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  • « L’emblématique « garçonne » des années 30 » par Revue Pays
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    « Avec sa coupe au bol, sa voix grave et son physique androgyne, Suzy Solidor est vite devenue l’emblématique « garçonne » des années 30. Née à Saint‑Servan en 1900 dans le quartier de la Pie, Suzanne Marion était une chanteuse, actrice et romancière excentrique et affranchie. Permis de conduire en poche — chose rare pour une femme à l’époque — Suzy s’installe à Paris où elle crée son personnage de Solidor en référence à sa ville natale. La chanteuse vit les années folles, mondaines, libérées de toutes les moeurs et chante haut et fort ses amours lesbiennes dans les cabarets de la capitale. À la fois un peu snob mais authentique, elle demeure la « Madone des matelots » en reprenant de vielles chansons de marins comme « Les filles de Saint‑Malo ». Aujourd’hui encore, on garde en mémoire cette femme atypique posant allongée en maillot de bain, un brin amusée, pour les photographes sur les plages de Deauville. »Par Lisa BOQUEN – REVUE PAYS

  • « Au cœur des musiques traditionnelles des ghettos ashkénazes » Paris Move
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    « Puisant sa source au cœur des musiques traditionnelles des ghettos ashkénazes d’Europe de l’Est, le courant que l’on désigne de nos jours sous le vocable klezmer doit principalement son essor et sa reconnaissance à sa collecte et sa diffusion parmi la diaspora israélite émigrée aux États-Unis. À la suite des décennies de persécutions et de pogroms dont ils furent victimes, nombre de juifs polonais, moldaves, ukrainiens, allemands et roumains, avaient en effet opté, dès la fin du XIXème siècle, pour un aller simple vers le Nouveau-Monde. En dépit d’une relégation parfois proche de celle vécue sur place par les Afro-Américains, ils s’y intégrèrent sans heurts, tout en préservant leur culture et leurs particularismes. Si les tout premiers enregistrement ici proposés (datés de 1909 et 1916) présentent de simples duos piano-cymbalum (instrument à cordes frappées faisant partie de la famille des cithares sur table, que l’on l’appelle aussi parfois le piano tzigane), l’orchestre russe [...]

  • « L’homme privé et l’homme public, étaient indissociables » par L’Eveil Normand
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    La balade de Johnny, racontée par son ami Bruno Putzulu. (…) En quoi la démarche de David Rautureau, dans son roman La balade de Johnny, et sa demande de collaboration avec vous, vous a-t-elle au contraire séduit ?« Quand David Rautureau a pris contact avec moi, je n’étais pas très chaud. Et puis j’ai lu son roman et j’ai changé d’avis. Lui qui n’a jamais connu Johnny Hallyday a été capable de faire revivre un Johnny plus vrai que nature. Son livre est l’histoire d’une parenthèse dans la vie de Johnny. Il imagine que ce dernier, avant de donner un concert à Nantes dans les années 70, a tenu à revoir sur place un copain de régiment, Jean-Claude. Il va passer trois jours avec lui. Ils vont parler ensemble, s’écouter, se taire, Johnny fera à manger à son copain… David Rautureau, qui ne connaissait pourtant pas personnellement Johnny mais était fan de lui, a parfaitement réussi à retranscrire le vrai Johnny. Et c’est pourquoi j’ai accepté de prêter ma voix à son roman. »Vous qui l’ave [...]

  • « Cette histoire est très simple et très émouvante » Evasion Mag
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    « (…) Cette histoire est très simple et très émouvante. Précisons toutefois que c’est un roman et non une histoire vécue, même si l’histoire paraît belle et si on a envie d’y croire. Ce roman, écrit par David Rautureau, correspondant de presse et romancier, comme celui de l’histoire, date de 2018 et voilà que ce récit paraît sous un coffret de trois CD, toujours écrit par David mais narré par mon ami Bruno Putzulu et quelle plus belle voix ne pouvait raconter, lui qui est issu de la Comédie Français !Rappelons qu’il nous a déjà offert un magnifique coffret sur les entretiens qu’il avait eu avec Philippe Noiret, qu’il avait rencontré sur le tournage du film de Michel Boujenah « Père et fils » avec qui il s’était lié d’amitié.Amitié aussi, avec Johny d’ailleurs, avec lequel il avait tourné « Pourquoi pas moi ? » de Stéphane Giusti, à Barcelone en en 1996, date de leur amitié naissante. Il a 31 ans, Johnny 55 et après le tournage, ils seront inséparables, une amitié, avoue-t-il scell [...]

