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  • “Excellent if not unique” by The Art Music Lounge
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    “Gadjo Combo is yet another small jazz group modeled after the Stéphane Grappelli-Django Reinhardt Hot Club Quintet of the 1930s, their music occasionally updated rhythmically to reflect some later pop music influences. They are excellent if not unique, largely due to the improvising abilities of lead guitarist and leader Marc Joubert and violinist Philippe Plassard, who also plays guitar and electric guitar at times. As usual, there are no drums in this band, again reflecting the aesthetic of the original Quintet. (...) With all that being said, this is a fun disc to listen to, largely because of Joubert’s and Plassard’s solo abilities. Of course, Joubert isn’t nearly as good as the two best Django clones of the past 40 years, Frank Vignola and Biréli Lagrène, but he’s good enough to hold your attention. By contrast, I’d almost put Plassard on the same level as Grappelli; all he really lacks is that little bit of fire that sometimes got lit under Stéphane, pushing him to some of [...]

  • « Légèreté et finesse » par Daily Passions
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    « La voix est une voix « jazzy » que je qualifierai d’acidulée, en pensant aux bonbons du même genre. C’est une voix qui porte la mélodie avec légèreté et finesse et l’on ne s’étonnera pas que Thomas Dutronc avoue s’être inspiré de la version de Plus je t’embrasse par Blossom Dearie et qu’elle se soit fait connaître en 1954 à Paris avec une chanson adaptée et arrangée par Jean Constantin et Michel Legrand intitulée La légende du pays aux oiseaux. »Par Noé GAILLARD – DAILY PASSIONS

  • « Quel bonheur de redécouvrir cet art du swing » par Jazz Nights
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    « Elle n’avait la voix d’Ella Fitzgerald ni la tessiture de Sarah Vaughan. Et pourtant, la chanteuse américaine Blossom Dearie (1924- 2009) connut une carrière fructueuse des deux côtés de l’Atlantique. Que ce fût avec les Blues Stars, grâce au producteur Eddie Barclay ou tout simplement en trio, sa voix fraiche, scintillante et presque enfantine lui ouvrit bien de multiples portes et scènes. Il faut à cela conjuguer le talent et une approche du piano tout en swing. Grâce à Olivier Julien qui coordonna un hommage à Michel Legrand, vous allez découvrir les mille-et-une facettes de Blossom Dearie. Une sorte de compilation en trois disques, quand le puissant producteur américain Norman Granz lui ouvrit les portes de la compagnie Verve. Beaucoup de belles choses et quel bonheur de redécouvrir cet art du swing, sans prétention et avec beaucoup de métier. Comme le dit si bien Patrick Frémeaux : « Une élégance rare et éternelle ». Et, parlant d’élégance, vivement un coffret Julie London  [...]

  • « Une grande carrière dans le jazz » par Jazz Mania
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    « Avec sa voix douce voire enfantine, rien ne semblait destiner Blossom Margerete Dearie à une grande carrière dans le jazz. Mais c’était sans compter sur son réel talent de pianiste. Née à Durham (New York) d’un père britannique et d’une mère norvégienne, elle étudie le piano classique puis découvre le jazz à l’adolescence. Elle s’installe en ville où elle commence une carrière de pianiste avec des groupes vocaux comme The Blue Flames (avec Woody Herman) et The Blue Reys, avant de se faire remarquer par King Pleasure en 1952, avec lequel elle chante en duo un « Moody’s Mood For Love » repris sur le CD1 du coffret. La même année, elle part s’installer à Paris où elle rencontre son futur mari, le saxophoniste belge Bobby Jaspar. Elle apprend la langue française et forme les Blue Stars, un groupe remarqué par Eddie Barclay, qui leur fait enregistrer un premier album sorti en 1955 et dont les 8 titres se retrouvent également ici sur le CD 1. (…) Le 2è CD du coffret rassemble 2 albums [...]

  • « Peps, bonne humeur et brio » par TSF JAZZ
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    « On ne pouvait rêver mieux que de célébrer le retour du Paris Gadjo Club, une formation qui mélange avec peps, bonne humeur et brio le swing manouche et les musiques brésiliennes : samba, bossa et choro. » Par Jean-Charles DOUKHAN - TSF JAZZ

  • « Le pouvoir décuplé de la musique sublimée par l’image » par Paris Move
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    « Dès qu’il devint parlant, le cinéma se mit également à chanter. Après “Le Chanteur De Jazz” en 1927 aux U.S.A., le monde prit conscience du pouvoir décuplé de la musique sublimée par l’image (et réciproquement). Consacrée aux trois premières décennies de ces amours réciproques entre chanson et boîte lumineuse, cette anthologie “Les Chansons du Cinéma Français 1931-1962” retrace en soixante exemples sonores les liens étroits qui les unirent (et les unissent encore) dans notre imaginaire collectif. Des artistes fameux (Josephine Baker, Tino Rossi, Charles Trénet, Maurice Chevalier) y côtoient de grands noms oubliés de la chanson populaire (Florelle, Lilian Harvey, Lys Gauty, Henri Garat, Jean Lumière, Line Viala, Colette Mars), tandis que certains acteurs y poussent eux aussi la ritournelle (Fernandel, Bourvil, Rellys, Suzy Delair, Gabin, Danièle Darrieux, Yves Montand…). On retrouve avec délice les fameux “Quand On s’Promène Au Bord De L’Eau” de “La Belle Équipe” de Julien Duvivi [...]

  • « Un mélange étonnant » par L’ADEM
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    « Ce groupe de musiciens, travaille depuis longtemps autour de la musique juive d’Europe orientale. Pour ce CD, qui est aussi un hommage au père de l’un d’entre eux, ils ont choisi de recréer l’ambiance musicale de son époque. A l’occasion de cet enregistrement, ils ont invité d’autres musiciens, entremêlant leurs pratiques, qu’elles soient klezmer, swing, rock ou classique. Ceci donne un mélange étonnant, et très agréable, avec des moments drôles. A noter une version de Douce France, de Charles Trenet, chantée en yiddish. Cette écoute dépaysante peut se faire en famille et entre amis. »Par Cristina AGOSTI-GHERBAN – ADEM

  • « Saisissant et passionnant » par l’ADEM
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    Bernard Fort, spécialiste dans le travail du paysage sonore naturaliste, dont il anime de nombreux stages au GMVL (Groupe de musique vivante de Lyon, dont il est le fondateur) propose ici un travail réalisé dans la forêt d’Auroville, au bord de l’océan Indien et autour de Pondichéry. Depuis le réveil de la forêt, avec oiseaux, bien sûr, mais aussi d’autres petits animaux, à la fin de la journée ainsi que la nuit, le contraste est saisissant dans ces différentes ambiances. Saisissant et passionnant, tant la variété des sons, mais aussi la subtilité des apparitions font penser à une œuvre musicale savamment travaillée. De même avec les enregistrements de l’Océan Indien. Merveille de la nature qui est très bien captée grâce à la science de l’enregistrement possédée par Bernard Fort. Ce CD est une expérience à partager en famille, mais aussi à faire entendre, fragmentée, aux jeunes enfants.Par Cristina AGOSTI-GHERBAN – ADEM

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