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  • « Un voyage musical riche en belles surprises. » par Couleurs Jazz
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    « L’album “Atlântico” mêle le jazz manouche au fado et au choro brésilien. Pour l’occasion, Fapy Lafertin est entouré de trois jeunes musiciens belges : Alexandre Tripodi, violon, Cédric Raymond, contrebasse et Renaud Dardenne, guitare, inspirés par les musiques luso-brésiliennes. Marqué par le sceau de l’éclectisme, le répertoire propose quatre morceaux de Fapy Lafertin parés de nouveaux arrangements, un nombre égal de standards du jazz et une composition originale de chacun de ses collègues. Une écoute attentive de l’autre, des valeurs artistiques communes, le désir de jouer ensemble et une unité de ton dans l’interprétation rendent harmonieuse la coexistence de ces univers musicaux parfois différents. Tous les membres du quartette privilégient le beau son. Tous savent exploiter la richesse d’une mélodie avec une élégance portée par le ressort du swing. Un voyage musical riche en belles surprises. »Par Alain TOMAS – COULEURS JAZZ

  • « Le portrait fin d’une femme de pouvoir qui a marqué le Moyen Age » par Le Mond
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    Rarement une reine aura autant dominé son siècle. La vie d’Aliénor d’Aquitaine fut tout d’abord exceptionnellement longue (1122-1204). Elle reste surtout connue pour avoir gouverné un vaste territoire, l’empire Plantagenêt, qui comprenait l’Angleterre, une partie de l’Irlande et du Pays de Galles, les comtés d’Anjou et du Maine, ainsi que l’Aquitaine. Son personnage de femme insoumise a, lui aussi fait couler beaucoup d’encre. Composer une biographie de cette femme puissante relève pourtant de la gageure, tant elle a été malmenée par l’historiographie. Jusqu’au XIXe siècle, les chroniqueurs l’accusèrent de toutes les transgressions – Jules Michelet, qui n’échappait pas aux poncifs de son temps, écrivait qu’elle était « passionnée et vindicative comme une femme du Midi ». Dans une biographie politique à la fois riche et concise, Martin Aurell, professeur d’histoire médiévale à l’université de Poitiers, la dégage cependant de sa légende noire de débauchée, en reprenant à nouveaux fr [...]

  • « Un grand monsieur du jazz à cordes » par DNA
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    Le jeune septuagénaire originaire d’une famille manouche de Courtrai n’a rien perdu de la vitalité de son jeu de guitare. Avec son New Quartet (Alexandre Tripodi au violon, Cédric Raymond à la contrebasse et Renaud Dardenne à la guitare), Fapy Lafertin signe Atlantico : 13 titres, dont un tiers nourri de sa propre inspiration tandis que chacun de ses acolytes livrait un titre. Au final cela donne un swing dans la grande tradition du jazz à la Django, au son vintage et aux notes soyeuses. Un album voyage comme le dit si joliment Francis Couvreux dans la note de l’album puisque s’y croisent çà et là des sonorités portugaises et brésiliennes. Formation à l’élégance mélancolique, menée par un grand monsieur du jazz à cordes, Fapy Lafertin et son New Quartet.Par Serge HARTMANN – DNA (DERNIERES NOUVELLES D’ALSACE)

  • « Il exhale ici un bonheur absolu de jouer » par L’Alsace
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    « Le Big One du pianiste Stan Laferrière adapte à la sauce jazz les fameux “Tableaux d’une exposition” de Moussorgsky. Les fameux thèmes classiques y sont ouvertement « traités comme des standards ». Saxes et cuivres nous régalent tant en section orchestrale qu’en solo. Entre chaque “Tableau”, une variation improvisée est déclinée au piano solo par Pierre de Bethmann. Six parenthèses audacieuses comme pour mieux inviter le big band à s’enflammer de nouveau sur le brasier du swing. Si le mariage entre jazz et classique n’est pas toujours heureux, il exhale ici un bonheur absolu de jouer. Deux journées de studio auront suffi pour « repeindre » l’œuvre de Moussorgsky. D’où la salutaire spontanéité qui a été divinement captée sur cet album. »Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « De première importance » par L’Académie du jazz
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    « Pays ouvert aux rencontres, la Belgique a toujours entretenu des rapports privilégiés avec le jazz et joué très tôt un rôle déterminant dans la diffusion de cette musique : dès 1924, paraît la revue Musique Magazine qui accorde une large place au jazz et huit ans plus tard, Robert Goffin devient le premier critique de l'histoire du jazz avec son ouvrage "Aux frontières du jazz". Rappelons que Django Reinhardt est né en 1910 à Liberchies, dans le pays d'Adolphe Sax, qui dès les années 20 comptait des jazzmen belges de valeur comme le montrent les enregistrements rassemblés par Robert Pernet dans le coffret "Jazz in Little Belgium", (actuellement indisponible).Poursuivant cette voie d'excellence, cette anthologie, concoctée de main de maître par Philippe Comoy, est consacrée à une génération de musiciens belges dont le talent fut révélé au niveau international lors du festival de Knokke-le-Zoute de 1956. On y entend les premiers enregistrements sous leur nom du guitariste René Tho [...]

