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  • « Vivier de chefs d’œuvre » par Jazzman
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    Ce second volume de l’indispensable florilège, toujours sélectionné et présenté par ce grand maître lesterien qu’est Alain Gerber, complète tout aussi amoureusement la précédente « Quintessence » (FA 210) qui s’arrêtait en 1944, domaine public oblige. Ce double album nous permet ainsi de redécouvrir quelques perles « basiques » de Lester Young (avec le Kansas City Six ou au sein de l’orchestre de Count) qui n’avaient pu trouver leur place dans le premier coffret ni d’ailleurs dans le volume consacré à Count Basie (FA 202). Mais surtout, il permet de retrouver le saxophoniste au sortir du cauchemar du service militaire  et du séjour forcé dans des baraquements disciplinaires qui lui inspira en Janvier 1945 le déchirant D. B. Blues. Soi la première parmi les dix plages sélectionnées par Gerber dans le vivier de chefs d’œuvre que recèle le label Aladin, pour lequel Lester enregistra, de 1945 à 1947, trente titres. Dont, bien entendu, These Foolish Things qui est à Lester Young ce que [...]

  • « Lester Young est essentiel » par Répertoire
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    Tout, je dis bien tout, ce que Lester Young est essentiel, à un titre ou à un autre. Cette excellente anthologie, qui complète la précédente 1936-1944 (FA 210) et celle dévolue à Count Basie (FA 202), s’impose si l’on ne souhaite pas acquérir l’intégrale entreprise par Masters of jazz.RÉPERTOIRE

  • « On a smooth cushion » par Jazz journal International
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    I suppose most diehard jazz collectors will possess these titles, but probably scaterred among many ancient 78s and recentky obsolete LPs. Anyway, i twas a nice, romantic gallic touch to produce a compilation emphasising the close relationship – musical and social – between Billie Holiday and Lester Young. John Hammond claimed that they met for the first time at  the Teddy Wilson recording session he organized on January 25, 1937, but Billie has state dit occured earlier in Harlem during a jam session at the Uptown House, where she was singing. ‘It was at one of those sessions I first met Lester Young. From then on, Lester knew how I used to love to have him come around and blow pretty solos behind me’. This is just what he does on these tracks ; he is reflective, understated and completely empathetic with his Lady Day, while she, of course, is superb. Teddy Wilson is his usual suave, brilliantly lyrical self, and the very underrated Buck Clayton supplies tender, mostly muted supp [...]

  • « Avec cœur et sincérité » par Notes Bibliographiques
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    Un hommage « for ever » à Gainsbourg par ses amis, avec une préface de Richard Cannavo et de nombreuses photos de lui, de sa famille, d’écrits de ses fans, de sa demeure. Soixante dix huit courts textes de ses chansons dits par trois femmes et trois hommes avec plus ou moins de talent, mais certainement avec cœur et sincérité. De « Il était une oie » créé en 1959 par Juliette Gréco, à « Les mots inutiles » en 1998, Gainsbourg a écrit et mis en musique toutes ses chansons : humoristiques, mélancoliques, provocatrices, tendres, érotiques, il aimait jouer avec les mots, se référer à Verlaine, Shakespeare, Apollinaire et même Bossuet ! C’était un désespéré, il avait l’obsession de sa laideur. Malgré le succès, il doutait de lui, heureusement, disait-il « il me reste la poésie »…Il nous reste ses chansons.NOTES BIBLIOGRAPHIQUES

  • « La magie continue » par Jazz Hot
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    Onze ans après le précédent, B.B. Boy remet cela, en Amérique cette fois, à Austin et avec des partenaires bien choisis. Le  feeling est toujours là et la magie continue de faire ses effets. C’est original et bien torché, les West Side Horns apportant ce plus qui fait la différence là où il faut. Certaines mélodies accrochent vraiment et restent en mémoire de façon insistante (« Gare ta voiture… », « C’est moi qui tient l’volant », les très belles ballades, entre autres, « Toujours demain » et « T’es la seule »). Une mention spéciale à « Hey toi » (harmonica et guitares) à « Rentrer chez soi » (accordéon !) et au très swamp-pop « Tout les jours ». Avec ‘J’suis pas l’homme qui t’faut », « Tu sais rien » et quelques autres titres, Benoît prouve qu’il est possible de swinguer en Français et d’aucuns pourraient en prendre de la graine. En fait, aucun titre ne laisse à désirer. Le plaisir d’écouter commence avec le premier et perdure jusqu’au dernier avec quelques points forts de-ci de [...]

