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  • «Florilège Antillais de l’après guerre (1946-1950) » par RFO
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    Biguines, valses et mazurkas créoles par la fine fleur des clarinettistes antillais de l’après guerre. A travers 20 titres, Don Baretto, Honoré Coppet, Alphonso et leurs orchestres livrent là les richesses du patrimoine musical des Antilles d’après-guerre. Le CD s’ouvre sur « Parfum des Iles » qui donne son titre à l’album. La voix espiègle de Moune de Rivel qui interprète 2 titres de sa mère Fernande de Rivel fusionne avec l’orchestre de Baretto. Jean-Pierre Meunier nous offre un bijou précieux, quelques-unes des plus belles chansons créoles. Cet album nous permet de redécouvrir Sylvio Siobud qui joue sa propre composition  « Ba yo milatresse », Mariépin, Fréjus Mauvois. Un véritable « arc-en-ciel » de clarinette Créole. Ardeur et émotion animées par un enthousiasme de communication du do à l’ut percutent. Á écouter comme -antan- du « Bal Nègre » de la rue Blomet où Honoré Coppet a officié à partir de fin 1947. Un livret de 32 pages en français et en anglais illustré de 12 photos.RFO

  • « There is no better place to start than here » par Dirty Linen
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    Unappreciated at home, many Guadeloupe and Martinique Creole musicians move to Paris, where they achieved great popularity in the West Indians cabarets during the 30s and 40s. Apparently it must have been quite a scene, as this is Frémeaux & Associés’ third double-disc release of biguine. It includes a few waltzes, mazurkas, rumbas, and chansons. Biguine dates back to the 19th century, when Créolesfused traditional bèlè music with the polka. Instrumentally, it’s best characterized by a dominating clarinet melody that’s supported by banjos, guitars, pianos, and Latin hythms. The stringed players are often quite nimble fingered, the clarinetist emotionally expressive, the tempos snappy, and there is a high degree of skilled musicianship throughout. While most songs are clarinet-centric, a few selections represent the « biguine de salon » tradition whitha vocalist accompagnied by a pianist and/or guitarist, just as one would hear in a parlor room setting on a Sunday afternoon. But th [...]

  • « Mémoire d’un style » par Ecouter Voir
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    Musicien antillais historique, Sam Castendet aura toute sa vie durant œuvré pour que la musique des îles soit connue et appréciée. L’enregistrement nous propose de (re)découvrir cet orchestre qui, de son époque, aura marqué irrémédiablement la biguine. A tel point que les groupes antillais d’aujourd’hui n’en sont finalement que de pâles répliques aseptisées. Gaieté et bonne humeur sont au rendez vous, même quand ce musicien pousse la dérision jusque dans un vibrato extrême d’une clarinette guillerette. Mais qu’importe ! Le but de ce musicien et de son orchestre n’était pas de faire dans le propre et le respectable, mais bien de donner à sa musique la chaleur et l’exubérance typique des climats tropicaux. Merveilleuse idée que celle de la maison Frémeaux & Associés, car la réédition de ces archives précieuses complétées par un livret à la fois précis et documenté nous permet de retrouver intacte la mémoire d’un style et d’une époque. ECOUTER VOIR

  • « Document et plaisir » par Trad Magazine
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    Sam Castendet débuta comme clarinettiste et chef d’orchestre lors de l’Exposition Coloniale de 1931, à Paris, pour remplacer au pied levé le célèbre Stellio (écoutez le FA023 !). Né en 1906 au nord de la Martinique, Sam Castendet débuta une carrière étonnante alors qu’il avait remisé son instrument. Franchement, on n’a rien à regretter. Le contenu de ces repiquages, d’après les enregistrements Columbia de juin 36 et surtout juin et décembre 50, est un régal. Amoureux de la biguine, il vous faut ce CD. Et merci encore à Frémeaux & Associés de recycler ces produits populaires de luxe avec textes et images. Document et plaisir (je danse devant mon clavier en écoutant, après l’introduction parlée réjouissante, Lévé Yo Lévé Yo Ka, un gragé et non une biguine…). Claude RIBOUILLOT-TRAD MAGAZINE

  • Une grande cohérence musicale par Jazz Hot
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    Cet album consacré à Duke Ellington comprend des enregistrements de 1999, deux inédits d’un concert du Big Band à la Maison de Radio France en février 1991, des reprises d’albums antérieurs (First Class, Warm Up The Band, etc., permettant ainsi d’entendre Stéphane Grappelli, Fernand Vers solos ; une sorte de salut anthologique de Claude Bolling au talent du maestro illustré par des pièces diverses : le pianiste nourri par l’école du piano stride de Harlem, le créateur du jungle style marqué par la Harlem Renaissance, le maître du big band de l’époque classique né au Cotton Club, enfin le compositeur puissant et fécond de l’après-guerre. Claude Bolling et ses compagnons musiciens sont parvenus à rendre un bel hommage au grand musicien. Fidèles à l’esprit du compositeur et respectueux de sa musique, ils nous en donnent une lecture classique et vivante. Les solos de piano rappellent que Claude Bolling est un des grands spécialistes du stride (« Lot O’Fingers ») et un virtuose de l’in [...]

  • « Sam Castendet : Intégrale 1950 » par Télérama
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    Toute la saveur ironique et burlesque des biguines de l’après-guerre par un clarinettiste martiniquais qui hanta les clubs parisiens (La Canne à Sucre, La Boule Blanche) en chantant Angéïna, Cé nous memm, Lévé yo lévé yo ka…TÉLÉRAMA

  • « Sereine limpidité romantique » par Le monde la musique
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    Après avoir appartenu à la belle tradition des clarinettistes antillais (en succédant à Stellio à l’Exposition Coloniale de 1931), Sam Castendet a illustré cette lignée des grands chefs d’orchestres « typiques » qui ont donné à la France quelques-uns de ses plus beaux bals. Voici rassemblés dix-huit titres enregistrés en 1950, dans lesquels il chante et tient la batterie, devenue son instrument de prédilection après quelques années passées en France. C’est le trop oublié Maurice Noiran qui est à la clarinette, perpétuant les usages avec un vibrato et une netteté dignes du grand aîné Stellio (dans l’introduction de La rue Zabyme ou les douceurs de La Nuit). Le répertoire présenté est surtout constitué de compositions de Sam Castendet avec, sous sa signature, quelques-uns des plus grand airs populaires des Antilles françaises (Lévé yo lévé yo ka, Crapaud), mais aussi le cinglant Martinique 48, tableau au vitriol de l’île brossé par un « émigré » écoeuré à son retour au pays natal. C [...]

  • « El sonido de cabaret » par World Music
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    Moune de Rivel, un nombre que tiene todo el sol del Caribe, aromas de vainilla y canela, pasado de corsarios y filibusteros ; una mujer que consagró su vida entera a  dar a conocer, a respetar y amar un patrimonio musical incomparable : el de la mùsica antillana. Con este disco, además de sus increíbles cualidades musicales, la intérpete nos brinda, como suele suceder en estos casos, una obra de valor añadido al meramente artístico : unamuestra documental de la cultura antillana. Pero claro, además, su voz seductora de vibraciones singulares, curtida en el sonido de cabaret que nos muestra a la perfección en este trabajo nos hará soñar con el arco iris de las Antillas, que dicen el más hermoso del mundo.Antonio AGUIRRE-WORLD MUSIC

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