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  • « Une oeuvre à faire chavirer le cœur » par La route aux quatre chansons
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    « En 2016, l’étiquette française Frémeaux & associés avait publié une première et puissante anthologie de Gérard Pierron. En voici la suite, «Trésors perdus», quatre cd pour couvrir la période 1981-2013. Les grandes chansons poétiques et sociales n’y manquent pas, chantées d’une voix sobre, belle, frémissante. Parmi les plus fortes, citons Scheveningue, morte saison; La rue des ciseaux dorés; Le marchand d’oranges… On regrettera que son troisième microsillon (1981) ne soit pas intégralement repris ici, mais il paraît que Pierron n’a jamais été satisfait du mixage original du vinyle, pourtant un de ses meilleurs albums en carrière. Pour nous consoler, d’autres extraits du même 33-tours avaient été réédités sur la première anthologie. Sur la nouvelle, on trouve de généreux extraits du double album «Plein chant» et la totalité de «Carnet de bord». On peut y redécouvrir avec plaisir Le maître et la boule (tirée de «Chansons en charentaises»). Les choix y sont généralement judicieux, l [...]

  • « Un concentré de chansons poétiques pleines de révolte et de désespoir» par La
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    « Il y a une vingtaine d’années, le vinyle tombait en désuétude et on pouvait arpenter les disquaires d’occasion à la recherche de trésors. Et on en trouvait encore, à des prix dérisoires. Un jour, au hasard, j’ai mis la main à Montréal sur le premier album de Gérard Pierron, attiré par la pochette où figurait la photo d’un vagabond de dos, par les titres, je ne sais quoi… J’ai posé l’aiguille dans le sillon du 33-tours et… J’ai entendu la voix de ce gars, les premières notes entêtantes, et je savais déjà que le choc serait fort. Il l’a été, et dure encore deux décennies plus tard. Ça s’appelait «La chanson d’un gâs qu’a mal tourné», sur lequel on pouvait entendre les textes anarchistes du poète français Gaston Couté (1880-1911). Chantés par Pierron et dits par Bernard Meulien. Une puissance, une originalité. La langue résonnait du patois beauceron qui ressemble étrangement au joual du Québec. Naturellement, une telle merveille n’était pas rééditée en cd. Il fallut attendre. Longt [...]

  • « Les standards deviennent des nouveautés »
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    « Le jeune violoniste toulousain, Bastien Ribot, a finalement sorti un album, sous son nom, après avoir cofondé le RP Quartet, la formation de jazz manouche la plus atypique et créative de ce siècle. Malgré son titre, plutôt anodin, sa sélection de standards de violon du jazz est loin d’être banale. D’abord, il est accompagné d’un trio inattendu de orgue hammond et batterie (sans guitare ni basse). Ça change tout, même l’interprétation des classiques du swing de Django. Grâce à ses deux complices, ses trois invités et ses arrangements innovants, les standards deviennent des nouveautés et l’album s’inscrit tel le début d’une longue lignée. Ce disque s’ouvre avec Une nuit au violon de Martial Solal et culmine sur les revisites des succès de ses idoles : Didier Lockwood et Jean-Luc Ponty. »Par Sir ALI – LE JAZZOPHONE

