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  • « Une interprétation fine et brillante » par L’éducation Musicale
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    L’œuvre pour pianoforte de Mozart fait partie de ce que l’on tend à considérer comme faisant partie des « badineries », des plaisanteries de et pour salon. Or, qu’elles soient en majeur comme le KV 19b ou le KV 358 ou qu’elles soient en mineur comme le KV 401, elles contiennent une joie de vivre qui fait indéfectiblement penser au mot d’Arthur Schnitzler : La musique, assurait-il, a certainement un caractère amoral. Sous l’influence de son mélodieux je me sens prêt à m’absoudre de tous mes pêchés, passés et futurs. Nadine Palmier et Joël Rigal qui ont été les élèves des plus grands (Demus, Badura-Skoda), donnent de ces œuvres une interprétation fine et brillante qu’ils expliquent dans un bon livret d’accompagnement qui replace ces pièces dans leur contexte. La prise de son est bonne, mettant en valeur non seulement le jeu des interprètes, mais aussi le Mc Nulty prêté par Paul Badura-Skoda.Daniel FONDANECHE – L’ÉDUCATION MUSICALE

  • Oiseaux forestiers et montagnards par l'Ornithologue
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    Dans notre revue L'Ornithologue, j'ai pr&eacute;sent&eacute; le premier CD de cette collection Petite m&eacute;thode pour apprendre &agrave; reconna&icirc;tre les chants de nos Oiseaux Familiers. Le premier CD de cette s&eacute;rie a connu un tel succ&egrave;s qu'il a incit&eacute; les &eacute;ditions Sittelle (devenues Fr&eacute;meaux) &agrave; publier le second double CD sur les oiseaux forestiers et montagnards, selon la m&ecirc;me formule, ce qui permet nottament aux non-voyants d'utiliser ce guide sonore, depuis longtemps demand&eacute;. Marcel RUELLE - L'ORNITHOLOGUE

  • « Ligne mélodique» par Le Monde de la Musique
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    Dès la première pièce du programme, de mon pays natal de Smetana, Frantisek Novotny fait montre d’un archet autoritaire et d’une conception intensément narrative. Le style du violoniste, avec son vibrato serré, évoque la vieille école russe. C’est pour cela que, jouée par lui, la sonate de Janácek, ahurissant concentré de musique contradictoire, fragmentaire, subjective, peut déconcerter par son académisme. On est loin des ouvertures vertigineuses que laisse supposer le jeu d’un Josef Suk (Supraphon), mais l’expression plus sereine du second mouvement convient parfaitement à Novotny. Son jeu charpenté, bien qu’en contradiction apparenter avec l’œuvre, prépare l’évasion inattendue que représente le dernier mouvement de cette sonate, qui est, avec celle de Debussy, le chef- d’œuvre du genre au XXé sicle. Novotny et son fidèle pianiste Vladimir Holly ne s’apitoient guère sur la nostalgie supposée de la Sonatine de Dvorák et préfèrent, à juste titre, en révéler la ligne mélodique et l [...]

  • « La qualité des albums Frémeaux » par Blues Again
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    Que vous dire de plus sur ce double CD. Vous connaissez l’artiste, la qualité des albums Frémeaux et vu la note, il n’y a pas grand chose à ajouter. Vous y retrouverez quelques un de ses grands succès comme Short-haired woman, Coffee blue. Lightnin’s rock porte bien son titre et l’on peut s’imaginer où les futurs rockers ont pu puiser leur inspiration. Que pensez-vous du titre plutôt inattendu Zydeco (Zologo), Lightnin Hopkins ne s’est pas installé derrière sa guitare même derrière un orgue, le résultat est des plus surprenant, mais à découvrir. Tous les autres morceaux sont de très bonne qualité ainsi que le son. On ne se rend pas compte que ces enregistrements ont plus de cinquante ans. Le livret présenté par Gérard Herzhaft est comme d’habitude très complet sur la vie de Lightnin’ Hopkins. Il n’y a rien à jeter, juste à vous régaler. Stéphane BISET – BLUES AGAIN

