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  • « Sa dextérité instrumentale est sans failles » par ABS Magazine
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    « Ce pianiste alsacien est diplômé de l’Académie de Bâle. Son éclectisme musical va du jazz au reggae en passant par le blues, la chanson française et…. le Ragtime et le Boogie Woogie. C’est son deuxième album pour Patrick Frémeaux, après « Rag ‘n Boogie » (FA 8507) et sa dextérité instrumentale est sans failles. Ce n’est pas pour rien qu’il a été invité à donner un concert apprécié au fameux Scott Joplin Festival 2016 à Sedalia, Missouri. Il a aussi écrit une méthode de Boogie Woogie publiée par les Éditions Henry Lemoine en 2016. C’est une musique qu’il préfère interpréter en solo et il déploie tout son savoir-faire dans ces 14 faces instrumentales de A La La (A = la note la !) en medium au bien balancé Quelques Flocons inspiré par le fait que ces enregistrements ont été réalisés en hiver comme un Winter Boogie plus enlevé, en passant par des faces rapides qui donnent envie de bouger en rythme comme Chapel Street Boogie et Charlie’s Boogie. On notera de bonnes doses d’humour qua [...]

  • « On aime ! » par ABS Magazine
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    « On peut saluer cette initiative de remettre à disposition des amateurs de jazz (surtout) mais aussi de blues et de gospel, de larges extraits de la bande son d’un film réalisé par Louis et Claudine Panassié à la fin des sixties, sous la direction tutélaire du père Hughes bien entendu. Deux long playings étaient parus en 1971 mais il restait de nombreuses faces inédites qui prenaient la poussière sur des étagères, entre autres, des faces de tournages de 1972, postérieures à la parution des LP. Le passage du vinyl au laser a permis d’ajouter 30 minutes de musique à chacun des deux volumes et il y en a encore en réserve de quoi faire un volume 3, voire 4. Les amateurs de blues se régaleront de faces gravées à Montauban en 1969 : deux de Memphis Slim dont l’une, à sa demande est traduit en live par Madeleine Gautier (Beer Dinking Woman – La Buveuse De Bière) et deux faces de John Lee Hooker. Quant aux amateurs de gospel, ils y trouveront aussi leur compte avec 6,35 minutes d’un serv [...]

  • « Recommandé sans réserves comme toute la série » par ABS Magazine
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    « Et voici le troisième volume (sur 4) issu de la bande son d’enregistrements filmés par la Television Enterprise Corporation en 1961 en Californie. Comme dans les autres volumes on retrouve, dans ces 21 faces, un mélange de quelques Negro Spirituals, de Gospel Songs plus nombreux et pris aux meilleures sources et de quelques Hymnes. Mahalia Jackson y déploie son talent exceptionnel fait de convictions religieuses en béton, d’un charisme hors normes et d’une sensibilité exacerbée à fleur de peau alliés à une diction impeccable et à un dynamisme communicatif qui transcendent aussi les morceaux lents, plus solennels et introvertis comme Just Tell Jesus, Nobody Knows The Trouble I’ve Seen, The Holy Bible, I Surrender All, etc. Il faut dire qu’elle bénéficie d’un soutien sans failles de ses partenaires, surtout de sa pianiste, la sensationnelle (et sous-estimée) Mildred Falls. On notera ici les faces empruntées aux grands compositeurs de gospel de l’époque comme Thomas A. Dorsey (It’s [...]

  • « Cette anthologie est un MUST absolu » par ABS Magazine
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    « Clifton Chenier (1925-1987) est un musicien génial qui a quasiment inventé à lui tout seul un style musical, le Zydeco, un mélange parfait de blues, de R&B, de pop et de musique cajun. Il en est à l’origine en tout cas. Il est né près d’Opelousas dans le sud-ouest de la Louisiane dans une famille de musiciens (accordéonistes, guitaristes, violonistes et joueurs de rubboards). Adolescent, Clifton apprend à jouer de l’accordéon diatonique (un ton) et son frère Cleveland (1921-1991) joue du rubboard. Ils se produisent dans les bals du samedi soir (les fais-do-do) tout en assumant des petits boulots (agriculteurs, chauffeurs pour Gulf…) et, dès 1941, Clifton passe à l’accordéon chromatique (tous les tons) tandis que Cleveland passe du rubboard en bois au frottoir en fer blanc qu’il « caresse » avec six décapsuleurs de bouteilles à chaque main. Ils inventent la musique zydeco moderne, montrant la voie à des douzaines d’orchestres de ce genre, encore extrêmement populaires en Louisian [...]

