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  • « Une émulation constante » par Jazz Magazine
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    Aussi influents l’un que l’autre dans leurs spécialités instrumentales respectives, Willie Smith le Lion Et Jo Jones le Tigre possédaient des vertus félines distinctes mais faites pour interagir en souplesse, comme en témoignent ces séances new-yorkaises de 1972 organisées par Hughes et Louis Panassié, qui donnèrent lieu en leur temps à deux albums regroupés aujourd’hui avec quelques ajouts et retraits. Le pionnier du piano « stride » et l’homme pour qui la batterie devait se sentir plus encore que s’entendre, enregistraient pour la première fois en duo (pour le pianiste, ce furent ses derniers pas sur disque). Une émulation constante, nourrie par des affinités anciennes, se fait jour entre ces deux artistes du tempo que l’on peut aussi qualifier de grands couturiers du jazz, tant la précision et l’élégance le disputent chez eux à la fantaisie. Ils déploient autant de swing et de finesse dans les compositions de Smith (« Keep your Temper, You’re The Limit, Woodland Fantasy ») que [...]

  • « Il est permis de se laisser séduire » par Classica
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    Enfin, il est permis de se laisser séduire par la « Quintessence » dédiée à Sidney Bechet, dont Alain Gerber dresse, en deux CD pertinents et un livret copieux superbement écrit, le parcours musical de 1944 à 1958, des États-Unis à son installation en France.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Entre puissance et douceur » par Le Parisien
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    … Entre puissance et douceur, Norig joue de sa voix, comme de sa sensualité, pour chanter la joie et la souffrance propre à la musique tzigane. Par LE PARISIEN

  • « Norig nous subjugue » par L’Humanité
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    … Ample, aérienne, Norig nous subjugue de sa voix qui caresse le ciel.Par L’HUMANITE

  • « Norig a fière allure » par Mondomix
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    Le pari est osé : démarrer un album de musique tsigane par « Ederlezi », le célébrissime morceau du Temps des gitans. Mais le pari se révèle réussi pour Norig… Cet album a longtemps mûri, cela se sent, dans la voix, trempée, narquoise ou enflammée, dans les arrangements de Sébastien Giniaux, violoncelliste et guitariste inspiré, dans la complicité qui unit la chanteuse à ses musiciens … Sur un répertoire à cheval entre la tradition et des compositions originales. Norig a fière allure. Par MONDOMIX

  • « Un charme suranné qui met les larmes aux yeux » par L’Alsace
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    « Le son de la Nouvelle Orléans et les claquettes comme percussions : avec  « Tap That’Jazz », le sextet enflamme la piste au rythme du banjo. Sax et trompette swinguent autour de la voix divine de June Milo. Un charme suranné qui met les larmes aux yeux. Ah ces oignons ! » Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE

  • « Un document fascinant » par Jazz News
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    Il revenait tout juste d’Israël, en galère, avec Big Bill Bronzy, lorsque Ténot et Filipacchi demandèrent à Memphis Slim d’animer une de leurs soirées à l’Olympia. Devant un public assez restreint, l’un des pianistes les plus caractéristiques du style de Chicago de sa génération réalise sans doute la première de ses nombreuses prestations parisiennes – avant le temps des Rolls et des médailles pour ce futur Parisien illustre. Plus connu pour ses enregistrements antérieurs ou ceux, français, des années 70, Memphis Slim s’y donne à attendre en solo d’une oreille nouvelle : hommages constants aux anciens visiblement pas encore oubliés (Leroy Carr !), vraie bête de scène, immense musicien tout simplement. Un document fascinant sur des années charnières, décidément si bien documentées par Frémeaux & Associés.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Un concert d’anthologie » par Jazz News
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    Il est possible que les musiciens plus « cool » que « hard » de l’histoire du jazz soient moins sollicités dans les références historiques. Si Stan Getz a beaucoup d’admirateurs, il n’est pas certain qu’on lui fasse le sort qu’il mérite pour l’ensemble d’une œuvre trop souvent rabattue sur ses seuls tropismes brésiliens. En 1959, le ténor s’est exilé au Danemark depuis peu pour fuir drogues et routine artistique, après avoir enflammé la fin des années 50 à coup de collaborations prestigieuses (Chet, Mulligan, Peterson…). Il est au sommet d’une gloire pas encore concurrencée par le déferlement du free et du hard-bop, et balance un concert d’anthologie avec un Martial Solal déchirant et un pierre Michelot magique. Sur un répertoire de standards délicieusement troussé, Stan Getz phrase dès les premières mesures du thème des improvisations superbes, où éclate d’abord le son cristallin du ténor.Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

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