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Ce coffret est saisissant par France Inter
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« … Ce coffret, “Les Indiens d’Amérique”, est saisissant. Au milieu de toutes les autres éditions du commerce qui présentent des facsimilés de la culture des Indiens, nous entendons ici des enregistrements anciens de toutes les tribus, avec une restauration soignée et un gros livret, dans lequel j’ai appris beaucoup de choses… » Par FRANCE INTER
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« Un récit enlevé et vivant » par L’Express
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« (…) Fils d'un tanneur de Dole, élevé à Arbois, dans le Jura, Louis Pasteur (1822-1895) fut un élève médiocre avant d'impressionner Napoléon III et les hautes instances scientifiques. A force de volonté et de travail acharné, mais aussi grâce à sa femme, Marie, frappée de "servitude volontaire". Convaincu très tôt qu'il fallait trouver des applications concrètes aux progrès de la connaissance, Pasteur fut le premier théoricien à sortir de son laboratoire pour s'installer à l'usine ou dans les champs (appelé à la rescousse par les betteraviers, les vignerons ou les éleveurs de poules). Ce sont tous ces à-côtés qui font le sel de ce récit enlevé et vivant, en rien hagiographique. Orsenna s'amuse en effet à évoquer la face sombre du découvreur du vaccin contre la rage : un rugueux, donneur de leçons, conservateur, défenseur du pouvoir, censeur à ses heures, jaloux de sa prééminence, incapable de rire et de transiger - comme en témoigne son discours frondeur sur Emile Littré lors de [...]
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« C’est à Nougaro d’avoir les honneurs de cette collection historique » par Télé
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Ferré, Gainsbourg, Béart, Moustaki ou Francis Blanche ont déjà eu les honneurs de cette collection historique : hommage à une œuvre, plus qu’à un homme, elle montre comment le répertoire d’un auteur-compositeur fut chanté par d’autres. Pointu, mais instructif, et souvent surprenant. Cette fois, c’est Claude Nougaro qui se retrouve au centre du motif et c’est judicieux, car on connaît moins ses interprètes. Or, l’art du Toulousain, empreint de jazz, a inspiré les reprises, tant vocales qu’instrumentales. La preuve ici : le chic de Montand, le swing de Michel Legrand, la précision de Philippe Clay, ou la chaleur de Marcel Azzola. Par TELERAMA
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« Un musicien en effet indispensable » par Télérama
Catégories : Article de presse ( Article de presse )« S’il y a un inventeur du rock’n’roll, ce n’est pas moi c’est lui », disait Elvis Presley de Fats Domino, le chanteur et pianiste de la Nouvelle-Orleans qui vient de mourir, à l’âge de 89 ans, le 24 octobre dernier. Il rayonnait littéralement de bonheur, et les cinéphiles se rappellent son apparition chaleureuse dans le film de Frank Tashlin, « The girl can’t help it » (La Blonde et moi), chantant avec son bon sourire « Blue Monday ». En six disques et plus de soixante-dix chansons, le coffret retrace la carrière, de 1949 à 1962, de ce musicien en effet indispensable, puisqu’il donne une idée de l’euphorie en musique. Long live Fats !Par TELERAMA
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« Une période magique où Webster campait sur le toit du monde » par Le Son du Mo
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Entamant, dès 1940, des allers et retours entre de petites formations ou les grands orchestres de Duke Ellington ou Count Basie, le saxophoniste ténor Ben Webster, pur produit de la scène de Kansas City et qui, son existence durant, paya son tribu à l’alto de Johnny Hodges, bénéficia, si l’on peut dire, du surnom de « brute », pour l’approche virile des thèmes sur lesquels il portait son dévolu, en particulier grâce à l’usage d’une embouchure double lip. Sa sensualité, dans les ballades, lui permet pourtant de s’asseoir à la droite de Dieu (Coleman Hawkins) et à parité avec le Saint-Esprit swing (Leste Young). Ce double album rend compte – aux côtés de Cozy Cole, Art Tatum ou Michel Legrand – de cette période magique où Webster campait sur le toit du monde. Par Christian LARREDE – LE SON DU MONDE
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« Une anthologie remarquable » par Le Son du Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )Roi du zydeco (genre musical louisianais en créole français, mêlant des influences de rhythm and blues et d’expression folklorique) ? Pour l’occasion, le titre n’est pas usurpé, au bénéfice d’un chanteur et accordéoniste – sa cape, sa couronne, e ses dents en or – auquel John Mellencamp, Paul Simon ou Rory Gallagher ne manquèrent pas de rendre hommage. Mêlant le deux-temps de la musique cajun et la valse, cette personnalité extravagante tourna le dos à la plantation de canne à sucre, plongea dans les racines blues de Lightnin’ Hopkins et entraîna à sa suite une génération de musiciens. Une anthologie remarquable (figure ici « Clifton’s Blues », par lequel tout a commencé), et le portrait en sueur et rythmes frénétiques d’un pionnier, créateur d’un idiome propre.Par Christian LARREDE – LE SON DU MONDE
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« Un rôle primordial dans l’émergence du rock & roll » par Le Son du Monde
Catégories : Article de presse ( Article de presse )La disparition récente de Fats Domino rappelle le rôle primordial qu’il joua dans l’émergence du rock & roll. Cette compilation (120 des 200 enregistrements Imperial de Domino) se charge de d’établir un lien entre le bleu des origines et l’adoption du vernaculaire afro-américain par la jeunesse de l’Amérique triomphante des années cinquante. S’il n’a pas été l’unique artisan de ce phénomène, sa bonhommie lui a permis d’entrer dans les salons américains sans effrayer les classes moyennes blanches que l’hypersexualité d’un Little Richard ou le culot affirmé d’un Chuck Berry rebutaient. Par LE SON DU MONDE
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« J’ai quasiment l’intégrale de Django en coffrets édités par Frémeaux & Associé
Catégories : Article de presse ( Article de presse )J’ai commencé à écouter la musique de Django en même temps que j’apprenais la guitare, quand j’avais vingt ans et que j’habitais vers Montmartre, à côté du Clairon, un café ou jouaient des guitaristes manouches. J’ai essayé de comprendre comment ça se jouait, mais je n’y suis bien sûr pas arrivé tout de suite. Il a fallu très longtemps avant que ça marche ! Les disques de Django, il y en a des millions. A partir de là, j’ai acheté tout ce que j’ai pu trouver sur lui, notamment en compact, car à ce moment-là, au début des années 80, les vinyles n’existaient quasiment plus, et que c’était presque une honte d’en avoir encore. Sur ce coup, les fabricants nous ont bien eus. On s’est fait enfler, je leur en veux à mort ! On a été con, on a marché, les vinyles sont devenus un truc de collectionneur alors que ça a un son quinze fois meilleur. J’ai quasiment l’intégrale de Django en coffrets édités par Frémeaux & Associés. Par SAN SEVERINO