  • « La culture doit être un plaisir » par Le Journal du médecin
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    Mieux que la philosophie expliquée à ma fille, l’œuvre de Michel Onfray se base comme celle - dans un autre domaine - de Pierre Bourdieu sur le refus de divisions en castes « pensantes » ou pas : « J’ai enseigné vingt ans dans l’Education nationale en Lycée technique après avoir refusé, une fois ma thèse soutenue, d’intégrer l’Université comme m’y invitait ma patronne de Doctorat. 20 années pendant lesquelles j’ai souhaité pratiquer la discipline avec des élèves gâchés par le système, exclus dès leur plus jeune âge et dirigés vers la rentabilité de matières qui ne leur plaisaient pas – la comptabilité, le secrétariat, le commerce. L’obligation de transmettre et de pratiquer une discipline pour laquelle ils avaient une prévenance légitime – vive les professionnels de la profession ! – m’a contraint à une formule dont je n’ai pas fait mon deuil depuis : ne pas baisser la philosophie jusqu’à eux, mais les hisser jusqu’à elle… » Voilà l’un des principes de l’université populaire énonc [...]

  • « Des enregistrements rares » par Phonoscopies
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    En fait, ce quartier ne doit sa célébrité qu’aux immédiates années de l’après-guerre, symbolisées par quelques noms : les anciens, Prévert et Sartre et les modernes, Boris Vian et Greco. Son activité artistique ne s’exerçait que la nuit. Ne l’ayant connu que de jour, à partir de 1952, seuls les nombreux bouquinistes, disquaires, comme les petits cinémas proches du « Boul’Mich » qui programmaient en permanence les films des Marx Brothers ou de Fred Astaire, nous intéressaient… Ce quartier paisible exhalait une véritable atmosphère de bibliophilie et de cinéphilie… Qu’en est-il aujourd’hui ? A travers des enregistrements rares, tels ces acétates « Une soirée au Tabou » et ceux de « Boris Vian et son Orchestre », Daniel Nevers, dans son livret de 34 pages, décrit cette époque qui, fort justement, « comme tout ce qui est beau, ne saurait se risquer à durer sans y laisser son âme ».Ceux qui avaient 20 ans vers 1948, acteurs ou témoins, conservent, et c’est normal, une grande tendresse [...]

  • « Un génie en pleine irruption » par Classica-Répertoire
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    L’intégrale des enregistrements de Louis Armstrong se poursuit donc heureusement avec des cires gravées du 8 octobre 1925 avec Clarence Williams à celle du 16 novembre 1926 par son légendaire Hot Five. On sous-estime généralement les faces où il accompagne des chanteuses, comme ici Chippie Hill, Blanche Calloway, Hociel Thomas, Baby Mack ou Sippie Wallace. Si ces dernières y sont effectivement souvent inoubliables, Louis y perfectionne pourtant son art admirable du contre-chant, étant contraint par la nature même de son rôle à de superbes paraphrases et à des décalages rythmiques qui contribueront peu à peu à lui faire acquérir cette grammaire musicale nouvelle dont il capitalisera les acquis, avec une liberté proprement génial, lors des séances sous son nom. En effet, le centre de gravité des 65 plages de ce coffret est à l’évidence représenté par les célébrissimes séances du Hot Five de Louis Armstrong, en particulier celle du 26 février 1926 où sont gravés pour l’éternité six c [...]

  • « Se documenter intelligemment sur le passé du Jazz » par Jazz Man
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    « Harlem was the Place, 1929-1952 » est une compilation réalisée par Jacques Morgantini qui, si elle n’apporte guère de révélations par les morceaux qui la composent, donne un aperçu impressionnant de ce qui se passa à Harlem. A recommander aux néophytes qui voudraient se documenter intelligemment sur le passé du Jazz. Alain TERCINET – JAZZ MAN

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