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  • « Alain Goraguer méritait cet hommage » par Jazz Hot
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    « Alain Goraguer (1931), chef d'orchestre et arrangeur, a étudié le violon avant de se consacrer au piano. A Nice, en 1952, il rencontre Jack Diéval qui le fait venir à Paris et le prend comme élève. Accompagnateur de la chanteuse Simone Alma en 1955, c'est grâce à elle qu'il rencontre Boris Vian. Boris et «Gogo» deviennent très amis. Directeur artistique chez Philips, Boris lance Goraguer, pianiste de jazz, dans des disques en trio que nous trouvons dans le CD1. On relira le texte de Boris Vian, «Go...Go...Goraguer» dans le Jazz Hot n°114 (octobre 1950). Pourquoi ignore-t-on le fin musicien Alain Goraguer dans les milieux du jazz ? Parce que sa carrière s'est vite orientée vers les variétés (de qualité). Le consommateur de variétés d'hier comme d'aujourd'hui a une écoute globale et lorsqu'il y a un chanteur ça gomme l'habillage qui pourtant fait le morceau. Un Gainsbourg confiait au mieux une ligne mélodique et parfois des accords. C'est l'arrangeur, ici Goraguer, qui fait tout l [...]

  • « Pour mettre une bonne ambiance dans vos soirées » par Daily Passions
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    « (…) Je pense que beaucoup de jeunes amateurs de jazz ne connaissent pas ou à peine ce groupe qui, depuis le début des années 60 et dans le droit fil du grand Claude Luter, a promu le jazz New Orléans. Celui où le batteur peut avoir des dés à coudre au bout des doigts et faire swinguer en tapant sur une planche à laver…. Vous pouvez regarder la série TV intitulée Treme… (…) Là, nos Haricots Rouges récidivent. Après French Melodies (aussi chez Frémeaux & Associés) les six compères font subir à des musiques de films les instruments de leur jazz. Et, à mon humble avis, il se produit deux choses. D’une part, cette musique vous entraîne et, d’autre part, vous ne reconnaissez pas tout de suite la musique du film que vous avez vu. Le premier point est tout ce qu’il y a de plus normal, le New Orléans se parade, se dandine, se sautille… Pour le deuxième, je vous donne deux exemples The green leaves of summer du film Alamo, en français Le bleu de l’été, vous allez reconnaître la ligne mélo [...]

  • « Tout un pan d'histoire indispensable à la connaissance du jazz » par Jazz Hot
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    « Bonne façon d'aborder une réédition. On pourrait aussi envisager les clarinettes de Jelly Roll, etc. Mais de nos jours de tels projets ne sont pas évidents. Pour celui-ci, Frémeaux & Associés a voulu une prévente par souscription qui lui évite de prendre des risques. Le problème est que les amateurs de jazz ont progressivement été remplacés par des consommateurs de «nouveautés». Le passé fait peur. Et, pour les hommages, on préfère inventer à partir du présent plutôt que de regarder le passé en face. (…) L'idée était justement de présenter ces perles du XXe siècle au meilleur niveau technique à partir de disques en bon état (Didier Périer, au son). Les amateurs de jazz chevronnés connaissent tous ces enregistrements. Autre bon point, contrairement aux choses «postées» sur YouTube vierges de tout renseignement (destruction en règle des contributions d'Hugues Panassié, Charles Delaunay, Brian Rust, Tom Lord, etc.), nous avons ici, dans le livret, tout ce qui doit y figurer: nom de [...]

  • « Quelle époque ! » par Jazz Hot
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    Quelle est la réalité d'un jazz belge à cette époque-là ? En Belgique comme en France ou en Allemagne de l'Ouest, les jazzmen se mettaient naturellement dans les courants expressifs américains ce qui n'étouffait ni leur personnalité, ni leur créativité. D'ailleurs Philippe Comoy responsable de cette très utile sélection écrit d'emblée : « sortant de la guerre et accueillant les GI, le pays se met à l'heure américaine ». Rien de spécifique, c'est aussi la réalité notamment en France, où les Etats-Unis en nous sortant, dans leur intérêt, de l'anéantissement économique nous injectent leur société de consommation.  En quoi est-ce ici l'âge d'or du jazz par des musiciens belges ? Peter Packay, David Bee, Alphonse Cox, René Compère, Robert De Kers, Fud Candrix, etc. n'ont-ils pas préparé le terrain ? Pour Philippe Comoy, l'âge d'or commence avec le bop, c'est mieux en le disant. La Belgique est un pays jeune (né en 1830) et avec une particularité. Il y a les Wallons qui adorent les Fran [...]

  • « Quel philosophe faut-il lire en confinement ? » par Le Point
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    M. Onfray – Ce peut être un stoïcien, car ils sont les philosophes du combat contre l’adversité par excellence : ils donnent des recettes pour lutter contre l’inquiétude, la peur, la crainte, l’angoisse, la vieillesse, la maladie, la souffrance, la trahison, la mort bien sûr. Je songe aux « Pensées pour moi-même » de Marc Aurèle, aux « Lettres à Lucilius » de Sénèque, ou au « Manuel » d’Epictète. Mais s’il ne fallait qu’un philosophe, ce serait Montaigne qui, dans les « Essais », les contient tous. Michel Onfray – « La vengeance du pangolin », pour Le Point

  • « Une musique d’émotion double » par Daily Passions
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    « La musique me fascine. C’est qu’elle m’émeut, surtout lorsqu’elle sort des moules appréciés, lorsqu’elle se rit de codes établis pour donner à entendre des personnes plutôt que de simples paysages sonores. Là, je suis gâté, j’ai droit à une musique d’émotion double. (…) C’est à mon humble avis une musique faite pour former le goût… »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « Une invention sidérante » par Le Monde
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    Ce coffret regroupe des enregistrements effectués par le pianiste Alain Jean-Marie entre 1992 et 2013, parus en cinq albums distincts. Odes à ses deux amours de toujours, l’antillaise biguine qu’il jouait autrefois dans les bals de Guadeloupe où il est né en 1945, et le jazz (dès l’âge de 12-13 ans, il s’achetait des disques de be-bop), il y est accompagné par le bassiste Eric Vinceno et le batteur Jean-Claude Montredon (sauf sur le premier CD, où Serge Marne est au baguettes). Son piano rayonne d’humeur espiègle, il gazouille et danse avec une invention sidérante.Par Patrick LABESSE – LE MONDE

  • « Le maestro du piano comble notre corps et notre esprit » par L’Humanité
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    « Embrassant bop et biguine dans une même étreinte, le maestro du piano comble notre corps et notre esprit. Il concilie autorité dans le jeu et invitation au déhanchement. En 4 CD, sont regroupés 5 de ses disques, enregistrés en trio entre 1992 et 2013. Avec Eric Vinceno à la basse et Jean-Claude Montredon à la batterie, sauf pour le CD 1 où Serge Marne est derrière les fûts et cymbales. De son hallucinante technique, le modeste géant guadeloupéen ne fait nul étalage. En chaque note, se nichent vive sensibilité, sagacité musicale et swing pétillant. Outre ses propres compositions et celles d’artistes actuels, Alain Jean-Marie revisite des pièces d’éclaireurs antillais – Robert Mavounzy, Al Lirvat, Eugène Delouche, etc. Ce corpus, qui appartient au patrimoine culturel vivant de France, mais aussi du monde, devrait être disponible dans les conservatoires, écoles et autres lieux de transmission. »Par Fara C. – L’HUMANITE

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