  • « Des bijoux de dérision, d’humour, de spiritualité, de résistance, de verve » p
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    « L’éditeur Frémeaux et Associés présente en 3 CD l’anthologie musicale (59 morceaux) qui illustre l’exposition du Quai Branly. Abolie en 1966, la ségrégation raciale a étranglé les relations entre Blancs, Noirs et Métis. Celle-ci a néanmoins inspiré des bijoux de dérision, d’humour, de spiritualité, de résistance, de verve. Du chant de travail au calypso, du gospel au negro spiritual, du blues au jazz, tous les modes devenaient canal pour s’exprimer. Des mouvements de la Harlem Renaissance à celui des Droits civiques, le musicologue Bruno Blum détaille la créativité inextinguible des populations opprimées dans un livret documenté de 24 pages. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Celui qui a marqué des générations de musiciens » par Le Salon littéraire
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    « (…) Commençons par deux de ces rééditions dont Frémeaux & Associés se sont fait une spécialité. Toutes témoignent de la complémentarité et, pour tout dire, de l’excellence d’un tandem qui a fait ses preuves, celui d’Alain Gerber et d’Alain Tercinet. Leurs livrets sont des modèles d’exactitude et de brio, souvent imités, jamais égalés. Il convient ici de rendre hommage à ces spécialistes qui n’ont pas leurs pareils pour extraire de l’œuvre d’un musicien la quintessence. En l’occurrence, celle de Dexter Gordon qui, entre New York, Englewood Cliffs et Hollywood, enregistra, de 1945 à 1962, quelques pépites dont, avec son collègue saxophoniste Wardell Gray, The Chase, qui contribua largement à son renom. On le retrouve au fil des plages en brillante compagnie, celle de Bud Powell ou de Herbie Hancock, de Dodo Marmarosa, de Jimmy Rowles, de Lou Levy, pour s’en tenir aux seuls pianistes. Son style, marqué à l’origine par celui de Lester Young, s’en est tôt émancipé sous l’influence de [...]

  • « A marqué l’histoire du jazz » par Le Salon littéraire
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    « (…) Commençons par deux de ces rééditions dont Frémeaux & Associés se sont fait une spécialité. Toutes témoignent de la complémentarité et, pour tout dire, de l’excellence d’un tandem qui a fait ses preuves, celui d’Alain Gerber et d’Alain Tercinet. Leurs livrets sont des modèles d’exactitude et de brio, souvent imités, jamais égalés. Il convient ici de rendre hommage à ces spécialistes qui n’ont pas leurs pareils pour extraire de l’œuvre d’un musicien la quintessence. (…) Autre musicien qui a marqué l’histoire du jazz, Elvin Jones. L’album qui lui est consacré et qui bénéficie du concours des deux mêmes commentateurs couvre les années 1956-1962, soit une période féconde au cours de laquelle le batteur brille aux côtés du ténor belge Bobby Jaspar, des pianistes Tommy Flanagan, et Barry Harris, de John Coltrane, dans le grand orchestre de Gil Evans, puis associé à McCoy Tyner et Jimmy Garrison au sein d’une section rythmique devenue historique (la version d’Impressions de Coltran [...]

  • « Un travail absolument formidable ! » par France Inter
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    « Un coffret de 3CD Yvette Yvette Yvette, c’est Nathalie Joly qui chante Yvette Guilbert, une pionnière du féminisme, une reine du café concert, amie de Freud… Madame Arthur, La Glu, Nous nous plumes, les amis d’Monsieur et Partie carrée , des chansons de son répertoire, il y a 3 disques, (…) l’album c’est chez Frémeaux & associé qui fait un travail entre autre au service de la chanson française, un travail absolument formidable ! Albert ALGOUD – FRANCE INTER

  • « Inaltérable! » par Paris Move
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    « Comme ses pairs (d’Elvis à Chuck Berry), Jerry Lee LEWIS était (et demeure) un être complexe. Plouc hillbilly admirant à la fois Hank Williams et Amos Milburn, ce garçon incarnait parfaitement la schizophrénie du Sud ségrégationniste. Encore adolescent, il franchissait régulièrement la ligne de démarcation entre quartiers afro-américains et districts prolos blancs pour écouter clandestinement le jump blues et le boogie des juke joints du coin. Il y connut son épiphanie. Déjà grande gueule, arrogant et rebelle, il en tira l’essence de son art, et la confirmation de sa relation à l’autorité. Tour à tour pêcheur invétéré et repenti sincère, Jerry Lee LEWIS s’attacha d’abord à courser, dans la recherche d’un hit fédérateur, un Presley déjà parti de Sun pour RCA (“Don’t Be Cruel”). S’attachant la complicité de Carl Perkins, il débuta chez Sam Phillips en alternant country bon teint (“You Win Again”, “I’m Feeling Sorry”) et saillies négroïdes (“When the Saints”), asseyant ouvertement [...]

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