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  • Flamenco jazz par Jazz Hot
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    Flamenco jazz est une compilation de thèmes pour la plupart provenant de chez Karonte et Nuba; ces deux labels sont aujourd’hui les plus fervents défenseurs de ce qu’un raccourci pratique désigne sous le concepts de jazz flamenco ou encore de nuovo flamenco. Il n’est pas question ici de discuter de ces concepts ni de dire si la musique contenue dans ce double CD mérite l’une ou l’autre de ces appellations. Le livret apporte quelques précisions historiques et pose le problème : cette fusion est-elle légitime ? Le coffret qui ne cherche pas à remonter le temps (pas de thème de Pedro Iturralde ou de Paco De Lucia) s’adresse principalement à ceux qui désirent écouter un florilège de ce qui se fait en Espagne dans ce genre spécifique au pays. Nul doute que la sélection comporte quelques-uns des meilleurs parmi les acteurs de la scène de ce nuevo flamenco, encadrés aux extrémités des deux CDs par le chef de file et sans aucun doute le plus intéressant de tous, Chano Dominguez. On doit t [...]

  • Il n'y a quasiment que des chefs-d'oeuvre par Jazz Classique
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    [...] On ne va pas s’attarder sur la musique (il n’y a quasiment que des chefs-d’œuvre) car, ce qui fait d’abord la pertinence d’une telle sélection, c’est son rapport au sujet traité : l’importance de Harlem dans la scène jazz des années trente et quarante. L’autre point capital dans ce genre d’entreprise étant la qualité du livret. Pour ce qui est des choix même fait par Jacques Morgantini, l’importance de Harlem dans la scène jazz des années trente et quarante. L’autre point capital dans ce genre d’entreprise étant la qualité du livret. Pour ce qui est des choix fait par Jacques Morgantini, la plupart étaient l’évidence même. On peut toutefois s’étonner, notamment de la présence des faces de Little Walter et B.B King, enregistrées ailleurs et en rien représentatives de la musique en vogue à Harlem même si, comme des centaines d’autres, ils sont passés à l’Apollo. Ceux qui connaissent Jacques Morgantini, ancien n°2 du HCF, ne s’attendaient pas à trouver ici du be-bop, malgré le [...]

  • Donner à entendre les paroles de ces vrais sages par L’Enseignant
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    « L’utopie ou la mort » entendait-on dans les manifs écolos, il y a de ça… quand l’écologie n’était pas à la mode, ni récupérée par les politiciens. On se moquait bien de ces doux rêveurs qui n’y connaissaient rien en matière de concurrence, d’économie, de loi du marché, et l’on préférait écouter les gens réalistes… Et à voir dans quel état les réalistes ont mis la planète on peut bien avoir quelques regrets. Aujourd’hui, seuls les « utopistes » nous font rêver. Deux illustres d’entre eux, Albert Jacquard et Hubert Reeves, parlent encore en vain, pour la survie des générations futures. Continuerons-nous à dilapider les réserves de la terre, délaissant l’essentiel ? Il semble que oui, tant nous voulons sans fin posséder, consommer… Seront-ils cette fois entendus ? Cela ne tient qu’à nous. Deux CD parus chez Frémeaux sont là pour donner à entendre les paroles de ces vrais sages. L’ENSEIGNANT

  • De la virtuosité et du goût, de l’élégance et de la discrétion par Prestige Audi
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    "Le trio du guitariste Marc Fosset et de l’accordéoniste Jacques Bolognesi est à géométrie variable, tantôt avec Jean-Luc Ponthieux, tantôt avec Pierre-Yves Sorin à la basse. Marc Fosset, après avoir accompagné pendant vingt ans Stéphane Grappelli, Jacques Bolognesi, après avoir joué du trombone pendant les années yéyé, car l’accordéon était maudit, nous offrent avec leurs deux compères des compositions qui montrent que l’accordéon est un instrument de jazz comme les autres. Seuls suffisent pour l’accordéoniste de la virtuosité et du goût, de l’élégance et de la discrétion. Toutes les qualités dont dispose à profusion Jacques Bolognesi. Quant à Marc Fosset, il lui suffit d’être lui-même, lui qui, en plus, a de l’humour et de l’inventivité à foison." Michel Bedin - PRESTIGE AUDIO VIDEO

