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« Muy simpatico. » par l’Alsace
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Ce disque pourrait n’être qu’un gag. Il est beaucoup plus que cela. En 2000, l’ex-présentateur du « Vrai Journal » sortait son premier album avec la complicité de Daisy d’Errata, Eric Laugérias et même Henri Salvador sur le miraculeux « El Bodeguero » ! Cette collection de chansons est un délice de cha-cha-cha et autres sucreries latinos orchestrées avec maestria, humour et légèreté. Karl Zéro n’hésite pas à interpréter le tout avec un accent français à couper à la serpe. Muy simpatico. » Par Thierry BOILLOT – L’ALSACE
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« Un bonheur total » par France Inter
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Du pur plaisir ! (…) Un somptueux coffret, une lecture quasi complète de A la Recherche du temps perdu en 25 CD publié par Frémeaux & Associés. Essayez de vous y perdre, c’est un tour de force de la part de Daniel Mesguich, une musique, une véritable musique et un bonheur total. » Par Nicolas DEMORAND – (LE 7/9) MATINALE FRANCE INTER
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« Remarquable » par L’Enseignement
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Deux brillants historiens, spécialistes du nazisme, Johann Chapoutot, professeur d’histoire contemporaine à la sorbonne et Christian Ingrao, directeur de recherche au CNRS, nous plongent dans l’histoire multiculturelle de l’Autriche-Hongrie qu’Hitler déteste. Tirant de son exclusion sociale la conviction qu’il est un génie, la guerre de 1914 sera pour Hitler une « matrice » lui permettant, en tant qu’ancien combattant, de parler au nom du peuple. Sa stratégie pour créer un mouvement politique, gagner la chancellerie et mettre en place « l’administration implacable du IIIe Reich » est décortiquée de façon remarquable. Par M.B. - L’ENSEIGNEMENT
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« Un maître styliste en la matière. »
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« “Once upon a time, I had a good girl… And once, upon a girl, I had a good time”. C’est l’une des diverses facéties par lesquelles MEMPHIS SLIM introduisait encore ses chansons quand je le vis en juillet 1987, sur la scène du Belgian Blues Festival de Peer (où il remporta un triomphe mérité). Né Peter Chatman en 1915, il devait nous quitter le 24 février 1988, après avoir vécu plus de 36 ans à Paris. Marié à une jeune française (et père d’une fille née de cette union), il avait établi ses quartiers Aux Trois Mailletz, minuscule club parisien dont le piano Grotrian Steinweg lui assurait le gagne-pain. Il y tenait cour pour l’interminable procession de touristes venus s’y encanailler, mais également pour la diaspora de bluesmen résidants ou de passage, qui (au contraire de ses compatriotes pseudo-mélomanes) ne l’avaient pas oublié en dépit de son exil, et ne lui avaient non plus jamais dénié allégeance. C’est sous le patronage de Frank Ténot et Daniel Filipacchi (et l’égide d’Europ [...]
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« Une formule originale » par Le Salon littéraire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« Lors de la Première Guerre Mondiale, le 27 décembre 1917, le compositeur et chef d’orchestre américain James Reese Europe débarqua du navire Pocahontas en rade de Brest, avec son régiment. Simple anecdote ? Sûrement pas. Avec lui, c’est la musique de jazz qui fait son entrée sur notre sol, à la surprise des premiers témoins, stupéfaits d’entendre une Marseillaise façon ragtime. Transfigurée par le swing. Telle qu’ils ne l’ont encore jamais entendue. Prélude à une déferlante. Notre hymne national ainsi interprété inaugure une série de concerts où le big band du 36erégiment d’infanterie, plus connu sous le nom de « Harlem Hell Fighters », fait sensation. Saint-Nazaire, Nantes, Aix-les-Bains, Paris, autant d’étapes triomphales. (…) ce « Tribute To James Reese Europe [...]
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« Tous les grands titres du répertoire armstrongien sont bien présents » par Le
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) Longtemps considéré comme le roi du jazz, le trompettiste et chanteur de La Nouvelle-Orléans a marqué des générations. Il compte parmi les créateurs éminents d’une musique qu’il a sorti des limbes de la polyphonie, telle que la pratiquaient les orchestres de sa ville natale, pour favoriser l’émergence du soliste. Ainsi ouvrit-il, avec son Hot Five et son Hot Seven, la voie royale empruntée à sa suite par les improvisateurs de talent, tous genres et styles confondus. Publier l’intégralité de son œuvre relève de l’entreprise titanesque. Un pari en passe d’être tenu, grâce, notamment, à la ténacité du label Frémeaux & Associés et à la passion érudite de Daniel Nevers, directeur artistique, auteur du copieux livret et de la discographie. « [...]
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« La contribution apportée au jazz par les Européens » par Le Salon littéraire
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) Dans la collection « The Quintessence » dirigée par Alain Gerber, un repère important concernant la contribution apportée au jazz par les Européens : le coffret consacré au saxophoniste et flûtiste belge Bobby Jaspar. Si tout le monde connaît, au moins de nom, Django Reinhardt, en revanche ce Wallon qui fut l’égal des meilleurs musiciens d’Outre-Atlantique et fit rayonner en France le jazz que l’on disait, à son époque, moderne, demeure très largement ignoré. Pourtant, son talent éclate sur maintes plages de ce triple CD dont le maître d’œuvre fut le regretté Alain Tercinet. Le copieux livret témoigne, une fois encore, de la minutie et de l’érudition de ce dernier. Ce coffret regroupe des enregistrements réalisés à Paris, New York et diverses villes d’Europe entre 1953 et [...]
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« Les vertus cardinales du jazz sont portées à leur meilleur niveau » par Le Sal
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) groupe qui conjugue connaissance des "fondamentaux" et originalité réelle, c’est le Paris Gadjo Club, quartette qui réunit Pierre-Louis Cas (clarinette, sax alto), Christophe Davot (guitare, banjo), Stan Laferrière (guitare) et Laurent Vanhée (contrebasse). Son album Café du Brésil propose une fusion particulièrement attrayante, celle du jazz avec le choro, musique populaire instrumentale qui est son pendant brésilien. Leur rencontre n’a rien d’artificiel. Du reste, les affinités entretenues entre ces deux musiques ne sont certes pas récentes. Stan Getz contribua largement, en son temps, à la vogue de la bossa nova, et nombre de compositeurs brésiliens ont enrichi, à l’instar d’Antonio Carlos Jobim et de quelques autres, le répertoire du jazz.Dans ce disque, où est largement sollicité le compositeur Jacob [...]