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  • « Cinq jeunes gens font de Paris la capitale du jazz » par Jazz Magazine
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    1961 : les Messengers ont huit ans et malgré les changements restent fidèles à eux-mêmes. L’équipe est à son sommet, un équilibre parfait et sans sagesse : audace, intuition, découverte, joie !  Jimmy Merytt tient la maison, Bobby Timmons incarne le grommellement jubilatoire du blues, débordant, approximatif parfois et totalement dans le coup. Wayne Shorter affiche paradoxalement un son de jeune homme lié à une très ancienne histoire du jazz, fluide et un peu nasillard. La mélodie n’est pas toujours nécessaire : on explore le halo des notes, on joue au yoyo avec les intervalles – Shorter balance entre une maîtrise parfaite de l’instrument et une découverte enfantine de ses improvisations. Lee Morgan, 23 ans, est au pic de sa jeunesse. Clarté incandescente du phrasé, ornementation tournoyante, audace de l’aigu… Au centre Art Blakey déverse son fameux « sac à charbon », roulement caractéristique qui précède chaque changement de chorus. Mais dans ses solos, il alimente le brasier en [...]

  • « INDISPENSABLE ! » par Paris Move
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    « Comme à l’accoutumée, le groupe Frémeaux & Associés frappe un gros coup et démontre, si nécessaire, toute l’étendue de son sérieux, de sa crédibilité et de son inlassable travail de recherches musicales, monumental et titanesque, mettant cette-fois en exergue ce véritable phénomène d’outre-Atlantique, à savoir la vogue et la vague-submersion des groupes vocaux féminins durant les sixties, explorant toutes les musiques populaires afro-américaine du XXème siècle, entre jazz, soul, doo-wop, pop, rhythm and blues et rock’n’roll…Jean-Paul Ricard, créateur et président de l’Association pour le Jazz et le Musique Improvisée (AJMI), journaliste à Radio France et conférencier, et Jean Buzelin, biographe, auteur de Sister RosettaTharpe, de La Fabuleuse Histoire de la Musique Américaine, The Blues (musique des bas-fonds), Etats du Sud à la fin du XIXème siècle, critique de jazz et de blues (Jazz Hot, Les Cahiers du Jazz, Soul Bag…), deux éminents spécialistes au curriculum vitae massif, as [...]

  • « Une beauté rayonnante » par Citizen Jazz
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    « Dès les premières notes nous sommes conquis. La pléthore de sorties discographiques remarquables ne peut pas occulter cet évènement : trois musiciens confirmés nous convient à une vision intensément novatrice. Avec New Stories, ces sommités qui n’ont plus rien à prouver nous apparaissent comme garants d’une beauté rayonnante.Hervé Sellin, à force de discrétion, nous ferait presque oublier quel immense artiste il est. S’il est connu comme le pianiste attitré de bon nombre de musiciens américains de renom, il n’est pas seulement un soliste accompli : les compositions et les arrangements font de lui un maestro de renom. L’histoire du jazz n’a aucun secret pour lui et sa parfaite maîtrise de la musique classique le rend tout autant familier des œuvres de Debussy ou de Dutilleux. Ce disque nous permet de l’entendre déployer sa musicalité habitée par une inventivité exquise.Le son de contrebasse de Jean-Paul Celea impose d’emblée son charme envoûtant, ses notes tenues et choisies avec [...]

  • « Una meritoria operazione di restauro. » Suono Magazine
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    « Il romanzo capolavoro Lo straniero di Albert Camus, il filosofo dell’assurdo, da cui è stato tratto il film di Luchino Visconti con Marcello Mastroianni e che ha ispirato la controversa canzone dei Cure Killing an Arab è ora disponibile su CD, con commento musicale originale, grazie a una meritoria operazione di restauro. » Par Massimo BARGNA – SUONO MAGAZINE

  • « Le parcours d’un pionnier dans la musique africaine moderne » par Télérama
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    Esprit révolutionnaire, Franklin Boukaka a été assassiné au Congo-Brazzaville en 1972, à 31 ans, et son œuvre a subi la censure. Cette anthologie ne rend pas seulement justice au charme de son répertoire (dont l’inoubliable « Bûcheron », album produit par Manu Dibango), mais éclaire aussi le parcours d’un pionnier. Il fut notamment l’un des premiers à réintroduire sanzas et autres instruments traditionnels dans la musique africaine moderne. Et joua un rôle clé dans la fédération des artistes congolais. Par TELERAMA

  • « A forcer les portes du paradis » par Télérama
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    Le son n’est pas terrible, d’accord. Mais passé les premières mesures, plus de raison d’y songer tant la musique explose, swingue et déborde d’intelligence. Directeur musical des Messengers d’Art Blakey (batterie), le jeune et déjà génial Wayne Shorter (sax) les entraîne vers les vastes aires d’improvisation ouvertes par Miles Davis et John Coltrane, permettant à Lee Morgan (trompette), Bobby Timmons (piano) et Jymie Merritt (contrebasse) de laisser parler leur immense talent. Une fête fantastique, qui culmine dans un « Night in Tunisia » à forcer les portes du paradis. Par TELERAMA

  • « Le tentet de Laurent Cugny nous émerveille » par Citizen Jazz
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    « Disons-le tout de go : la publication d’un album de Laurent Cugny est toujours un événement et Zeitgeist ne déroge pas à la règle. On retrouve bien des éléments qui caractérisent un certain nombre d’albums et de projets menés antérieurement avec l’ONJ ou le Big Band Lumière, pour ne citer que ceux-ci, et c’est très certainement une explication de la jubilation qui s’empare de l’auditeur à l’écoute des neuf pistes de ce tentet. On retrouve une musique pleine de groove, les claviers électriques – en l’occurrence ceux de Pierre de Bethmann et de Laurent Coulondre en plus de ceux de l’hôte de l’orchestre –, et l’âme d’un band directement hérité de ce qu’a réalisé auparavant Gil Evans. On a beaucoup dit que Laurent Cugny en est un héritier et il faudra le redire et le répéter tant c’est évident, mais on trouve surtout un orchestre qui déroule avec beaucoup d’élégance des morceaux qui prennent exactement le volume nécessaire. C’est peut-être ce mot - exactement - qui correspond le [...]

  • « L’âge d’or de la formation » par Jazz’in Lyon
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    « Voilà la recension complète d’une soirée à l’Olympia déjà partiellement parue en 1993 d’un concert d’Art Blakey et de ses Jazz Messengers. Et même si Blue Note a sorti en 2021 un concert de janvier 1961 avec la même équipe de furieux, ce disque possède le mérite de l’exhaustivité. Deux sets, 20 titres en trois Cd, avec un son d’époque. C’est l’âge d’or de la formation. Le saxophoniste s’appelle Wayne Shorter et le batteur le définit comme l’étoile montante du jazz, le trompettiste se nomme Lee Morgan, le pianiste Bobby Timmons et le contrebassiste n’est autre Jymie Merritt. La musique est fiévreuse, cela ne joue pas à l’économie, et le public est en folie, pire qu’à un concert de rock ! Les soli fusent de toutes parts et Blakey ne fait rien pour calmer sa troupe, bien au contraire. Naturellement, les morceaux emblématiques du groupe (et de l’époque) sont présents : Moaning, Blues March, Night in Tunisia, etc. De quoi satisfaire les nostalgiques mais aussi, faire découvrir aux pl [...]

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