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  • « Quatorze pièces de haut niveau » par Blues & Co
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    Après l’enthousiasmant et réjouissant « Rag’n boogie », Sébastien Troendle (diplômé du conservatoire de piano à Bâle) continue son travail d’explorateur pianistique dans l’univers intemporel du boogie-woogie. Enregistré au Downtown Studios de Strasbourg, cet improvisateur-compositeur de haut niveau, présente quatorze pièces musicales finement ciselées où le feeling est toujours aussi fortement ressenti. « C’est en piano solo que cette musique me donne le plus de frissons. J’ai donc enregistré « boogie on the ball » avec mes tripes et mes doigts, pour respecter l’énergie du live, le tout sur ballon, bien sûr ! » : dixit Sébastien Troendlé. Parmi les inspirations de ce talentueux artiste, il y a « Woodywood pecker boogie » : un clin d’œil à ce pivert qui a bercé son enfance. L’éponyme « Boogies on the ball » qui est un ravissement. Nous assistons à une pluie de notes, toutes aussi surprenantes que variées. Hommage à la liberté… de penser avec « Charlie’s boogie » ne peut que nous co [...]

  • « Caroline Loeb magistrale » par Le Magazine littéraire
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    On oublie l’actrice pour écouter l’auteur. Un habile jeu de lumière en clair-obscur escamote l’une pour laisser place à l’autre. On n’entend plus que les mots de l’écrivaine, sa cocasserie, sa malice, sa mélancolie aussi… interpréter Françoise Sagan sans la singer, c’est le défi que Caroline Loeb réussit magistralement.Par LE MAGAZINE LITTERAIRE

  • « Un hommage très complet » par Le Monde
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    « Je ne sais quoi, traitait de la correspondance de Freud avec la chanteuse, En v’là une drôle d’affaire de sa décision d’arrêter en pleine gloire, de transmettre à d’autres son parlé-chanté novateur et Chansons sans gêne de la fin de sa carrière, ses écrits, ses réflexions sur sa vie artistique, la séduction, la place des femmes dans un monde d’hommes. L’ensemble constitue un hommage très complet à celle qui aura donné ses lettres de noblesse au patrimoine de la chanson de cabaret ou de café-concert, avant d’être l’exploratrice de textes précieux. (…) Un coffret de 3 CD avec le répertoire de chaque épisode. » Par Sylvain SICLIER

  • « l’art de faire vivre un texte, d’en exprimer la modernité » Chants…Songs
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    Elle fut une grande voix de la chanson, pionnière du féminisme. Dans un coffret étonnant de 3 CD, Yvette Guilbert voit son répertoire revisité par Nathalie Joly. Et de belle manière. Elle fut l’amie de Freud – qui écoutait en boucle sa chanson Dites-moi que je suis belle – et Toulouse-Lautrec l’immortalisa. Reine du café-concert à la Belle Époque, Yvette Guilbert a marqué les annales de la chanson par un répertoire très en avance et pas ses prises de position féministes. La dame était une pionnière du genre à une époque où ces dames étaient corsetées et soumises à la férule de leur époux. (…) Femme émancipée s’il en fut, Yvette Guilbert revit sous la voix de Nathalie Joly qui, après un long travail de recherches, revisite dans un coffret de trois disques l’univers de la créatrice du Fiacre. Car Nathalie Joly l’interprète de belle manière : si elle reprend ses chansons, elle traduit  on esprit et ses engagements dans un langage contemporain et une présentation moderne. Au piano, Je [...]

