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  • « Ce CD vous plaira ! » par Le Cri du Coyote
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    Comme toujours chez Frémeaux & Associés, le livret accompagnant le CD nous fournit des informations abondantes et claires sur la vie et l’œuvre de cet artiste indissociable du zydeco. On est ici dans la première période de la carrière de Chenier : l’idée consiste tout simplement à interpréter du rhythm & blues à l’accordéon. « Cliston Blues (sic, avec une erreur orthographique d’origine) serait le premier morceau de blues enregistré joué à l’accordéon, en 1954. Le public ciblé est exclusivement Noir et anglophone et les chansons, à une exception près, sont écrites et chantées en anglais, bien que la langue maternelle de Clifton soit le français de Louisiane. Ni valses, ni two-steps parmi les 24 titres présentés. Le seul élément « folklorique » est la présence du « rubboard » de Cleveland Chenier, le frère de Clifton. Coïncidence : j’ai découvert ce CD le jour-même du décès de Fats Domino, autre figure fondatrice de « nos » musiques, et la parenté avec Chenier n’est pas seulement g [...]

  • « Un beau coffret » par Jazz News
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    Dans l’histoire de l’accordéon français, Marcel Azzola est, après Viseur, Priva ou Muréna, sans doute le dernier à incarner le rôle à part de l’instrument créé à peine un siècle plus tôt : le musette et les bals, une vie parisienne qu’il a vue à son corps défendant expirer, la chanson à son meilleur (Montand, Piaf, Bécaud, jusqu’à Nougaro, dont les reprises sont ici ce qui a peut-être le plus vieilli), le Tour de France, etc. La restitution des ses premiers enregistrements était une nécessité heureusement accomplie dans ce beau coffret, aux inédits savoureux de virtuosité et d’arrangements dingues. On espère que l’inéluctable ringardisation de l’instrument qui a accompagné la carrière d’Azzola pourra y trouver une digue solide qui fasse à nouveau honneur à la définition de Queneau du consensus comme accord des on. Ça s’épelle M.A.R.C.E.L. Chauffe !Par Pierre TENNE – JAZZ NEWS

  • « Une séance passionnante » par Jazz News
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    Issue de la collection Jazz Odyssey initiée par Hugues Panassié et son fils Louis en 1969, cette séance pour le moins didactique pourrait rebuter le néophyte et même l’impétrant plus obstiné. Elle se révèle pourtant passionnante de la première à la dernière illustration. Il faut dire qu’avec un professeur comme Jo Jones chaque trait de technique (le premier CD) et d’histoire (le second qui évoque les grandes figures du seul instrument qu’inventa le jazz) prend une saveur particulière. Le batteur de Count Basie savait ce qu’était le swing et son sens de la narration rend la leçon très vivante. Pas de panique, on retrouve dans le livret la traduction du cours qui s’éclaire d’un jour lumineux de la démonstration.Par Bruno GUERMONPREZ – JAZZ NEWS

  • « Irrésistible d’aisance ! » par l’Obs
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    En juin 1962, ce n’est plus un démocrate, mais un républicain qui chante au Lido le temps d’un concert charmeur enregistré sous le titre « Live in Paris ». Frank Sinatra vient de changer de camp politique. Le chanteur de « I’ve Got You under My Skin » s’est brouillé à mort avec le président John Kennedy, qu’il n’a plus dans la peau. On connaît la cause de ce divorce. En mars 1962, le président Kennedy prévoit de passer un week-end à Palm Springs, Californie. Sinatra l’invite à séjourner dans sa demeure. L’année précédente, il a organisé un gala en faveur de Kennedy, avec des places de 100 à 10 000 dollars et un gain d’un million de dollars pour le Parti démocrate. Il a même eu l’honneur de gagner la loge présidentielle du gala au bras de Jackie Kennedy. Pour accueillir son président, Sinatra révolutionne sa villa. Il ajoute des lignes téléphoniques et fait construire une plateforme pour hélicoptère. On dit même qu’il fait poser par anticipation, au-dessus su lit où Kennedy doit do [...]

