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« Un très beau cadeau de Noël » par Daily Passions
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voilà je crois un très beau cadeau de Noël (…).L’audition de : La mauvaise réputation, Le Gorille, Hécatombe, La mauvaise herbe… devrait je crois, même encore aujourd’hui, faire frémir d’indignation les âmes bien pensantes. Et je m’interroge : plutôt que de s’inquiéter du chanteur, ne devrait-on s’intéresser à ceux et celles qui lui ont donné les moyens de s’exprimer ? Patachou pour la scène, Jacques Canetti pour le disque et René Fallet pour une critique dithyrambique qui ont aidé l’artiste à se faire connaître. Ils sont complices… Je ne sais pas ce que vous entendez en l’écoutant : du Brassens, des chansons amusantes et/ou moralisantes, des chansons provocatrices/provocantes ou des fables… Si vous avez des doutes écoutez donc La femme d’Hector par Barbara ou Les amoureux des bancs publics par Patachou. Vous devriez finir par l’entendre, cet ‘humain’ qui ose dire et chanter ce qu’il pense. Pour ma part, je vous avouerai que je ne m’en lasse pas et que bien souvent son majeur dr [...]
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« Indispensable pour tous les amateurs. » par la Voix du Nord
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Frémeaux et Associés, éditeur spécialisé dans le patrimoine musical et sonore, publie un coffret de six disques dédié aux premières années du chanteur, mais aussi aux interprètes qui ont permis à la France des années 1950 de découvrir, souvent scandalisée, l’œuvre parfois crue et coquine, mais surtout d’une immense tendresse, de notre homme. « 1952-1962 », ce coffret permet de redécouvrir les neuf premiers albums de Georges Brassens, un concert inédit, des entretiens radiophoniques, mais aussi deux disques avec des chansons mythiques interprétées par Patachou, Juliette Gréco, Barbara, Catherine Sauvage, etc. Indispensable pour tous les amateurs. »Par Jean-Marc PETIT – LA VOIX DU NORD
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"Tout l'esprit Frémeaux & Associés dans un disque ! " par TSF Jazz
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Voilà un super moment à partager ! Et même en plaisir solitaire, ça marche aussi. Le jeu ? Trouver ce qu'l y a de curier dans le morceau qu'un écoute sur cette compilation "blind test". Tout l'esprit Frémeaux & Associés dans un disque ! Laure ALBERNHE - TSF JAZZ
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« Cabinet de curiosités audiophiles » par Paris Move
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Le blind test est l’une des formes les plus raffinées du supplice mondain. Au cas où vous ne sauriez pas de quoi il retourne, cela consiste à soumettre vos convives à l’écoute d’une série d’œuvres sonores, et de les mettre au défi de deviner l’identité masquée de leurs auteurs respectifs. Torture d’une évidente facilité pour qui détient bien entendu les clés de ces énigmes : je me souviens avoir ainsi collé Popa Chubby en personne, sur un instrumental de B.B. King extrait du bien intitulé “Chess Rarities” (à la plus grande perplexité de l’intéressé). Compilateur de cette anthologie, Jean-Baptiste Mersiol a pris le parti d’y privilégier raretés et singularités technologiques. Ainsi de “The Sheik Of Araby” par Sydney Bechet, précoce spécimen d’enregistrement multipistes, où le patriarche du New-Orleans sound assurait seul dès 1941 les parties de clarinette, saxophones alto et ténor, piano, batterie et contrebasse. Forcément quelque peu fourre-tout, cette collection mêle l’incunabl [...]