  • « L’objet est soigné, musicalement classieux » par Chants…Songs
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    « De la télévision à la chanson, il n’y a qu’un – petit – pas. La preuve avec les nouvelles aventures latinos de Karl Zéro et un album au titre long comme un jour sans pain. Pour lancer son album, Karl Zéro n’a pas fait dans la demi-mesure, à son habitude, pour choisir son titre. Qu’on en juge : Songs for Moonlight Swim and Otros Tipos de Ocupaciones. Dans la droite lignée des orchestres swing, tropicaux et raffinés des années 40 et 50, Karl Zéro revisite ici des morceaux de new wave, d’électro-rap ou s’amuse à détourner des incontournables comme L’Eau à la bouche, le classique de Gainsbourg revu et corrigé en version brésilienne… qui fleure bon le sable d’Ipanema. Chantant en français, russe ou arabe, Karl Zéro joue sur un vintage de bon aloi en s’entourant d’une sacrée brochette de musiciens du jazz parisien qu’il a conviée au studio Ferber à Paris. Et c’est Raphaël Lemonnier (compagnon de route de China Moses entre autres) qui mène la danse et a signé les arrangements de l’opus [...]

  • « Un disque qui rend hommage au rebetiko » par DNA
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    « C’est d’abord un film de Tony Gatlif. C’est aussi, grâce au label Frémeaux et associés, un disque qui rend hommage au rebetiko. Comment une telle musique, marquée par l’histoire et ses violences, éprise d’un profond sentiment de liberté, portée par la mélancolie des plus déshérités n’aurait-elle pas pu toucher l’âme de Tony Gatlif ? C’est lors d’un voyage effectué en Turquie, en 1983, que le cinéaste des Roms et des communautés aux semelles de vent découvre le rebetiko, cette musique des bas-fonds d’Athènes et de Thessalonique, apportés avec leur baluchon par les Grecs d’Asie mineure chassés par Atatürk lors de ce que la mémoire collective hellénique a retenu sous le nom de la Grande Catastrophe de 1922/1923. Cette musique, marquée par l’influence orientale, le métissage des cultures, où cohabitent l’oud et le bouzouki, est au coeur de son film Djam. « C’est une musique de malaimés, mais de gens fiers d’être ce qu’ils sont », commente Tony Gatlif. Il en restitue, dans cette band [...]

  • « Une lecture à proprement inouïe » par le Magazine Lire
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    Si notre prison est sans fenêtre, notre destin sans issue, toutefois demeure la possibilité de les chanter jusqu’à l’ivresse. Avec « Les Soliloques du pauvre » et « Le cœur populaire » de Jean Rictus (1867-1933) lus par Daniel Mesguich, c’est l’expérience de la subordination de la misère à la beauté d’un chant qui nous est offerte. On connaît l’immense talent de l’acteur. On sait que le poète fascina Céline et Queneau, que Mallarmé trouva « géniale » sa réinvention de la langue loin des « mots de la tribu ». Avec cet enregistrement, on découvre ce qu’une lecture peut avoir de proprement inouï. D’autres acteurs (et pas des moindres), des chanteurs également se sont lancés dans la récitation de ces poèmes. La Maison de la poésie invita même un rappeur qui s’en était emparé. Seul Daniel Mesguich pouvait délivrer le verbe et le rythme de Jehan Rictus de la légende que les autres se plaisent à entretenir dans leur interprétation. Bien sûr le poète eut une enfance difficile, connut la f [...]

  • « Un témoignage enthousiasmant de ces soirées parisiennes » Par Classica
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    Que dire d’un autre inédit prestigieux présentant en deux CD les concerts de l’orchestre de Duke Ellington à l’Alhambra de Paris en octobre et novembre 1958 ? Vingt-deux morceaux et medleys font revivre dans d’excellentes conditions acoustiques la présence sonore soyeuse, parfois féroce, mais toujours empreinte d’une belle délicatesse harmonique, de la formation du Duke. Les solistes sont de première classe (spécialement Paul Gonsalves, Clark Terry, Johnny Hodges, Sam Woodyard), la version de « Diminuendo ans Crescendo in blue » rappelle celle, historique, de Newport deux ans auparavant. L’occupation favorite d’Ellington, davantage que jouer ou composer, était d’écouter son orchestre. Le témoignage enthousiasmant de ces soirées parisiennes ne peut que nous incliner à partager son choix.Par Jean-Pierre JACKSON - CLASSICA

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