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  • « Une qualité d’exécution remarquable de précision » par Jazz Magazine
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    Le point fort de cette recréation est outre la prise de son, une qualité d’exécution remarquable de précision. Les solistes, qui ne prétendent pas rivaliser avec les modèles, font plus que d’honorer le contrat et la chanteuse Guylenn se tire remarquablement bien de The blues, un thème dont la facilité n’est qu’apparente. JAZZ MAGAZINE

  • « Bolling prend la Suite » par La Semaine des Spectacles
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    Et cette Suite, c’est la « Black, Brown and Beige », l’une des œuvres les plus importantes issues de la plume fertile de Duke Ellington et en même temps l’une des compositions les plus ambitieuses et achevées de la musique de jazz. De la dramatique condition des esclaves au réconfort de l’église, de la tristesse du blues à la joie de l’émancipation, de la douleur à l’espérance, c’est au sein de la société américaine, le difficile chemin du peuple noir des Etats-Unis dont Duke Ellington donne une image sonore saisissante et dont la palette de couleurs va bien au-delà du camaïeu que le titre suggère… Cette œuvre foisonnante de richesses, de par son importance peu jouée, qui mieux que Claude Bolling pouvait la faire revivre aujourd’hui pour nous ? A la tête de son grand orchestre où se retrouvent les plus prestigieux jazzmen français, Claude qui, depuis qu’il pianotait en culottes courtes, a toujours eu pour Ellington infiniment d’admiration et de respect, vient d’enregistrer la « Bl [...]

  • « Un très beau livre d’images sonores » par Jazz Swing Journal
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    La passion de Claude Bolling pour Duke Ellington est connue de tous. Aimant relever les défis avec cette grosse machine qu’il qualifie parfois de « sa danseuse », Claude Bolling a enregistré cette fameuse Black, Brown and Beige, suite majuscule que Duke Ellington a composée en 1943 et qui illustre l’évolution de la musique des Noirs américains au travers de diverses influences culturelles pour aboutir finalement (mais y-a-t-il un aboutissement ?) à sa propre identité, unique tout en étant complexe. En réécrivant cette suite, en la faisant jouer et en l’enregistrant superbement, Bolling est allé jusqu’au bout de sa passion, de son enthousiasme, de son talent, en compagnie de ses musiciens auxquels il a tenu à rendre hommage par ce récit bouleversant qui les valorise tous. Loin d’apparaître comme une copie servile de cette œuvre de 45 minutes peu jouée par le Duke, la suite B.B.B version C.B. a été revivifiée, recolorée, réorchestrée dans sa troisième partie c omme pour une mise à j [...]

  • « Du ragtime au jazz ‘moderne classique’ » par Ecouter Voir
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    A l&rsquo;aise dans une courbe esth&eacute;tique qui va du ragtime au jazz &laquo; moderne classique &raquo;, en passant par le middle jazz (Duke Ellington est l&rsquo;un de ses musiciens d&rsquo;&eacute;lection), Claude Bolling conjugue avec succ&egrave;s la direction d&rsquo;un big-band &agrave; la long&eacute;vit&eacute; rare et l&rsquo;&eacute;criture pour le cin&eacute;ma. ECOUTER VOIR

  • « L’orchestre prestigieux de Claude Bolling atteint la perfection » par Hot Club
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    La Black, Brown and Beige n’avait été enregistrée intégralement par Duke qu’à l’occasion du Concert au Carnegie Hall du 23 janvier 1943, paru autrefois en FDC 1004 et Prestige 34003. Après avoir joué cette suite en concert à New York et au Symphony Hall de Boston quatre jours plus tard Duke ne l’enregistra jamais dans sa totalité. Cependant les mouvements de certaines parties de cette suite demeurèrent à son répertoire : Come Sunday, West Indian Dance, Three Dances. Quelques extraits de cette suite figurent ainsi le concert du Carnegie Hall du 19 décembre 1944 et on trouve aussi des morceaux disjoints dans plusieurs microsillons, entre autres dans le disque fait avec Mahalia Jackson les 5 et 11 février 1958. Claude Bolling a réussi à reconstituer la Black, Brown and Beige à l’aide de ces enregistrements et d’une partition écrite que lui envoya Mercer Ellington. Avec son accord il a écrit un final conforme au génie ellingtonien, reprenant les différents thèmes : Duke lui-même n’aur [...]

  • « Black, Brown and Beige - Duke Ellington » par Down Beat
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    The Bolling performance is generally faithful to the original. The soloists focus on playing the score with its spirits, not on chasing the cult of personality.  John MCDONOUGH - DOWN BEAT

  • « Ellington landmark sparkles » par The Denver Post
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    This is the most important jazz release yet from Milan. « Black, Brown & Beige » has long been one of my favourite Duke Ellington compositions, despite the lukewarm appraisal of some critics. The Duke used it to inaugurate his historic series of Carnegie Hall concerts in 1943, an epochal event in winning respectability for jazz. His later studio recordings of it date from 1944-45 and 1958. Divides into « Black, Brown & Beige » sections, the suite was Ellington’s attempt to portray the history of black Americans in music. French pianist/arranger Bolling has orchestrated what may be the most complete version ever, including his own finale reprising the « Work Song », « Come Sunday » and « Sugar Hill » themes. Blessed by the Duke’s son Mercer, this 43-minute CD is most notable for the quality of the Bolling big band. There may be no Johnny Hodges, Harry Carney, Cat Anderson or Ray Nance, but the French jazzmen play passionately, with a real feel for the idiom. Violinist Patrice Fonta [...]

  • « Jazz and classics good mix for Bolling » par Lincoln Journal
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    Perhaps no one has so effortlessly and consistently crossed the line between jazz and classical music as French pianist-composer Claude Bolling. His first crossover hit was “Suite for Flute and Jazz Piano”, which he wrote for flutist Jean-Pierre Rampal. The record won Bolling a Grammy award and has sold nearly 2 million copies since its 1974 release. Last month it was reissued on Frémeaux/City Hall Records along with two other early Bolling collaborations with violinist Pinchas Zuckerman and guitarist Alexandre Lagoya. But Bolling is not content to rest on his considerable laurels. He also has three new releases this year. “First Class” is a pure jazz outing pairing Bolling’s 16-piece big band and legendary violinist Stephane Grappelli on great American standards. “The new thing with this is that Stephane had never played and recorded with a brass big band”, Bolling said. “He is the best jazz violinist of all time.” “Cross Over USA” reunites the pianist and Rampal for a collection [...]

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