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  • « le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale » par Citizen
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    « Un immense batteur, en l’occurrence Daniel Humair, autour duquel se trouvent Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang, trio de base pourrait-on dire, auquel est venu s’adjoindre Yoann Loustalot : c’est ainsi qu’on pourrait de prime abord qualifier ce disque. Quatre brillants musiciens qui travaillent ici une matière donnée par Humair. Matière sonore et picturale, en l’occurrence, puisque le batteur est également connu pour manier les pinceaux. D’ailleurs le label – Frémeaux et associés – est également une galerie d’art qui a exposé des œuvres d’Humair et le texte de présentation de l’album est signé Patrick Frémeaux.Bien entendu, on serait tenté de faire le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale et on aurait raison. Drum Thing, cette chose batterie dont l’intitulé témoigne d’un objet d’art, est en effet constitué de quatorze pièces au sein desquelles on trouve cinq interludes, un prologue et un épilogue qui structurent ce disque. Si les autres morceaux – « Drum [...]

  • « Un gros “coup de coeur”! » par Paris Move
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    « Daniel Humair à la batterie, Stéphane Kerecki à la contrebasse, Vincent Lê Quang aux saxophones ténor et soprano et Yoann Loustalot au bugle ont enregistré au Studio Voodoo Child cet album les 2 et 3 juillet 2020. Toutes les compositions sont œuvre plus ou moins collective des musiciens, à l’exception de deux reprises : “Mutinerie” du musicien compositeur basque Michel Portal et “Sends in the Clown” du compositeur parolier américain Stephen Sondheim. Avec le batteur Daniel Humair agissant comme un chef d’orchestre qui laisse au gré de la section rythmique les préposés aux cuivres divaguer et improviser, on comprend tout de suite pourquoi ladite section a de l’importance. Ce n’est d’ailleurs pas le fruit du hasard si les deux producteurs de l’opus sont justement ceux qui composent celle-ci! Un opus réalisé non pas comme une suite (de très grande qualité) de titres, mais comme “un tout”, puisque ce superbe album est composé d’un “Prologue” et d’un “Epilogue” avec, entre le début e [...]

  • « Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle » par France Musique
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    « Pour “Drum Thing” qui sort chez Frémeaux, Daniel Humair offre un quatrième côté à son triangle. Yoann Loustalot rejoint le trio du batteur avec Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang. »Par Alex Dutilh – France MUSIQUE

  • « Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes »
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    « Le clarinettiste qui a illuminé les nuits parisiennes pendant les années 1930. (…) Son jeu a inspiré tous les clarinettistes du jazz d’après-guerre à Paris. Jazz au trésor de la semaine. » Par Alex DUTILH – FRANCE MUSIQUE

  • « Il faut se plonger, corps et âme dans ces enregistrements. » par Le Souffle Bl
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    « Se souvient-on que la culture française s’est alimentée de bien des façons des cultures créoles ? La langue comme le soulignait Aimé Césaire mais, pour le Paris des années 1920-30, la musique avec, notamment, le clarinettiste martiniquais Alexandre Stellio (1885-1939), créateur de la Biguine. S’appeler pour l’état civil Alexandre Fructueux ne pouvait qu’être le prémisse d’une vie orientée vers le don de soi en construisant une musique du bonheur et de la transe.Le coffret de 4 CD publié par Frémeaux et associés permet de retrouver les filiations des musiques actuelles. L’influence des cultures antillaises a longtemps été sous-estimée dans les affluents du jazz, notamment en France. Pourtant, longtemps « La Cigale » a été le temple de ces musiques. Elle a permis de faire naître un genre particulier qui inondera les années 50 et les débuts de la décennie d’après, les orchestres typiques comme les chanteurs qui utilisent cette veine, comme Dario Moreno par exemple. Aux États-Unis, [...]

  • “Island rhythms and early strands of jazz!” by Dusty Groove
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    “(…) A hell of a clarinet player, and one who effortlessly weaves together island rhythms and early strands of jazz! All of the recordings here were done in Paris during the mid 30s, and provide a great illustration of the way that the crumbling French colonial empire was allowing all sorts of unusual criss-crossing in sound (…) very much in the spirit that would soon become known as biguine! (…)“By DUSTY GROOVE

  • “This is quite simply essential” by Blues & Rhythm
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    “There is no exaggeration in the title - Fructueux Alexandre a.k.a. “Stellio” was the man for creole music in Paris in the thirties, which was where the biguine craze was centred. (…) The bulk of these songs are lively and upbeat biguines, with the Caribbean elements pronounced, but there is also a marked similarity to vintage New Orleans jazz, superficially at least. (…) If you appreciate the creole music of the French Caribbean, or vintage Caribbean music in general, this is quite simply essential.”By Norman DARWEN – BLUES & RHYTHM

  • « Le geste musicien reste indéfectiblement collectif » par Jazz Magazine
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    Du geste à la couleur… L’illustration de l’album par deux œuvres de Humair le peintre donne le ton d’une manière propre au batteur d’occuper l’espace et d’y distribuer les motifs. A ceci près que le geste musicien reste indéfectiblement collectif, à l’image de ce tout récent programme où le bugle de Yoann Loustalot transforme le trio en quartette. Si le rythme règne, il n’est pas l’apanage de la percussion, qui suggère l’alternance des formats et des matières : les compositions collectives (« Drum Thing, La Cantonale ») ou individuelles (« Mutinerie » de Portal ou « Heaven’s Gate ») sont reliées par un prologue puis des interludes improvisés parfois très brefs, dessinant une suite aussi contrastée qu’imprévisible. Du chant des souffleurs à l’expressivité habitée, au drive irrépressible du tandem Kerecki-Humair, on ne saurait trop dire lequel soutient, entoure ou colore l’autre. Les mélodies passent volontiers par les toms, comme dans l’introduction du « Send In The Clowns » de Ste [...]

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