  • « Fantasme Américain » par Bluesborder
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    Là c’est carrément le rêve de gamin qui se concrétise : alors qu’on imaginait bien que, tôt ou tard, il pourrait se risquer à aller enregistrer en Louisiane, c’est à Austin, Texas, que Benoît est parti réaliser son fantasme Américain. Son infidélité envers ses Tortilleurs se justifie par la grâce d’un line-up qui colle parfaitement à ses histoires de traîne-savates. A l’opposé d’un Halliday ou d’un Eddy Mitchell (qui jouèrent la carte exotique des invités de renom, de Tony Joe White à Charlie Mc Coy), Benoît (qui avait préparé son coup) s’entoure ici d’une rythmique millésimée : « Uncle » (« Unk ») John Turner (premier batteur de Johnny Winter) et les bassistes français (mais émigrés au Texas) Pierre « Pitou » Pelegrin et Jean-Jacques Barreda (qui remplaça feu Keith Freguson au sein des Tail Gators !). A la guitare, un métis mescalero d’El Paso qui accompagna Paul Orta et Lou Ann Barton, Hector « Araña » Watt (l’araignée !) : un killer tout en souplesse, au style inimitable, et po [...]

  • « Histoires de tous les jours » par Soul Bag
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    On attend les rendez-vous de B.B.B. comme d’autres l’heure du conte. Cette fois-ci, il nous conte des aventures à la Hergé avec ce Benoît Blue Boy en Amérique. Date d’enregistrement : juillet 2000. Lieu : Austin, Texas, avec la crème des musiciens locaux, plutôt chicanos que chicagoans. Soit « Unk » John Turner à la batterie et l’impeccable Hector « Arana » Watt à la guitare. Dans Blues en la noche, l’harmoniciste partage d’ailleurs le micro avec « son pote » (sic) Randy Garabay pour un blues dans la nuit faussement nonchalant en « vieux parler des paysans », ceux qui ne comprennent pas les Américains, surtout quand ils portent l’étoile de shérif. Ici comme ailleurs, les cuivres sont cuivrés à souhait. Où qu’il enregistre, Benoît Blue Boy amène avec lui son imaginaire, ses histoires de tous les jours, de rendez-vous manqués, de taxis qui arrivent, de trains qui partent, de femmes qu’on attend et qui, pour un peu (J’suis pas l’homme qui t’faut) demanderaient à leurs hommes de trava [...]

  • « Une légende » par Soul Bag
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    Je fus d’abord dérouté : pas de Tortilleurs, prédominance de rythmes lents ou médium, harmonica discret, étai-ce bien le bon disque ? Et puis tout s’est mis à sa place, 100% Benoît Blue Boy, comme il l’explique dans l’interview. On connaît son attirance pour le Sud des Etats-Unis, sa capacité à prendre du recul, son expérience, cette capacité qu’il a de ne jamais trop en faire, une voix juste posée, des solos d’harmonica simples qui créent l’ambiance, mais ne l’encombrent pas par une avalanche de notes, s’effaçant presque pour laisser la place aux accompagnateurs. Le choix d’Austin comme lieu d’enregistrement s’imposait : c’est le seul endroit où toutes les influences de Benoît sont présentes, blues texan, swamp blues, zydeco, rock’n’roll, tex mex, rhythm & blues. C’est bien ce que le disque contient : un authentique festival de ces musiques, servi par la crème musicale du genre. Les cuivres des West Side Horns sont chauds avec des arrangements proches du concert, à des années lum [...]

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