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« Ce CD illustre la subtilité et l’autorité du grand chef » par l’Humanité
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Synthèse des volumes 1 et 2 de Négropolitaines (1989 et 1992), produits sous la houlette de l’historique manager africain André Gnimagnon, ce CD illustre la subtilité et l’autorité du grand chef, en matière de fusion entre legs africain, jazz et autres éléments afro-américains, mijotés selon sa propre recette. Avec la connivence des plus fins planteurs de groove africains (Justin Bowen, les frères Sabal-Lecco, André Manga, Etienne Mbappé…), décisifs dans l’essor d’une musique africaine résolument moderne, le géant « afropéen » combine compositions et adaptations de standards, dont Pata Pata (popularisé par Miriam Makeba) et Indépendance Cha Cha (de Joseph Kabasele). »Par Fara C –L'HUMANITE
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« Un somptueux collier de classiques »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Un somptueux collier de classiques, Si tu t’imagines, les Feuilles mortes, Chanson pour l’Auvergnat… Et des titres moins connus à (re)découvrir, tels la Rue des Blanc-Manteaux (de Sartre/Kosma), Ça va (le diable) (Brel) et Java partout (Ferré). Avec la muse mutine, on se promène à travers des auteurs et compositeurs majeurs du XXe siècle, comme Queneau, Aznavour, Sagan, et même Mauriac et Desnos. »Par Fara C –L'HUMANITE
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« Un brillant panorama » par Paris Move
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Bon Dieu, il en aura fallu du temps, pour que l’on restitue enfin aux femmes la place, essentielle, qui leur revient dans l’histoire du jazz et du blues ! Quand elles n’étaient pas reléguées aux tâches ménagères (comme le mentionne ici “Kitchen’s Blues”) ou au repos du guerrier, les toutes premières chanteuses-pianistes de ce sous-genre que constituaient alors les race records constituaient le peloton initial de cette avant-garde que l’on mettrait un bon demi-siècle à appeler le cross-over. De pétroleuses telles que Nellie Lutcher ou la délurée Julia Lee en mutines saintes Nitouches comme la malicieuse Rose Murphy (dont le “Busy Line” demeure irrésistible, et le “I Want To Be Loved By You” inspira Marylin Monroe), ce second volet de la série JAZZ LADIES chez Frémeaux & Co continue d’égrener l’impressionnante martingale d’artistes ayant illuminé les décennies primordiales du jazz enregistré. Depuis le gospel le plus fervent (de Clara Ward avec son “Blessed Assurance” et des début [...]
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« Un très beau travail » par Ludwig-van.com
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Qu’est-ce que le jazz vient faire dans une chronique consacrée à la musique classique ? La réponse suivra sous peu, mais bien des musiciens de la note bleue ont été formés au Conservatoire de musique ou ont intégré des pulsions classiques, comme le firent Duke Ellington et son alter ego Billy Strayhorn avec la relecture de Casse-noisette, Charlie Parker citant parfois Stravinski tout comme Art Tatum, Spike Jones et ses City Slickers dans une version déjantée de La danse du sabre, Keith Jarrett parfois, le prodige/trompettiste Wynton Marsalis aussi à l’aise avec son Lincoln Jazz Orchestra que dans le répertoire baroque, sans oublier Le Modern Jazz Quartet. Avec cette nouveauté qui tombe à point, nous allons examiner et plus écouter les débuts du maillage entre le classique et le jazz, bien avant la réunion du pianiste Claude Bolling avec le flûtiste Jean-Pierre Rampal, le trompettiste Maurice André, le guitariste Alexandre Lagoya et le violoncelliste Yo-Yo Ma. Dans ce doublé, vou [...]
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« L’un des meilleurs big bands de l’époque » par Soul Bag
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Ces enregistrements du concert donné à l’Olympia de Paris par Quincy Jones, le 14 mars 1961, à la fin de sa tournée européenne, constituent une étape importante de sa carrière. Son talent d’arrangeur, un répertoire de qualité et la présence de grands solistes (Phil Woods, Freddie Hubbard, Curtis Fuller) ont largement contribué à faire de son orchestre l’un des meilleurs big bands de l’époque comme le prouvent de superbes versions de Stolen moments, Moanin’, Caravan et Summertime. On y trouve aussi The boy in the tree, composé pour le film d’Arne Sucksdorff. Écrire des musiques pour le cinéma deviendra pour Quincy Jones une activité hautement lucrative qui prédominera dans la suite de sa carrière. »Par Alain TOMAS – SOUL BAG
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« Les Tables de la Loi du blues... » par DNA
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Robert Johnson, en parler, c’est bien. L’écouter, c’est mieux. Le label Frémeaux et Associés compte à son catalogue l’intégrale des enregistrements réalisés par le bluesman, d’abord à San Antonio, puis quelques mois plus tard à Dallas. Soit 29 titres en un coffret de 2 CD. Les Tables de la Loi du blues... »Par Serge HARTMANN – DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE
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« Une musique dépassant les frontières » par L’Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Hommage encore mais sous la forme d’une réédition cette fois. En 1989, Manu Dibango se lançait dans l’enregistrement du cycle Negropolitaines dont le second volume serait publié en 1992. Frémeaux & Associés rassemble ici 16 des 19 titres du projet. Le géant saxophoniste y explore différents styles de musiques africaines de la rumba au soukouss traditionnel en passant par l’afro-beat. La variété des tempos est saisissante. Le casting de musiciens l’est tout autant. On y entend -entre autres- le batteur Tony Allen décédé le 30 avril dernier. Le lion Dibango l’aura précédé de quelques jours le 24 mars 2020. Il avait 86 ans et la covid-19 a eu raison de son dernier souffle alors qu’il se produisait encore sur scène en 2019. Le retrouver sur ces Negropolitaines , invite à s’immerger dans une musique dépassant les frontières. Avec Manu, le jazz prenait les couleurs du monde. Elles ne s’effaceront pas de sitôt. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE
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« On est émerveillé et ému » par Le Soir
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Elles furent nombreuses, ces pianistes chanteuses des années 20 à 60, à évoluer dans le monde du jazz. On connaît Lil Armstrong, qui épousa Satchmo, Aretha Franklin, Nina Simone, Blossom Dearie, mais toutes les autres qui ont osé se propulser à l’avant de la scène dans ces temps où les femmes n’apparaissaient souvent dans les combos que pour donner un air sexy au concert, on ne les connaît que trop peu. Les éditions Frémeaux les ressuscitent. Et comme d’habitude, magnifiquement. Le coffret comprend trois CD et un livret reprenant les bios de chacune de ces femmes, les auteurs-compositeurs, les dates d’enregistrement et les musiciens de chacune des 76 chansons. Entre jazz, boogie-woogie, blues, rythm ‘n’ blues, gospel. Cleo Brown, Paula Watson, Clara Ward, Julia Lee, Audrey Morris, Shirley Horn, La Vergne Smith, en tout trente pionnières. Ces enregistrements sont d’une fraîcheur incroyable. La voix sensuelle de Cleo Brown, le piano subtil d’Une Mae Carlisle, la voix profonde de C [...]