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« Tout un lot de chansons à la fois chouettes et pionnières » Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voici un petit objet ludique qui mélange histoire de la musique, histoire des techniques d’enregistrement et loufoqueries en tous genres. Enregistrements rares ou oubliés, balbutiements techniques, duos improbables. Cette anthologie est un petit traité sur les expérimentations phonographiques des décennies 1940 à 1960. C’est intéressant : Buddy Holly qui chante avec lui-même pour la première fois dans «Words of love », en 1958 ; le premier enregistrement multipistes, avec Sidney Bechet et « The Sheik of Araby » en 1941 ; le billet d’un dollar glissé dans les cordes de sa guitare par Johnny Cash, qui donne à «Walk the line » ce grattement particulier ; une chanson de Henri Salvador et Quincy Jones en 1958 ; « Le twist du canotier », où Maurice Chevalier et Eddy Mitchell et les Chaussettes noires chantent ensemble, en 1962 ; le « Lover » de Les Paul en 1948, qui utilise le multipistes avec des guitares superposées et modifiées dans leur vitesse… Tout un lot de chansons à la fois c [...]
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« Hétéroclite, vraiment vintage et très distrayant. » par Sud Ouest
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Line Renaud qui chante « Sexe », Louis de Funès qui entonne « Dans mes godasses », Boris Vian reprenant Charles Trenet… Un CD compile 22 pépites, pour jouer aux devinettes. Voilà une idée marrante : un CD plein d’enregistrements insolites, comme un cabinet de curiosités. Le musicien Jean-Baptiste Mersiol a compilé 22 titres étonnants pour une session de « blind test » : faire l’écoute à l’aveugle et tenter de reconnaître l’interprète ou la chanson est un jeu pointu mais très amusant. Cette voix qui entonne « Que reste-t-il de nos amours ? », ce n’est pas Charles Trenet mais bien Boris Vian. Et « Le P’tit clown de ton cœur », est-ce vraiment Johnny Hallyday ? Et Line Renaud qui chante « Sexe »… Certains incunables ici présentés auraient pu rester dans les limbes sans qu’on s’en offusque : par exemple, ce « Clair de Lune à Maubeuge » par « le fameux Kôkô » (alias Claude François) pique un peu les oreilles. On lui préfère, à l’aise, le « Sheik Of Araby » de 1941 et dont Sidney Bech [...]
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« Véritable boîte de bonbons revigorants » par Classica
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Moustache, de son vrai nom François-Alexandre Galépidès, fut un des personnages les plus truculents de l’après-guerre et incarne à bien des égards ces années où tout est à reconstruire et où l’optimisme traverse des pans entiers de la société. Pourvu d’un physique bonhomme où se distingue une paire de moustaches lui valant son surnom, il joue de la batterie avec enthousiasme au sein des orchestres de Claude Luter et de Sidney Bechet, puis avec sa propre formation, animant avec fougue les nuits germanopratines et certains films de l’époque. Lorsqu’advient le rock’n’roll, il est un des premiers, avec Henri Salvador et Boris Vian, à s’en moquer avec un humour bon enfant qui fait aujourd’hui nos délices. Le coffret de trois CD savamment compilés par Jean Baptiste Mersiol offre un panorama bien venu des ses enregistrements entre 1953 et 1958, véritable boîte de bonbons revigorants rappelant avec bonheur que les temps n’ont pas toujours été tristes.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA
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« On ne peut qu’être bluffé » par Chant… Songs
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« En un coffret de 6 CD, L’Intégrale Aznavour – J’me voyais déjà 1948-1962 retrace la jeune carrière d’un artiste qui ne connut pas d’emblée le succès. Lors d’une interview, Jacques Canetti, le découvreur de toute une génération d’artistes, m’avoua qu’il avait « raté » Aznavour car il n’aimait pas « son timbre de voix. » Il ne fut pas le seul à ne pas donner d’emblée sa confiance à l’interprète de Sur ma vie. Il faudra tout le pouvoir d’une Edith Piaf pour le faire monter en première ligne. C’est elle qui lui offrit le surnom de « génie con ». Dans L’Intégrale Aznavour – J’me voyais déjà 1948-1962, on retrouve les débuts de l’artiste en duo avec Pierre Roche, qui composait les musiques, et avec lequel il fera vraiment ses armes et débutera sa carrière au Québec. Déjà le coup de griffe est là avec J’ai bu, un texte ciselé sur les dérives alcoolique et amoureuses ; l’étonnant Feutre taupé, qui est un rap avant l’heure, et qu’ils donneront à la radio pour la première fois en 1948, ou [...]