  • Les yeux fermés, et les oreilles grandes ouvertes par Jazz Classique
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    Avec ce nouveau volume de l’intégrale Mahalia Jackson, c’est au début de la carrière de la chanteuse pour Columbia que nous assistons, et par la même occasion son entrée dans un monde peut-être moins intègre, sans doute un peu plus teinté d’opportunisme, et de concessions faites à un public qui « blanchit » de plus en plus… C’est vers ce marché que Mahalia, ou plutôt son producteur , Mitch Miller, destine certaines des interprétations ici reproduites, tels The Treasures Of Love, A Rusty Old Halo, avec sa voix doublée par re-recording, ou encor His Hands. Nous sommes en 1954, et Mahalia est déjà une énorme vedette populaire, elle a son show sur la chaîne de télévision CBS, Et elle se produit dans de vastes salles de concert, en attendant de conquérir l’Europe et de gagner encore en notoriété. Le plus gros du répertoire  ici proposé est pourtant bien ancré dans la meilleur tradition des gospels songs, sans doute le choix de la chanteuse, et la plupart de ses interprétations atteigne [...]

  • Un son parfait par Jazz Classique
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    Claude Bolling peut-être considéré sans conteste comme le plus fin connaisseur de l’œuvre du Duke en France, il l’a souvent prouvé. Son amour pour la musique du grand homme et n’a cessé, fidèlement, d’en célébrer les multiples aspects depuis sa tendre jeunesse, des premiers albums microsillons gravés pour le club français du disque dans les années 1950 à sa merveilleuse exhumation de la « suite » A Drum Is A Woman  donnée à Chaillot avec Jérôme Savary en 1996. Mais, avant de ressusciter cette dernière suite, Bolling s’était déjà attaqué en 1989 à la monumentale « Black, Brown and Beige », l’une des œuvres maîtresse de l’édifice ellinghtonien, l’une des plus ambitieuses aussi, surtout pour l’époque de sa création, en 1943. Le présent CD publié par Frémeaux et Associés n’est autre que la réédition de la version gravée par Bolling en 1989, et publiée par Adès en 1990. Bolling n’était pas le premier à avoir donné de la « B, B&B » dans le style « repertory orchestra », la première ayan [...]

  • Le Japon comme vous ne l'avez jamais entendu par Ovni
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    "Olivier Prou est un personnage étonnant qui offre à tous les amoureux de la nature et à tous ceux qui souhaitent découvrir le Japon d'une façon très originale une œuvre séduisante à bien des égards. "J'ai toujours été fasciné par le lien étroit qu'entretiennent les Japonais avec la nature. Le Japon garde pour seule image celle d'une nation industrialisée où la nature a peu de place. Aucun CD n'a encore été édité sur les ambiances naturelles japonaises en Europe et plus largement - mis à part quelques enregistrements sortis au Japon - dans le monde. La perspective de faire le premier CD en la matière m'a beaucoup séduit. Pour représenter la diversité de la nature japonaise, je suis allé enregistrer dans différentes parties du Japon", explique cet artiste hors du commun. L'univers apaisant et poétique dans lequel il plonge l'auditeur incite ce dernier à se laisser envahir par la quiétude et la beauté d'une nature diverse et variée. A la différence de nombreux voyageurs qui se sont [...]

  • Le plaisir d'écoute par Virus de Blues
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    Comme les deux volumes précédents, (FA201 et FA221), celui-ci est essentiel pour les fans du trompetiste de jazz le plus génial de son temps, surtout qu’on est encore dans une période où la grande variété n’a pas encore pris le dessus dans la mémoire d’Armstrong ; un bémol, les duos vocaux avec Jack Teagarden !! même si Louis sort vainqueur de toutes ces confrontations (la comparaison ridiculise J.T.), il n’en reste pas moins que le manque de swing et la mièvrerie de Teagarden au chant me gâche un brin le plaisir (je sais que je vais choquer pas mal d’amateurs qui aiment Jack T le chanteur… je me demande toujours pourquoi ?) ; heureusement il y a des faces où Jack se contente de jouer (très bien) du trombone et surtout il y a les quatres faces avec Ella Fitzgerald  (1949) et une face avec Louis Jordan (1950) qui portent fort haut le plaisir d’écoute. Robert SACRE-VIRUS DE BLUES

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