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  • « Bouvelle brille par son swing et Romane est égal à lui-même » par Jazz Magazin
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    Pour son nouvel album « Allo Balthazar ?! », Romane s’est entiché de l’ancien « capitaine des petits prodiges » de Maurice Larcange, Eric Bouvelle. Registre d’accordéon plus musette sur « Swing valse » (Gus Viseur / Baro Ferret) et plus swing (moins vibré) sur « Stardust » (Hoagy Carmichael), on reprend « Smiles » de Charles Chaplin et deux titres de « Manouche Partie » dont la valse de Django Reinhardt « Chez Jacquet ». Les solos swing de Bouvelle brillent comme la nacre un jour de championnat du monde d’accordéon, Laurent Zeller (vln) rabouine à l’envi, Romane est égal à lui-même, tel qu’on l’a déjà souvent encensé ici.Par Franck BERGEROT - JAZZ MAGAZINE

  • « Une véritable leçon de jazz » par Jazz Magazine
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    Stan Laferrière retrace l’histoire du Big Band de 1915 aux 1980, du ragtime au funk et la fusion, en évoquant les styles et orchestres les plus marquants à travers un répertoire de sa plume. Ils sont quasiment tous là, les compositeurs et arrangeurs de Fletcher Henderson à Bob Mintzer, mais aussi les grands solistes qui ont donné au genre ses lettres de noblesse et dont Laferrière a su capter la lettre et l’esprit. Gageure tenue avec brio ! Non seulement le leader se meut comme un poisson dans l’eau dans une chronologie qu’il connaît parfaitement, mais son orchestre compte des solistes de qualité. Il fait preuve, de surcroit, d’une telle faculté d’adaptation et d’un tel swing que ce qui pourrait n’être qu’une pâle copie, voire une caricature, soutient la comparaison avec les « modèles » choisis. Tant et si bien que ce survol à l’allure de saga offre une véritable leçon de jazz dont les vertus pédagogiques sont complétées par le remarquable livret signé aussi Stan Laferrière. Est-i [...]

  • “She is in top form” par Blues & Rhythm
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    This is the third instalment of this series (‘Mahalia Sings’) within a series (‘Complete Mahalia Jackson’), containing the songs filmed by the Television Enterprise Corporation (TEC) at the Paramount Studios in Hollywood in June and July 1961, following Mahalia’s return from a trip to Europe and The Middle East. As on the first two CDs dealing with this material (FA 1324 and Fa 1325, reviewed in B&R317 and 319 respectively), she is in excellent throughout, and as with ‘When The Saints…’ on the preceding volume. I was expecting very little from her version of the overworked ‘He’s Got The Whole World In His Hand’s and so was very pleasantly surprised with this impassioned version. The accompanying musicians include Mahalia’s regular pianist and musical director Mildred Falls, Edward C. Robinson mainly on organ and possibly also piano, with Louise Overall Weaver-Smothers also on organ. The jazzers Barney Kessel (guitar), Red Mitchell (bass), and Shelly Manne (drums) make occasional a [...]

  • « Des interprétations désormais immortelles » par Classica
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    Enfin, à qui souhaite un premier contact avec l’une des plus grandes chanteuses de tous les temps , Billie Holiday, l’on ne saurait trop recommander cette Quintessence établie par l’excellent Alain Gerber, qui réunit quelques-unes de ses plus belles chansons, de 1947 à 1959. Outre un remarquable livret, l’auditeur bénéficiera d’interprétations désormais immortelles où la mélancolie le dispute à une passion déchirante.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

  • « Ces chansons qui ont bercé notre enfance » par Adem
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    Cet éditeur qui se donne comme but de préserver notre mémoire collective propose dans ce CD des chansons et comptines qui se transmettent de génération en génération et font donc partie de notre patrimoine immatériel et intemporel. L’intérêt du recueil ne réside pas seulement dans l’attrait de ces chansons qu’ont bercé notre enfance, mais aussi dans le fait qu’elles sont reprises en anglais, façon ludique d’introduire les enfants aux sonorités de cette langue. Le livret contient les textes dans les deux langues et le CD a reçu le « Grand Prix de l’Académie Charles Cros pour la défense du patrimoine sonore » Par ADEM

  • « Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguich » par Adem
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    Guignol est un personnage né à Lyon, qui a fait beaucoup de métiers : tisserand, chanteur des rues, garçon de ferme, etc. C’est bien connu qu’il n’aimait pas beaucoup travailler. Il était gentil, un peu bête. L’auteur a adapté quelques-unes de ses aventures, écrites par Jean-Baptiste Onofrio, (quatre pour être plus précis) dans lesquelles on l’entend chanter, se lamenter, mais aussi être espiègle et faire des bêtises. Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguish, elles sont accompagnées d’une jolie musique due à Gabi Lavasseur. Guillaume Farley chante les chansons.Par ADEM

  • « Un document exceptionnel » par Mythologie (s)
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    Ce document sonore exceptionnel, synthèse des cours donnés par le comédien lorsqu’il était professeur au Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 1986-1987, est le fruit d’un long travail initié en 2006 par le metteur en scène Georges Werler, qui assistait alors le comédien et l’avait enregistré. Il vient compléter un premier disque (également disponible aux Editions Frémeaux & associés) dans lequel le comédien exprime le sens profond du métier d’acteur. Par MYTHOLOGIE(S)

  • « La daronne du slam » par Causette
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    Pionnière du féminisme, elle a inventé l’art du parlé chanté, une sorte d’ancêtre du rap ou du slam. Yvette Guilbert fut, à la fin du XIXe siècle, la reine du café-concert. Ses textes drôles, truculents et engagés étaient, à l’époque, tout à fait d’avant-garde. Et la dame n’avait pas la langue dans sa poche ! Toulouse-Lautrec l’a immortalisée dans ses toiles, Proust lui a consacré un article et Freud est devenu son ami intime. Beau palmarès, la Yvette. Yvette en série. Episode 1 : Je ne sais quoi. Nathalie Joly se penche sur un demi-siècle d’amitié entre Freud et Yvette Gilbert. Les deux zigotos avaient un centre d’intérêt commun : les terres inconnues de la sexualité. Episode 2 : En vl’à une drôle d’affaire. La comédienne revient sur la départ d’Yvette pour New York et la création de son école de chant pour jeunes filles démunies. Episode 3 : Chansons sans gêne. Nathalie Joly explore la carrière cinématographique de Guilbert, qui la démarre à… 61 ans ! A contre-courant des normes [...]

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