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  • « Fermez les yeux, nous sommes dans la nature » par Big Bear
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    57 mm d’enregistrements réalisé par Pierre Huguet de la forêt congolaise en 1990. Pour ceux qui aiment le silence des bois et écouter les oiseaux que l’on entend mais que l’on ne voit jamais. Fermez les yeux, nous sommes dans la nature. Il est vrai que cet enregistrement est fait pour les gens des villes car pour ma part, et certains qui habitent dans la campagne profonde, c’est toutes les nuits que l’on entend le peu de vie sauvage qui reste. Nous profitons de ce moment tranquille pour sortir et croyez-moi, c’est parfois angoissant. Cet enregistrement est donné dans la cadre d’une exposition qui se déroule d’octobre 2017 à janvier 2018 au Musée du Quai Branly (Paris) où l’on peut retrouver 325 œuvres de collections publiques sur les arts des Peuples de la Forêt Equatoriale Atlantique. Par Yves GUSTIN -BIG BEAR

  • « La première star noire universelle » par Libération
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    « A sa mort le 24 octobre, les médias ont réservé les grands espaces. Il y a de quoi! La gloire de Fats ne se borne pas aux célébrissimes Blueberry Hill, ou Ain’t That a Shame. Soulevé par la marée rock du milieu des années cinquante, le rythm’n’blues du Louisianais enjambait déjà les genres. Le succès s’amplifie. Des émeutes annoncent les concerts. Fats le rassurant devient la première star noire universelle. Pop, jazz, rock, blues : tous les publics, tous les classements l’accueillent. En 1962, le festival de jazz d’Antibes invite le fédérateur. Voici 126 titres, preuve de la production fertile, populaire, et diversifiée d’Antoine Dominique Domino, le rescapé, en 2005 - sur son toît - de l’ouragan Katrina ! Né en 1928 pour que chaloupent les hémisphères. »Par Bruno PFEIFFER - LIBERATION

  • « Humour, poésie et autodérision font bel et bien partie de l’ADN régional » par
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    « Ah, l’Alsace : son folklore, ses fêtes, ses danses, ses hymnes, son humour… Un coffret vient rendre justice au patrimoine culturel alsacien et à ses multiples déclinaisons musicales. Vous reprendrez bien un peu de kouglof ? Hopla geiss !Spécialisé et unanimement reconnu pour son travail de préservation du patrimoine sonore à l’échelle planétaire, le label Frémeaux & Associés s’intéresse enfin à ce petit morceau de France de l’est, où l’on parle encore une langue parfois intraduisible : l’Alsace. Le contenu de cette anthologie a été rassemblé par Jean-Baptiste Mersiol, artiste bas-rhinois aux multiples talents, qui enregistrait il y a peu aux mythiques studios d’Abbey Road à Londres. Bref, ce fan des Beatles -qui apparaît ici en compagnie du groupe rock Bredelers sous le pseudonyme Mr Bretzel- s’est penché sur la riche histoire de sa région aux très nombreuses facettes. Et l’on imagine à quel point cette éclectique sélection de 44 titres a dû faire l’objet d’un choix plus que cor [...]

  • « Un concert dont Paris se souvient encore » par La Croix
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    « Elle était blanchisseuse à la Nouvelle-Orléans et chantait dans la chorale de son église baptiste où prêchait son père. Devenue la « reine du gospel » par la grâce d’une voix sans égale, elle a été l’amie de Duke Ellington et Martin Luther King, que son chant a accompagné jusqu’à son enterrement. Mahalia Jackson sublima aussi le film Mirage de la vie avec le cantique Trouble of The World. C’est dire ce qu’apporte au patrimoine mondial de la musique l’initiative, pilotée par Jean Buzelin, de l’éditer intégralement. Tous les CD publiés par Frémeaux contiennent des pépites (au son restauré). Pour une première écoute, on peut commencer par le volume 13, consacré à 1961, année qu’elle commença en chantant pour l’intronisation du président Kennedy, avant d’aller triompher sur les scènes européennes, et de donner à l’Olympia le 25 février, un concert dont Paris se souvient encore. » Nathalie LACUBE – LA CROIX

  • « Bel hommage en 120 titres » par Soul Bag
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    Coïncidence, cette remarquable compilation est sortie à quelques jours de la mort d’Antoine « Fats » Domino à l’âge de 89 ans. Bel hommage en 120 titres tirés de sa période discographique la plus féconde pour le label Imperial. Géant de la musique louisianaise, le chanteur et pianiste créole fut un géant de la musique américaine tout court. Entre 1950 et 1963 il a, à lui seul, vendu plus de disques que Little Richard, Chuck Berry et Buddy Holly combinés, seulement distancé par Elvis qui le citait comme l’un de ses maîtres. Les historiens s’accordent à considérer que son tout premier enregistrement en 1949, « The fat man », marque (avant l’invention du terme) l’apparition du rock’n’roll. Coup d’essai et coup de maître, « The fat man » constitue une combinaison novatrice, fraîche, et tout à fait néo-orléanaise de boogie-woogie, de blues, de jazz sur fond de backbeat caribéen. Concoctée par un trio comprenant aussi Dave Bartholomew (arrangeur, compositeur, producteur) et Cosimo Matas [...]

  • « Un artiste qui maîtrise toutes les facettes de son art si singulier » par Soul
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    Lorsqu’il grave en 1954 ses premiers titres, Clifton Chenier a 29 ans. Il est tellement peu connu que lors de ces premières séances, le label Elko – comme le relève avec humour Jean Buzelin dans l’excellent livret – ne sait même pas orthographier son nom… Ainsi, c’est donc sous le nom de Cliston Chanier qu’il signe (à son insu !) cette année-là ses six premiers morceaux, dont cinq ouvrent la présente sélection. Malgré cela, tout est déjà parfaitement en place chez un artiste qui maîtrise toutes les facettes de son art si singulier. Dans une formule minimaliste, seulement accompagné de Big Chenier à la guitare et de Robert Pete à la batterie, il va du zydeco festif et brutal (Louisiana stomp, Rockin’ hop) à la ballade louisianaise (Country bred), en passant par la frénésie et l’urgence de « Tell me », sans oublier le blues le plus poignant avec un son d’accordéon incroyable d’intensité (Cliston blues). Tout est donc dit ou presque d’emblée, mais l’excellence et la puissance évocatr [...]

  • « Mahalia exprime sa foi chrétienne avec une grande profondeur » par Soul Bag
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    Cette fois, c’est moins bien. D’un point de vue sonore, ce quatrième et dernier volume de « Mahalia Sings » est le plus faible. Pour dénicher les vingt dernières des 82 chansons enregistrées par la reine du gospel pour la télévision en juin et juillet 1961, le rééditeur a dû piocher dans les sources les plus rares et cela s’entend : le son manque de relief et de clarté. D’autant que, comme l’écrit Jean Buzelin, « il y a beaucoup de morceaux chantés sur tempo lent et les simples accompagnements piano/orgue sont nombreux ». La monotonie guette donc l’auditeur. Pour autant, le jeu en vaut la chandelle. Ne serait-ce parce que le répertoire permet à Mahalia d’exprimer sa foi chrétienne avec une grande profondeur. Mention spéciale à « I want to be a christian », simple et beau, et au percutant « Have you any rivers ? » (God specializes), repris récemment par Lizz Wright. Et encore bravo à Jean, collaborateur à Soul Bag : les détails donnés sur les auteurs des hymnes et gospel songs inte [...]

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