  • « Pourfendeur de la scolastique » par Le Figaro
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    « Héritier ? Onfray l'est assurément. L'auteur duTraité d'athéologie, pourfendeur de la scolastique, vit comme un moine (il projetait de l'être dans sa jeunesse mais, comme il le confie, il est compliqué d'être moine sans avoir la foi !). Toujours vêtu de noir, il travaille sans cesse. Peut écrire jusqu'à 25.000 signes par jour. Enseigne dans son Université populaire sans en tirer profit. Un moine qui cependant ferait le tour du monde. Traduit dans de nombreux pays, Michel Onfray a un agenda de père abbé. Les médias se l'arrachent et il ne se passe pas un trimestre sans qu'il fasse la une d'un magazine. »Par Vincent TREMOLET DE VILLERS - LE FIGARO

  • « Michel Onfray chante le temps virgilien » par Philosophie Magazine
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    « La mort de son père en novembre 2009 lui a donné l’impulsion de ce livre définitif, annoncé comme le premier tome d’une trilogie : la Nature, l’Histoire, la Sagesse, rien moins qu’une « brève encyclopédie du monde »… Cosmos est placé sous le signe de l’étoile Polaire que son père lui avait appris à voir pour ne jamais se perdre, l’étoile de ce pôle Nord où ils voyagèrent ensemble, étoile qui, justement, était cachée sous les nuages le soir où le père mourut dans les bras du fils, étoile qui raconte le cosmos comme « lieu généalogique et païen de la sagesse », étoile, enfin, comme « point de repère existentiel » d’une vie digne de ce nom. (...) Dans les pas de son père, Michel Onfray chante le temps virgilien, la culture comme agriculture (conservation, dépassement et transfiguration de la nature), le penseur des champs contre le penseur des villes, le paganisme antique, le sens de la terre et du ciel (où ne se trouvent ni Idées ni dieux, mais l’immensité physique de l’Univers), [...]

  • « Une amoureuse de chanson et d’histoire » par I/O
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    « (…) Il ne fallait pas moins qu’une femme d’exception pour redonner des couleurs à Yvette. Sa plume magnifique ne pouvait pas être mieux servie que par une amoureuse de chanson et d’histoire qui travaille depuis plus de dix ans à exhumer les traces de cette femme disparue. Mais où sont donc toutes les Nathalie Joly de ce monde ? »Par Lola SALEM –  I/O

  • « Ce madison swingue agréablement » par Jukebox
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    La danse en ligne que l’on qualifie de country, très populaire de nos jours, pratiquée par des milliers d’adeptes, s’inspire du madison. Après le rock’n’roll qui se danse à deux puis le twist qui voit chacun se démener de son côté, le madison propose une véritable nouveauté, tous ceux qui se trouvent sur la piste exécutant les mêmes pas, autant que possible à l’unisson. Comme tous les airs nouveaux, le madison nous vient de là-bas, d’outre Atlantique, où Al Brown’s Tunetoppers avec Cookie Brown créent « The Madison » (Amy N°23). Le même mois (avril 1960), sort « The Madison Time, Part 1 » du Ray Bryant Combo (Columbia, N°30). Empruntant un peu au rythme du stroll, le madison swingue agréablement. Ces premiers exemples laissent une belle place à l’orgue et au saxo, ce qui leur donne une coloration jazz ou R&B. En juin 1962, dirigé par le formidable guitariste américain Mickey Baker, Billy Bridge (1945-1994) enregistre « Le Grand M », « Ça C’Est Le Madison » et « En Twistant Le Madi [...]

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