  • Le chanteur-compositeur a l’intelligence de laisser parler la musique par Hexag
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    Nous avons déjà égrené les points forts du dernier Gérard Pierron : son évidence mélodique (chanson du traîne-misère), sa gourmandise de diseur (La marchande d’images), la variété des accompagnements (piano-accordéon pour « Tuileries de mes peines », ou violon-rhodes pour « Berceuse II », flûte enchanteresse en sus), l’intemporel (rondeau de Charles d’Orléans) et l’actuel « Devil-lès-Rouen », les subtiles réappropriations de musiques jadis offertes à d’autres, sa propre écriture, simple mais puissante (« Regarder la Loire », sommet d’émotion et d’étrangeté »). Mais les temps calmes ne sont pas moins beaux : « le doute », qui illustre ce qu’un Leprest mineur et fatigué contient encore de beauté, magnifié par Nathalie Fortin en état de grâce ; « A la brune à la blonde » (« et merde pour le curé ! ») un Queneau irrévérencieux, chœurs complices et chaleureux ; « Petits lapons », sorti de la plume fantaisiste de Georges Fourest, tout en aigus piqués (Marie Mazille et ses nyckelharpa, c [...]

  • « Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante » par ABS Mag
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    « Une loi européenne sur l’exploitation du domaine public interdit la publication des enregistrements post-1962 de Mahalia Jackson sans payer les ayant-droits. Ce volume 19 conclut donc cette intégrale jusqu’à nouvel ordre, sauf découverte éventuelle de documents inédits antérieurs à 1962 débouchant sur un volume 20… Qui vivra verra. Les 6 premières faces (sur 16) ont été enregistrées par Mahalia à Hollywood, CA, le 22 mars 1962 avec un orchestre conduit par le pianiste Edward C. Robinson et une chorale dirigée par Thurston Frazier sur 4 faces. La première partie de cette séance se trouve sur le volume 18. Comme d’habitude, Jackson s’y révèle grandiose avec une voix ample et conquérante, une décontraction totale et un talent sans affectation. Grâce à Robinson et Frazier, cela swingue à tout va, cela commence en fanfare avec un Lord Don’t Let Me Fail une valse gospel où une Mahalia en verve est boostée par le piano de Robinson. Cela continue de la même manière dans l’excellent I Co [...]

  • Anthologie du XXème siècle par la radio par Philippe Meyer
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    &nbsp;&ldquo;Dans leur simplicit&eacute;, leur modestie et, quelquefois, leur d&eacute;nuement, les sons et les voix rassembl&eacute;s dans ces disques v&eacute;rifient &agrave; quel point la radio est dou&eacute;e de pouvoir d&rsquo;attirer l&rsquo;attention, d&rsquo;ouvrir la voie &agrave; l&rsquo;imagination comme &agrave; la m&eacute;diation, et comme elle tire sa force de la libert&eacute; qu&rsquo;elle postule chez son auditeur.&rdquo; Philippe MEYER (&agrave; propos de l&rsquo;Anthologie du XXe si&egrave;cle).

  • « La fée et les faits » par Les Inrockuptibles
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    Le samedi 25 novembre 1921 ; jour de la première émission de radiodiffusion en France depuis les salons de l’hôtel Lutétia, un homme à la voix tremblotante et solennelle  prenait la parole pour déclarer : « Messieurs, la fée électricité est une personne éthérée. » Soixante-dix-huit ans plus tard, installée dans une grande maison ronde des bords de Seine, la fée électricité se montre boudeuse. Silence radio. Quand la maison ronde la boucle, les auditeurs des radio de Radio France s’acharnent comme des drogués en manque sur leur tuners intraitables : où sont ces voix amies qui nous accompagnaient du réveil au coucher (voire plus si insomnies), comment peut-on prendre sa douche  du matin avec un robinet à musique, pourquoi vous ne dites rien ? En guise de cure de sevrage temporaire, on préconisera l’écoute régulière de l’Anthologie du XXe siècle par la radio, coffret six CD élaboré par l’excellent éditeur discographique Frémeaux et Associés en collaboration avec l’INA et Radio France [...]

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