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  • Absolument indispensable par Epok
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    « La Mer. 1923-1946. Anthologie maritime de la chanson française. Absolument indispensable… Pour Suzy Solidor et Les Filles de Saint-Malo, Fréhel et La Chanson du vieux marin, Perchicot et Les Gars de la marine. Frémeaux. » Magazine Fnac – Epok

  • La Blonde Vénus par Le Figaro
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    « Marlène Dietrich a enregistré, entre deux tournages de films, d’innombrables chansons. Quarante-trois d’entre elles, interprétées entre 1928 et 1948, sont regroupées sur un double CD, La Blonde Vénus (chez Frémeaux & Associés). En exergue figure une formule de Jean Cocteau à propos de L’Ange bleu : “Un nom qui commence comme une caresse et s’achève comme un coup de cravache.” » Jacques Pessis – Le Figaro

  • La chanteuse à la voix rauque qui susurra La vie en rose par Le Progrès
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    « Sur le grand écran, elle fut tour à tour un Angle bleu, une Impératrice rouge, une Blonde Vénus… mais la carrière cinématographique de Marlène Dietrich ne saurait occulter celle de la chanteuse à la voix rauque qui susurra “La vie en rose” et autres classiques comme “Lili Marlene”, “Jonny” ou “Falling in love again”, autant de titres réunis dans le double CD anthologique couvrant les années 1928/1948. » Le Progrès

  • Une des voix les plus sensuelles du siècle dernier par Platine
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    « Une fois de plus, ce label de qualité nous propose un double disque très bien conçu : le tracklisting est – on ne peut plus – complet avec numéros de matrice, date d’enregistrement itou itou…, la bio est fouillée, illustrée de photos bien datées et a l’honnêteté de préciser les enregistrements importants non retrouvés et ceux – mineurs – évincés. Evidemment, la plupart des titres sont en allemand, mais quelques adaptations anglaises ont été rajoutées, notamment celles de l’Ange bleu (1930) comme Falling In Love Again (avec une seconde version de 1939), Blonde Women, This Evening Children, I Am The Naughty Lola. Quelques autres chansons, notamment pour le film Morocco / Cœurs Brûlés (1930-1931), ont été gravées dans la cire directement en anglais : What Am I Bid For My Apple ?, Give Me The Man… Mais le plus passionnant reste les airs chantés en français comme Quand l’amour meurt (de Crémieux et Millandy) en 1931 et surtout ceux réalisés par Jacques Canetti débutant en 1933 : Asse [...]

  • Il faut l'écouter par Centre Ouest / Ouest France
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    « Grâce au cinéma, le mythe de Marlène Dietrich est éternel, tout le monde le sait.Et grâce au disque, aussi… Il est bon de le rappeler, car le jeune public connaît moins la chanteuse que la comédienne. D’autant plus que le meilleur de sa carrière musicale précède son engagement au cinéma, dans le Berlin des cabarets de la fin de la république, auteur de 1928.A ce titre, il faut l’écouter interpréter “Wenn Die Beste Freundin” avec sa copine Margot Lion – c’est irrésistible de sensualité canaille et d’humour ravageur, bien plus que tous les films hollywoodiens anciens ou récents sur le sujet. Au XXe siècle, peu de femmes furent aussi libres que celle-ci ! » Christophe Deshoulières – Centre Ouest / Ouest France

  • L’anarchie instinctive de son art la Libération
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    « Ce double CD fera aisément comprendre pourquoi les surréalistes adoraient Georgius : l’invention verbale inépuisable, la mécanique cocasse et une saine cruauté pour attaquer les poncifs – ceux de la chanson réaliste Fleur des Fortifs, les types en vogue comme le joueur de tango, avec çà et là des petites vignettes charmantes comme le Badaud du dimanche. Le livret écrit : “A la libération, Georgius est suspendu d’activité pendant un an comme les artistes qui ont chanté sous l’Occupation” (c’est également la thèse d’un livre, pourtant bien documenté, consacré à “l’amuseur public n°1” par Jean-Jacques Chollet aux éditions Christian Pirot). La chanson ne pourrait-elle pas regarder elle aussi son histoire en face ? Ceux qui ont été sanctionnés à la Libération ne l’ont pas été sans cause : on n’était pas suspendu un an pour rien.Georgius, surréaliste et non-conformiste sur scène, était plutôt favorable à l’extrême droite, partant en croisade contre les artistes étrangers. Plusieurs de [...]

  • Le comique irrésistible des scènes de la vie quotidienne par Le Monde
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    « “On n’est pas des imbéciles, on a même de l’instruction, au lycée Papa, au lycée Papi, au lycée Papillon.” Qui n’a pas un jour fredonné ce refrain fantaisiste, sans doute le plus célèbre écrit par Georgius ? Qui n’a pas en mémoire Sur la route de Penzac, interprété par les Charlots en 1968 ? Là encore, un succès du même amuseur public, pourfendeur de la morosité pendant plusieurs décennies, avant que Pierre Perret ou Bobby Lapointe ne prennent la relève. S’il a écrit et chanté tous les genres, Georgius, acteur, auteur de sketches, de pièces de théâtre et de sept romans policiers publiés dans la “Série noire”est surtout connu pour ses chansons comiques et parodiques. Dans ce registre, La Plus Bath des javas et On l’appelait Fleur des fortifs proposent de savoureux pastiches de la chanson réaliste. Tous ses titres les plus connus sont présents dans cette anthologie regroupant des chansons enregistrées entre 1924 et 1943, remarquablement restaurées. Des fox-trots, des javas, des ta [...]

  • Excellent repiquage des 78 tours originaux par Je Chante
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    « Complément indispensable au livre de Jean-Jacques Chollet (JC n° 22), cette compilation de 36 titres de Georgius permettra de “juger sur pièces” la verve, le punch et la folie verbale (Ça, c’est d’la bagnole, accompagné par Pierre Chagnon et son orchestre, avec ses parties parlées très caractéristiques) de cet auteur prolifique (près de 1 500 chansons, dit-on) qui marqua les esprits des années 20 et 30 et notamment Robert Desnos, qui fut un de ses “fans”.Ses enregistrements du début des années 40 décrivent l’état d’esprit de la population : Dans la cave de sa maison est une des rares chansons d’époque – avec Il n’est pas distingué qu’a chantée Edith Piaf – à attirer l’attention sur Hitler… Il n’en était et Elle a un stock évoquent, bien sûr, les restrictions. “Depuis Paulus, nul artiste n’a eu autant d’influence sur le public”, écrit Gérard d’Houville. Pierre Barlatier voit en lui un “Jarry de la chanson, unique et inimitable pitre et poète à la fois. ” Et pour Patrick Walberg, [...]

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