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« Les Tables de la Loi du blues... » par DNA
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Robert Johnson, en parler, c’est bien. L’écouter, c’est mieux. Le label Frémeaux et Associés compte à son catalogue l’intégrale des enregistrements réalisés par le bluesman, d’abord à San Antonio, puis quelques mois plus tard à Dallas. Soit 29 titres en un coffret de 2 CD. Les Tables de la Loi du blues... »Par Serge HARTMANN – DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
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« Une musique dépassant les frontières » par L’Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Hommage encore mais sous la forme d’une réédition cette fois. En 1989, Manu Dibango se lançait dans l’enregistrement du cycle Negropolitaines dont le second volume serait publié en 1992. Frémeaux & Associés rassemble ici 16 des 19 titres du projet. Le géant saxophoniste y explore différents styles de musiques africaines de la rumba au soukouss traditionnel en passant par l’afro-beat. La variété des tempos est saisissante. Le casting de musiciens l’est tout autant. On y entend -entre autres- le batteur Tony Allen décédé le 30 avril dernier. Le lion Dibango l’aura précédé de quelques jours le 24 mars 2020. Il avait 86 ans et la covid-19 a eu raison de son dernier souffle alors qu’il se produisait encore sur scène en 2019. Le retrouver sur ces Negropolitaines , invite à s’immerger dans une musique dépassant les frontières. Avec Manu, le jazz prenait les couleurs du monde. Elles ne s’effaceront pas de sitôt. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE
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« On est émerveillé et ému » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Elles furent nombreuses, ces pianistes chanteuses des années 20 à 60, à évoluer dans le monde du jazz. On connaît Lil Armstrong, qui épousa Satchmo, Aretha Franklin, Nina Simone, Blossom Dearie, mais toutes les autres qui ont osé se propulser à l’avant de la scène dans ces temps où les femmes n’apparaissaient souvent dans les combos que pour donner un air sexy au concert, on ne les connaît que trop peu. Les éditions Frémeaux les ressuscitent. Et comme d’habitude, magnifiquement. Le coffret comprend trois CD et un livret reprenant les bios de chacune de ces femmes, les auteurs-compositeurs, les dates d’enregistrement et les musiciens de chacune des 76 chansons. Entre jazz, boogie-woogie, blues, rythm ‘n’ blues, gospel. Cleo Brown, Paula Watson, Clara Ward, Julia Lee, Audrey Morris, Shirley Horn, La Vergne Smith, en tout trente pionnières. Ces enregistrements sont d’une fraîcheur incroyable. La voix sensuelle de Cleo Brown, le piano subtil d’Une Mae Carlisle, la voix profonde de C [...]
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« Honte à vous messieurs ! » par Jazz Around Mag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Voici un coffret de 3 albums avec 76 faces et un livret bien détaillé – sous la plume avisée de J.P. Ricard et Jean Buzelin – qui promet pas mal de plaisir d’écoute à ses acquéreurs. Il illustre le parcours difficile, quasi surhumain, des femmes dans le milieu super-machiste du jazz, du blues, du gospel et du R&B ! Des obstacles insurmontables ont jalonné le chemin des femmes instrumentistes (pianos, trompettes, saxophones, trombones, guitares, drums…) dans leur volonté d’intégrer des orchestres existants, d’en fonder elles-mêmes, ou simplement de démontrer qu’elles étaient tout aussi à la hauteur que les hommes dans leur domaine. Ce sont les chanteuses-pianistes qui ont ouvert la voie, non sans mal ! Honte à vous messieurs ! Les albums de ce coffret montrent à quel point les talents féminins foisonnaient, que ce soit avant ou après la 2è guerre mondiale. (…) »Robert SACRE – JAZZ AROUND MAG
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« La voix mettait en évidence des mots que je n’aurais pas retenus à la lecture
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« J’ai écouté votre audio « Trouve le verbe de ta vie » que j’avais déjà lu comme livre. C’était magique ! La voix était un chant qui m’emmenait vers des lieux pas trop connus de moi, elle me montrait des paysages, ses couleurs, me promenait ici et là, faisant des pauses, histoire de laisser le verbe résonner en l’intime. La voix mettait en évidence des mots que je n’aurais pas retenus à la lecture, elle mettait du sens là où je n’allais pas… » Témoignage de Camille C.
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“A fine addition to his large discography” Los Angeles Jazz Scene
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“[…]After producer Norman Granz introduces the group, the classic John Coltrane quartet performs a hard-swinging version of “Mr. P.C,” (which gives each of the musicians an opportunity to solo), a relatively concise “Everytime We Say Goodbye” (the only number that is under 15 minutes), “Impressions” and “My Favorite Things.” While the performances do not offer any new revelations about Coltrane and his sidemen, those fans who love his music and want new versions of his repertoire will particularly enjoy this fine outing, available from www.fremeaux.com. All of the musicians get to stretch out with John Coltrane in typically brilliant form on tenor and soprano, making this a fine addition to his large discography.By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE
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“Some of the arranger’s most significant music” Los Angeles Jazz Scene
Catégories : Article de presse ( Article de presse )“During a musical career that has now exceeded 70 years, Quincy Jones has had quite a few accomplishments. However I suspect that among his proudest achievements were his big bands of 1960-61.(…) The previously unreleased performances from the big band’s Paris concert of Mar. 14, 1961 have now been made available on this fine CD. Performing Jones’ arrangements are 18 top-notch musicians (…) While it is a shame that the Quincy Jones Big Band did not survive past the summer of 1961, it is fortunate that recordings such as this fine outing have lasted, letting one hear some of the arranger’s most significant music.”By Scott YANOW – LOS ANGELES JAZZ SCENE
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« le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale » par Citizen
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un immense batteur, en l’occurrence Daniel Humair, autour duquel se trouvent Stéphane Kerecki et Vincent Lê Quang, trio de base pourrait-on dire, auquel est venu s’adjoindre Yoann Loustalot : c’est ainsi qu’on pourrait de prime abord qualifier ce disque. Quatre brillants musiciens qui travaillent ici une matière donnée par Humair. Matière sonore et picturale, en l’occurrence, puisque le batteur est également connu pour manier les pinceaux. D’ailleurs le label – Frémeaux et associés – est également une galerie d’art qui a exposé des œuvres d’Humair et le texte de présentation de l’album est signé Patrick Frémeaux.Bien entendu, on serait tenté de faire le lien entre l’abstraction picturale et l’abstraction musicale et on aurait raison. Drum Thing, cette chose batterie dont l’intitulé témoigne d’un objet d’art, est en effet constitué de quatorze pièces au sein desquelles on trouve cinq interludes, un prologue et un épilogue qui structurent ce disque. Si les autres morceaux – « Drum [...]