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  • « Un charme suranné qui met les larmes aux yeux » par L’Alsace
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    « Le son de la Nouvelle Orléans et les claquettes comme percussions : avec  « Tap That’Jazz », le sextet enflamme la piste au rythme du banjo. Sax et trompette swinguent autour de la voix divine de June Milo. Un charme suranné qui met les larmes aux yeux. Ah ces oignons ! » Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « Un document fascinant » par Jazz News
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    Il revenait tout juste d’Israël, en galère, avec Big Bill Bronzy, lorsque Ténot et Filipacchi demandèrent à Memphis Slim d’animer une de leurs soirées à l’Olympia. Devant un public assez restreint, l’un des pianistes les plus caractéristiques du style de Chicago de sa génération réalise sans doute la première de ses nombreuses prestations parisiennes – avant le temps des Rolls et des médailles pour ce futur Parisien illustre. Plus connu pour ses enregistrements antérieurs ou ceux, français, des années 70, Memphis Slim s’y donne à attendre en solo d’une oreille nouvelle : hommages constants aux anciens visiblement pas encore oubliés (Leroy Carr !), vraie bête de scène, immense musicien tout simplement. Un document fascinant sur des années charnières, décidément si bien documentées par Frémeaux & Associés.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Un concert d’anthologie » par Jazz News
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    Il est possible que les musiciens plus « cool » que « hard » de l’histoire du jazz soient moins sollicités dans les références historiques. Si Stan Getz a beaucoup d’admirateurs, il n’est pas certain qu’on lui fasse le sort qu’il mérite pour l’ensemble d’une œuvre trop souvent rabattue sur ses seuls tropismes brésiliens. En 1959, le ténor s’est exilé au Danemark depuis peu pour fuir drogues et routine artistique, après avoir enflammé la fin des années 50 à coup de collaborations prestigieuses (Chet, Mulligan, Peterson…). Il est au sommet d’une gloire pas encore concurrencée par le déferlement du free et du hard-bop, et balance un concert d’anthologie avec un Martial Solal déchirant et un pierre Michelot magique. Sur un répertoire de standards délicieusement troussé, Stan Getz phrase dès les premières mesures du thème des improvisations superbes, où éclate d’abord le son cristallin du ténor.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Au sommet de la maîtrise de son art » par Classica
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    Réunissant une séance légendaire pour Norman Granz en juin 1952, des concerts mémorables (Birdland, Rockland Palace, Carnegie hall et Hi-Hat de Boston), ces trois CD témoignent une fois encore du génie d’improvisateur dont Charlie Parker était doué. On reste à nouveau ébahi à l’écoute d’une telle liberté, d’une imagination mélodique et rythmique si inépuisable surgissant d’un mode de vie qui était plus qu’épuisant. Au sommet de la maîtrise de son art, il livre pour l’éternité quelques-uns de ses solos les plus inoubliables, notamment au cours d’une belle séance en compagnie de quatre musiciens qui formeront peu après le Moder Jazz Quartet. Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Un discours prémonitoire ? » par Le journal du Médecin
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    Conférence de Michel Onfray enregistrée à Cannes au mois d’avril dernier et prenant pour sujet l’esprit français. Conférence qui intervient évidemment après les attentats de janvier 2015 et qui bien sûr entre en résonance avec ces évènements, et ceux qui allaient se produire six mois plus tard, notamment lorsqu’Onfray évoque la question de la laïcité et l’assimilation en affirmant que la République ne s’est pas rendue désirable de ce point de vue. Et lorsque le philosophe pointe que les imams des mosquées devraient être soumis au contrôle de l’Etat et non pas financés par le Qatar ou l’Arabie saoudite, son discours de position ferme de gauche empreint parfois de dérives sécuritaires, s’agissant de la NSA notamment, en devient prémonitoire. Prémonition ? Il se fait que l’auteur de ces lignes a écouté ce double cd dans sa voiture, un certain 13 novembre…Par B.R. – LE JOURNAL DU MEDECIN

  • « Une petite merveille » par Jazz Magazine
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    Enregistré en janvier 1959 à l’Olympia, ce live in Paris » est tout simplement une petite merveille. D’abord parce que c’est Stan Getz et que celui que l’on surnomme « The Sound » est entouré d’un quartette d’exception franco-américain, mené par Martial Solal. Ce qui frappe dès la première plage (Cherokee), c’est la cohésion des cinq musiciens, ravis d’être ensemble pour jouer ce répertoire de standards, comme si c’était la première fois, devant un public averti qui manifesta à loisir son approbation, voire sa ferveur. Martial Solal a rapidement établi une complicité avec le saxophoniste et Getz laisse s’exprimer « l’impalpable et voluptueuse qualité de son timbre » (Jacques Réda) dans une relecture personnelle de ces classiques du Great American Song book, démontrant l’unité d’un style où règne l’élégante sureté du phrasé, cette « manière de tourner sans fin autour de l’accord » évoquée jadis par le pianiste. Impressionné par Solal, il le laisse jouer en trio (Lover Man, Special [...]

  • « Un disque rare à ne pas laisser passer » par Jazz Magazine
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    La combinaison vibraphone-piano-guitare-basse-batterie du quintette de George Shearing a marqué le monde de l’accordéon, des Etats-Unis où Art Van Damme l’adopta dès 1947, à la France où les as de l’accordéon populaire s’en emparèrent souvent pour échapper au périmètre où le succès les retenait. Marcel Azzola fut de ceux-ci, notamment sur ce disque du label Black & Blue où le vibraphone hamptonien de Dany Doriz associé au bopper Georges Arvanitas et à l’inclassable brillantissime Marc Fosset (dont Azzola fréquentait à l’époque le duo Fosset-Caratini) fait « chauffer Marcel » comme il se doit. Originaux de Doriz (Fanfreluche) et Marcel Azzola (ses fameux « Double Scotch », « Pich’nette » et les riffs et variations moins connues de « Lina’s Blues »), tendres ballades de Vernon Duke ou  George Gershwin (mais aussi Percy Mayfield), morceaux de bravoure du swing (« Rockin’in Rhythm » et « Perdido », occasion d’une longue variation bop à l’unisson conclue par une folle collective), mais [...]

  • « Délicat et élégant » par Jazz Magazine
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    Ce disque est un adieu de Jean-Louis Wiart à son activité de producteur et à son label Axolotl. Délicat et élégant adieu dont il confie la responsabilité à la chanteuse Do Montebello et à ce disque qu’elle présente comme « un climat ». La mélancolie en est profondément marquée par la bossa nova, mais elle chante aussi « Peace » d’Horace Silver et « Never Let Me Go » parmi les originaux et les reprises de Tom Jobim ou Tonino Horta (ici guitariste auprès du violoncelle de Jacques Morelenbaum ou de l’accordéon de Marc Berthoumieux sur des arrangements dominés par les cordes pincées). Par François MARINOT – JAZZ MAGAZINE

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