  • « Une époque bénie » par Le Quotidien du Médecin
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    Dans l’inconscient, évoquer Sidney Bechet (1897-1959), c’est automatiquement se référer à ses dernières années passées en France, quand il faisait casser les fauteuils de l’Olympia, et à ses succès d’alors, comme la célèbre « Petite Fleur ». Certes, ce fut une époque bénie pour le clarinettiste/saxophoniste soprano, qui soulevait et faisait danser les foules, avec son complice Claude Luter et se mélodies aux titres si français (franchouillards ?). Mais il faut également se rappeler les années antérieures et c’est ce que permet « Sidney Bechet – The Quintessence vol. 2 – New York-Paris-Boston 1944-1958 » (Frémeaux & Associés). Si sa collaboration avec Claude Luter et André Réwéliotty, un autre de ses disciples français, est très présente, figurent aussi des rencontres avec Bunk Johnson, Teddy Buckner (trompette), Milton Mezz Mezzrow (un clarinettiste au jeu approximatif), Lil Hardin-Armstrong (piano).Le parcours d'un jazzman hyperpopulaire. Encore aujourd'hui!Par Didier PENNEQUIN – [...]

  • « Un immortel du piano à bretelles » par le Quotidien du Médecin
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    Toujours dans l’inconscient, mentionner le nom de Marcel Azzola. 90 ans, c’est revenir aux Trente Glorieuses, aux bals musette, à une certaine insouciance et à ce cri du coeur lancé par Jacques Brel lors de l’enregistrement de « Vesoul » : « Chauffe Marcel ! ». Cependant, il ne faudrait pas oublier que ce virtuose de l’accordéon a eu l’occasion de jouer avec de grands musiciens comme Stéphane Grappelli, Django Reinhardt, Maurice André, et d’accompagner notamment Yves Montand, Juliette Gréco et Mouloudji. « Marcel Azzola – 1951-1962 (Frémeaux & Assocciés) passe en revue ses propres compositions, les classiques du musette, de la musique dite « savante » qu’il affectionnait, de la chanson, et sa reprise de standards internationaux. Un immortel du piano à bretelles.Par Didier PENNEQUIN - LE QUOTIDIEN DU MEDECIN

  • « Quel casting ! » par Jazz Magazine
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    « Il n’y a pas de précurseurs, il n’y a que des retardataires » (Jean Cocteau). Sous-titrée « Musique expérimentale, génies, visionnaires, révolutionnaires, incompris et innovateurs excentriques », la double compilation « L’Avant-Garde 1888-1970 » (Frémeaux & Associés / Socadisc) réunit entre autres Erik Satie, Duke Ellington, Pierre Boulez, Pierre Henry, Ornette Coleman, Yoko Ono, Sun Ra, John Cage et Frank Zappa. Quel casting ! Liner notes signées Bruno Blum.Par JAZZ MAGAZINE

  • « Il porte au plus haut l’art du trois temps à danser » par Jazz Magazine
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    Marcel Azzola aura toujours défendu la réputation de son instrument face au mépris du classique et du jazz pour lequel il éprouvait la plus grande considération. À lecture de « Marcel Azzola, parcours d’un musicien atypique » de Claude Lemire que vient de publier l’Harmattan, on ne cesse de croiser le jazz, Dizzy Gillespie qu’il entendit à Pleyel à Richard Galliano et Antonello Salis avec qui il croisa le fer en trio. Bien que menant une carrière aux cadences infernales, dans les studios où les directeurs artistiques des séances d’accordéon invitaient leurs poulains à faire de l’abattage, comme sur la route et les scènes de bal, où il fallait tenir la cadence, il a assumé les exigences du métier tout en tenant la vulgarité à distance. Écoutez la mazurka « Rue de la Chine » qu’il cosignait en 1951 avec son ami guitariste Didi Duprat (seul signataire du délicieux « Douce Réflexion »), ses reprises des valses de Jo Privat et Baro Ferret, Michel Péguri ou Gus Viseur. Il y porte au plu [...]

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