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  • « En vrai leader dans ce « Live in Paris ». A redécouvrir »
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    Surnommé the Rabbit (le lapin), Johnny Hodges (1907-1970) fut durant plus de quarante ans un des piliers de l’orchestre de Duke Ellington. Fidèle parmi les fidèles du pupitre des saxophonistes, l’altiste aimait également s’affranchir de cette tutelle et amitié pour se poser en vrai leader. C’est ainsi, avec d’autres ellingtoniens de marque, il se présente à Paris en 1961. La collection « Live in Paris » (Frémeaux & Associés) restitue ces moments enregistrés en direct le 13 mars 1961 à l’Olympia de Paris. Accompagné par les bien nommés Duke Ellington Giants, parmi lesquels les cadors comme Harry Carney (saxe-baryton), son pote de toujours, Ray Nance (violon/chant/cornet) et Aaron Bell (contrebasse), il revisite, avec cette sonorité de velours suave langoureuse et sensuelle, les standards et autres compositions du Duke. A redécouvrir.Par Didier PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN HEBDO

  • « De l’art pur » par C’est du livre ou du bon
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    « De, 1928 jusqu’à 1970, date de son départ de façon inusitée sur la chaise d’un dentiste, le saxophoniste alto Johnny Hogdes surnommé «  rabbit » fut l’un des piliers du grand orchestre de Duke Ellington. Sonorité unique dans l’histoire du jazz, reconnaissable dès les premières mesures, son phrasé, sa délicatesse tout comme son sens de l’improvisation en firent un maitre hors catégorie.  Il s’aventura peu hors du giron ellingtonien (1950-1955) et cette nouveauté devant public se situe lors d’une rare tournée européenne qui culminera au Sportpalast de Berli sous la forme d’un disque double (Pablo) qui vaut encore son pesant d’or. Ayant rameuté ses copains : Aaron Bell, contrebasse, Lawrence Brown, trombone, Harry Carney, saxophone baryton, Ray Nance, cornet, violon et chant, Al Williams et le redoutable batteur Sam Woodyard, cette tournée fut un pot–pourri tiré du répertoire Ellington, avec une exception : Blues for Madeleine, écrit par le saxophoniste. Celui que le saxophoniste C [...]

  • « C’est addictif, on en redemande ! » Par Jazz Magazine
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    En mars 1961, Duke Ellington séjourna dans la Capitale pour le tournage de « Paris Blues » de Martin Ritt. Pour éviter le chômage technique des musiciens de son orchestre Norman Granz improvisa une mini tournée européenne sous le seul nom de Johnny Hodges, flanqué de cinq copains de pupitre, plus Al Williams au piano. On connaissait déjà le concert du Sportpalast de Berlin publié en un double album par Pablo (1978). Celui, inédit, de l’Olympia s’impose à sa suite comme le fidèle reflet de la musique qu’aimait jouer en petit comité et en toute décontraction cette éphémère formation et qui sonne aujourd’hui délicieusement intemporelle. Sans son patron, que pensez-vous que le Rabbit ait choisi d’interpréter ? Bien sûr des chevaux de bataille du répertoire ducal (Mood Indigo, Satin Doll, Perdido…), mais aussi quelques blues suaves comme celui dédié à Madeleine (l’épouse de Hugues Panassié), Une fois encore, fidèle à lui-même, flegmatique et impassible derrière son masque à la Buster K [...]