  • « Une carrière météorique » par ABS Magazine
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    « A priori, la question se posait de savoir si une chronique relative à un crooner blanc du Rockabilly et du Rock ‘n Roll des années 50 avait sa place dans ABS Magazine. Après écoute des trois Cds de ce coffret Frémeaux et Associés accompagné d’un livret très documenté de 24 pages dû à Bruno Blum, la réponse est « oui » tant Buddy Holly, au-delà de son charisme et de son succès avec Peggy Sue et la suite, était influencé par les rockeurs noirs comme Little Richard, Chuck Berry, Bo Diddley… et même Ray Charles. De son vrai nom Charles Hardin Holley et né à Lubbock, Texas, en 1936, Buddy Holly eut une carrière météorique, de 1955 à 1959, enregistrant en ce bref laps de temps 62 faces d’un rockabilly très rock and roll et aux racines R&B et même blues, avec un succès considérable, devenant la coqueluche d’une jeunesse conquise par son talent et son look de timide à lunettes mais la fatalité a voulu qu’il se tue en avion en 1959, il avait seulement 23 ans ! Il jouissait de l’estime de [...]

  • « Un disque perdu réédité… » par Chasse Marée
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    Embarqué sur les navires des Messageries maritimes de 1924 à 1960, le marseillais Louis Brauquier était aussi un poète (CM 17) qui se plaisait à évoquer sa vie de marin, ses rencontres et les souvenirs des ports visités. Gérard Pierron a mis en musique et interprété ses « poèmes d’escale » avec des arrangements de Richard Galliano qui l’accompagnait à l’accordéon, au bandonéon et au piano. Un disque paru en 1990 au Chant du Monde, introuvable depuis longtemps et heureusement réédité par Frémeaux & Associés parmi d’autres « Trésors perdus » - c’est le titre de cette « Rétrospective 1981-2013 » où l’on entendra aussi nombre d’autres chansons, souvent inspirées par la Loire et par d’autres voyages de ce « Terre-neuvas des foins » (l’expression est un titre de son complice et également parolier Allain Leprest) embarqué « dans son vieux bateau de 2 CV » plus souvent qu’en mer ! Gérard Pierron, délicat, chante et sert le poète sans jamais tirer la couverture à lui. Par CHASSE MAREE

  • « Avec les Haricots Rouges ce n'est jamais triste » par Jazz Hot
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    « Après la réussite de French Melodies, les Haricots Rouges poursuivent leur évolution. Nous ne sommes plus dans le strict genre New Orleans de leurs débuts mais ce n'est pas moins réjouissant et c'est sans doute plus adapté aux goûts du jour. Ce sont des morceaux lancés par le cinéma que transforment ces meilleurs espoirs masculins. On ne reconnait plus trop les Haricots dans ce vigoureux «Ghostbusters». Christophe Deret s'y fait entendre brièvement en solo. La tradition Haricots n'est pas rejetée pour autant, il suffit d'écouter «Bye Bye Baby» tiré de Les hommes préfèrent les blondes, avec ses collectives menées par Pierre Jean au cornet et un excellent solo de clarinette. Il y a un beau duo clarinette et piano sur «Moon River». La touche antillaise qui fait partie du C.V. des Haricots se goûte dans «Qué sera sera» exposé par Montebruno avec les contrechants parfaits de Deret. Pierre Jean y prend un bon solo de piano. Pour ce qui est de «The Green Leaves of Summer» les Haricots [...]

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