<< 1 ... 568 569 570 571 572 >>
  • « Huitième volume » par Écouter Voir
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Dans ce huitième volume (le 7ème a été présenté en février, dans EV n°74), outre le Quintette du Hot Club, on trouvera Léo Marjane (Bei Mir Bist Du Schön), Jean Sablon (peut-être sans Django, d’ailleurs), l’harmoniciste Larry Adler, des medley captés à la Grande Nuit du jazz, et, enregistrés à Londres, deux titres en solo et quatre avec Grappelli… au piano. Du nanan.François JOANNY - ÉCOUTER VOIR

  • « Gourmandises d’anniversaire » par Écouter Voir
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Pour célèbrer dignement le centenaire de la naissance de George Gershwin, Daniel Nevers à puisé dans les enregistrements du domaine public consacré au compositeur et nous propose une belle anthologie en deux disques qui est une parfait introduction à l’univers de celui que Schoenberg, n’en déplaise à quelques possibles grincheux, tenair fort justement pour un novateur. Au hasard des 37 titres : les v.o. de Rhapsody in Blue et An Amercian in Paris, deux medleys par Gerswin lui-même au piano, Astaire, Fitzgerald, Ellington, Judy Garland, Armstrong, Billy Holiday, etc, etc. A vous de découvrir toutes ces gourmandises d’anniversaire. Un beau cadeau.François JOANNY - ÉCOUTER VOIR

  • « Une anthologie variée, bien équilibrée » par Répertoire
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    La voici cette anthologie de fado qu’on était en droit d’attendre de la part d’un éditeur français. Voici, en un double CD formule Frémeaux, les débuts enregistrés de ce chant et de cette musique que le Portugal tente tant bien que mal de continuer à exploiter en lui attribuant un cachet indélébile marqué du saut de la saudade, cette mélancolie typique de l’âme lusitanienne. Cette musique née dans les villes, à Lisbonne d’abord, puis à Coimbra, a eu ses heures de gloire – entendez par là ses meilleurs moments où l’expression du fado correspondait à un contexte social. On le chantait dans les cafés, dans les brasseries, il est né sur les lèvres des prostituées et des classes désoeuvrées. Le fado est une plainte, un chant de douleur, d’émotion, de résignation. Petit à petit, il se fera roi de la vie nocturne, rebondissant de créateur en créateur, de chanteuse en chanteuse. A Coimbra, plus proche de l’université, il sera plus intellectuel. L’avantage de ce coffret, outre son livret c [...]

  • « Pour une émotion à fleur de peau » par World Mag
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    « Le Fado est la lassitude d’une âme intense… », c’est un spleen, une « saudade » comme nous le dit Fernando Pessoa, c’est « ni gai, ni triste ». Les instruments de prédilection du Fado sont la vida (guitare à 4 ou 5 cordes) ou le luth guitarra. Ses rythmes sont binaires, le sentiment de fatalité à l’écoute du Fado provient peut-être de son mode mineur, qui est le plus couramment utilisé. Le Fado est une musique urbaine, qui respire la vie nocturne, la solitude des capitales. 1925 c’est le temps de créativité le plus intense à Lisbonne. Les chanteurs et chanteuses de Fado, des stars comme Maria Alice, Maria Silva, ou Alberto Riveiro, Alfredo Rodrigo Duarte, sont d’ailleurs tous présents sur la réédition. Ce coffret 2 cd contient des enregistrements historiques, de la période 1926-1931, entre Lisbonne et Coimbra, deux villes, deux modes d’interprétations, le tout avec 36 titres pour une émotion à fleur de peau. Les compositions sont soit chantées ou instrumentales, de toute façon e [...]

  • « Le fado dans tous ses états! » par Télérama
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Le fado dans tous ses états! Du plus rustique, avec de guillerettes guitares (Lisboa-Coimbra), au plus urbain, porté par des arrangements modernisants qui intègrent les cuivres (Fado). Entre les deux, des voix de femmes. Celles, gaies et primesautières, ou âpres et vindicatives, des chanteuses de saudade, enregistrées avant 1945, avec des clins d’œil à l’Espagne ancienne ou au tango argentin (As senhoras do fado). Celle d’Amalia Rodriguez enfin, la grande dame du fado, en une compilation d’enregistrements des années 50, époque où hélas elle se lassait tenter par les grands orchestres. Pour pimenter ce parcours dans des musiques qui, selon Fernando Pessoa, disent la « lassitude d’une âme intense ».   Eliane AZOULAY - TÉLÉRAMA

  • « Un univers bouillonnant » par Inrockuptibles
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Joué par les mauvais garçons et des filles de petite vertu, le fado suit le tracé de la nostalgie humaine. Dans la tragédie antique d’un destin fatal, il rebondit ainsi des rives du Mississippi (blues) aux goualantes de Damia. Car, bien davantage qu’à travers une exposition universelle, le Portugal existe par cette musique d’appel du large et d’incitation à la mélancolie. Qu’on lui attribue des origines maritimes, mauresques ou brésiliennes, le fado conte la sempiternelle romance impossible entre aristocrates s’encanaillant dans les quartier chauds et gitanes à la sensualité exubérante. Qu’on tente la césure entre une Lisbonne populaire, périlleuse dans ses tentations érotiques, et le centre universitaire de Coimbra, générateur de formes musicales plus élégantes, le fado chante toujours la prééminence des femmes et d’un dieu, aussi nécessaires que méprisés. Qu’on tente, enfin, d’en définir les contours techniques, et on l’asséchera. Joué sur les quatre ou cinq cordes de la viola e [...]

  • « Une impressionnante collection dédiée au genre » par Répertoire
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Le fameux fado tel qu’il s’est développé dans la seconde moitié du siècle. Un panorama que Frémeaux réalise grâce à la collaboration du label portugais Strauss. Spécialiste du fado, ce catalogue a édité une impressionnante collection dédiée au genre. Frémeaux a alors décidé en commun accord avec Armando Martins créateur de Strauss, d’éditer une anthologie en double CD. L’intérêt est multiple. On est à la source, Martins écrit une notice très intéressante sur le fado, il connaît la matière et les interprètes. Enfin, ceux-ci nous font sortir de la poignée de grands noms, souvent excellents, toujours resservis (qu’ils s’agissent des anciennes chanteuses ou de celles d’aujourd’hui). On découvre d’autres noms, de superbes voix et d’excellentes guitares. RÉPERTOIRE

  • « Un juste équilibre » par Le Monde de la Musique
    Catégories : Article de presse ( Article de presse )

    Après un très intéressant recueil de fados enregistrés pour le 78-tours entre 1926 et 1931 et rassemblés par l’ethnomusicologue Henri Leconte, le label Frémeaux ouvre ses portes à un catalogue portugais, celui de la société Strauss, fondée en 1982 par Armando Martins. On doit à ce dernier une sélection de fados enregistrés entre 1955 et 1999. L’auditeur y trouvera un juste équilibre entre l’âpreté des documents historiques du premier recueil et les interprétations qui ont vu se braquer sur elles les feux de l’actualité contemporaine. Si celles-ci ont pu satisfaire le public de nos salles de concert, elles ont aussi pu laisser sur sa faim l’habitué des retiros de Lisbonne comme la clientèle des petits et grands restaurants. Interprétations plus brutes et plus professionnelles alternent, et on a l’impression d’arpenter les rues de la capitale portugaise en poussant les portes. En fonction de ses goûts, l’auditeur s’arrêtera là où bon lui semblera, comparera les générations et les st [...]

<< 1 ... 568 569 570 571 572 >>