  • "Johnny Hodges est un sacré musicien" par Jazz News
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     Dans le monde qu’Ellington a inventé – et qui a, comme lui, inventé un univers si immense ? – Johnny Hodges tient ce rôle pas loin d’être unique à mi-chemin entre la dévotion au collectif et l’attachement à sa propre singularité. Sa place, également à part, dans l’histoire du sax, est le gage d’une telle singularité, qu’on ne pourra épuiser. Bref, Johnny Hodges est un sacré musicien. Ce concert de 1961 avec beaucoup de la bande (Sam Woodyard, Ray Nance, etc.) et du répertoire (Satin Doll, the A Train, Mood Indigo) du Duke est bien sûr une preuve bienvenue de ce constat que le Rabbit était, au début des années 60, au cœur de toutes les histoires révolutionnées des jazz dont il racontait une possible unicité, entre swing, bop, blues et ellingtonneries.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Des documents inestimables » par Jazz News
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    Unies dans leur intégration paradoxale à la société américaine, les communautés italiennes et juives ont noué avec les afro-américains une relation étroite, dont l’histoire du jazz est un des aspects les plus saillants. C’est à ce titre que cette anthologie de la musique klezmer sur le sol américain ne peut laisser insensible. Marqué par des structures rythmiques et harmoniques expressives et laissant la part belle à l’improvisation, parsemant le quotidien de mélodies particulièrement mémorables, le klezmer va vivre une sorte d’âge d’or au pays de naissance du jazz dont les figures verront dans les clarinettistes Naftule Brandwein et Dave Tarras des cousins tout à fait vraisemblables. Le phénomène est particulièrement sensible dans les enregistrements acoustiques d’avant 1928, favorablement restaurés dans ce volume et par là-même documents inestimables.Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Une anthologie tout à fait remarquable » par Classica
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    On croit généralement que le Jazz est « la musique des Noirs américains ». En réalité, de multiples influences ont progressivement contribué à son élaboration : les Noirs américains, bien sûr et surtout, mais aussi les Américains d’origine italienne, allemande, créole et juive, à travers la musique Klezmer. Le terme yiddish « Klezmer » est formé de deux mots hébreux : « kley » (véhicule, instrument) et « zemer » (chant, mélodie), signifiant ainsi que les instruments sont les véhicules de la voix intérieure qui chante dans l’âme de chacun de nous. Musicalement elle se caractérise par une façon de phraser (glissandi, hocquets), notamment à la clarinette, qui rappelle des gémissements ou des sanglots, un recours permanent à l’ornementation de la mélodie évoquant les inflexions de la voix humaine, l’emploi de modes empruntés au folklore d’Europe centrale et à la liturgie ancienne, notamment les modes doriens et myxolydien, et enfin une expression à la fois mélancolique (voire déchiran [...]

  • « Le bonheur d’une voix enfantine et d’un touché de piano délicat » Par Jazz Mag
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    En France, on a gardé une affection particulière pour Blossom Dearie, pianiste et chanteuse américaine qui, au début des années 1950, s’installa à Paris à l’invitation de Nicole Barclay. Elle y fonda les Blue Stars, groupe vocal que rejoignit Mimi Perrin avant de former Les Doubles Six. Puis en 1956, elle retourna aux Etats-Unis pour commencer une carrière de chanteuse soliste sur le label Verve. C’est de ces deux périodes que ces trois CD se font l’écho. D’abord avec le 25 cm qu’elle fit comme pianiste chez Barclay en 1955 (avec Herman Garst et Bernard Planchenault), déjà réédité dans la collection Jazz in Paris, et le 45-tours de la même époque avec Bobby Jaspar, réédité dans le volume 18 de la même série (contrairement à ce que dit le texte du livret qui le présente comme inédit en CD). Suivent cinq albums qu’elle fit pour Verve, tous réédités il y a quelques années déjà. S’ajoute à cela un morceau avec King Pleasure extrait d’un 45 tours Prestige (1952), seule découverte à nos [...]

  • « Découvrir Yma Sumac est une expérience » par Sefronia
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    « (…) Découvrir Yma Sumac est une expérience. Cette intégrale Frémeaux, riche et documentée, est une formidable opportunité. Classée aujourd'hui dans l'exotica, Sumac est bien au-delà de cette musique instrumentale d'ambiance aux parfums coloniaux parfaite pour l'apéro. Sa voix hors-normes l'emmène - et nous avec - au pays de la démesure. »Par François BRANCHON - SEFRONIA

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