pour différentes raisons, écouté le Duke, faites l’effort et vous comprendrez pourquoi cet homme est tout à fait unique, proposant par sa musique un monde à part. Éternel. Pochette toujours en français et donnant des précisions savoureuses et judicieuses.JAZZ NOTES

  • « Se sentir vraiment universel » par Jazzman
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    Ellington savait bien qu’il était un grand compositeur, mais il s’est toujours inscrit dans cette tradition populaire des negro minstrels. Il se reconnaissait l’héritier d’une culture douloureusement enracinée dans l’obscurité de la mémoire, et au lieu de s’en plaindre, il se sentait d’autant plus libre. Fier de son origine Africaine, il revendiquait pleinement sa citoyenneté américaine ; fasciné par la culture européenne mais aussi par l’Orient, il a été l’un des premiers musiciens à se sentir vraiment universel. Le mot jazz le gênait aux entournures. Il ne cessait de répéter : « il n’y a que deux catégories de musique, la bonne et la mauvaise ». La bonne, c’était cette maîtresse qui ne l’a jamais déçu, et au soir de sa vie, il lui dédiait ce poème d’adolescent : « Errant dans la jungle cacophonique en quête d’un bruit plus agréable, je vis la vie d’un primitif avec une âme d’enfant et rien n’étanchera ma soif de dièses et de bémols. Je suis presque un ermite, mais dans ma cavern [...]

  • « Au mieux de sa forme » par Le Journal
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    Si vous voulez re(découvrir) Duke au sommet de son art, au milieu des siens, il faut vous procurer sans plus tarder les 2 CD publiés par Frémeaux & Associés (FA 170), ce double album restitue l’univers Ellington dans sa somptuosité sonore, à travers ses plus beaux enregistrements gravés entre 1937 et 1946. Duke s’impose définitivement comme le maître de l’orchestration, à l’affût de nouvelles combinaisons de timbres, qui varient à l’infini grâce à l’usage intensif des sourdines, l’origine du style « Jungle ». Ellington a surtout été inspiré par les musiciens de son orchestre, pour lesquels il composait, « Les hommes du Duke » parmi ces hommes, le trombone Tricy Sam Nanton, dont Alain Paillet, l’auteur du remarquable livret (30 pages) qui accompagne l’album, se demande par quel procédé, il parvient à serrer d’aussi près le grain de la voix humaine. Autre « homme de Duke », Harry Carney, véritable inventeur du saxo baryton qui, solide comme un roc, officia pendant près de 50 ans dan [...]

  • « Son plaisir est le nôtre » par L’Express
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    Et s’il fallait réitérer l’importance des musiciens de génie qui, comme Hodges, ont servi d’inspiration et de voix aux plus beaux tableaux du Duke, on n’aurait qu’à se ressourcer dans ce Plaisir d’Ellington – The Duke and his men (Frémeaux & Associés FA 170 / Distribution  SRI), le plus récent coffre à trésors à nous arriver de la maison Frémeaux, maître es rééditions. Ce n’est pas qu’on soit tombé sur la caverne d’Ali Baba, puisque l’essentiel de ces 36 titres cueillis au fil des années 1935-46 se retrouvent dans le coffret The Blanton-Webster Band et les innombrables volumes de la série Classics. Mais la principale vertu de Plaisir d’Ellington est de recomposer par touches bien choisies le portrait musical d’une formation à son zénith. Disposant d’une extraordinaire palette de timbres et de sensibilité – l’alto de Johnny Hodges, la clarinette de Jimmy Hamilton, le ténor de Ben Webster, la contrebasse de Jimmy Blanton, pour ne nommer que ceux-là -, Duke et son alter ego Bill Stra [...]

  • « Le visionnaire » par Jazz Notes
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    Après le couple somptueux Lady Day / Prez, voici l’homme seul grand maître du jazz, possédant un nombre important de disciples et qui resta longtemps incompris. Écoutez donc ces enregistrements les plus essentiels de sa période 1936-1944 où il va à l’opposé du courant défini par Coleman Hawkins. Lester sera toujours le visionnaire représentant exclusif de la décontraction, dans un swing toujours intense. Un coffret qui possède des joyaux dont amateur ou débutant dans le Jazz doit s’imprégner. Merveilleux.JAZZ NOTES

  • « Entre un homme et une femme » par L’Affiche
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    Si j’étais dictateur ou président, j’imposerais une fois par semaine, à l’heure de grande écoute, (et une fois par jour, spécialement à l’intention de Monsieur Robert-André Vivien, rapporteur odieux-visuel auprès de je ne sais trop quel machin où l’on n’a sûrement pas le temps d’écouter du jazz), j’imposerais donc, disais-je, la vision de « Jammin’The Blues », ce court-métrage de 1944 tourné par Gjon Mili avec Harry Edison, Ilinois Jacquet, Barney Kessel, Red Callender, Sidney Catlett et…Lester Young, le président comme l’appelait Lady Day, Billie Holiday, la meilleure de ses partenaires. « Jammin’ The Blues »,c’est un rêve éveillé qui danse, sculpté dans le jazz, la lumière noire et blanche et la fumée des cigarettes, un tempo et une poésie désormais tellement rares (comme les Jacques Tati perdus sur nos étranges lucarnes ces dernières semaines à 20h30, sur Arte certes) que même les plus cool et les plus endurcis de nos concitoyens zapperaient sans comprendre puisque zapper, nous [...]

  • « Young’s early peak » par Jazz Journal International
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    Dispensing first with the negative : only one track with Billie Holliday, excused because of two other albumes available on the same label – wich sounds to me like a marketing ploy. Slightly off speed on Lester Leaps Again ; and Glenn Hardman’s organ playing. Pretty nearly everything else that can be said has to be positive, but only because I think there might be some strange Gallic logic in arranging the tracks in random order – unless the object was to give me a headache rearranging the personnel details. Musically, every track has merit, much excellent playing from the stars of the proceedings, fine support from the other great names on hand. The period covered, 1936 to 1944, was Young’s early peak (later he was different, better or worse being an idiosyncratic decision). Listening again to the poised elegance of his solos during this period it is striking how far he had turned away from the accepted sound and style of the saxophone tenor in jazz. The melancholy quality that m [...]

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