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  • « Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguich » par Adem
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    Guignol est un personnage né à Lyon, qui a fait beaucoup de métiers : tisserand, chanteur des rues, garçon de ferme, etc. C’est bien connu qu’il n’aimait pas beaucoup travailler. Il était gentil, un peu bête. L’auteur a adapté quelques-unes de ses aventures, écrites par Jean-Baptiste Onofrio, (quatre pour être plus précis) dans lesquelles on l’entend chanter, se lamenter, mais aussi être espiègle et faire des bêtises. Racontées avec beaucoup d’entrain par Daniel Mesguish, elles sont accompagnées d’une jolie musique due à Gabi Lavasseur. Guillaume Farley chante les chansons.Par ADEM

  • « Un document exceptionnel » par Mythologie (s)
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    Ce document sonore exceptionnel, synthèse des cours donnés par le comédien lorsqu’il était professeur au Conservatoire national supérieur d’art dramatique en 1986-1987, est le fruit d’un long travail initié en 2006 par le metteur en scène Georges Werler, qui assistait alors le comédien et l’avait enregistré. Il vient compléter un premier disque (également disponible aux Editions Frémeaux & associés) dans lequel le comédien exprime le sens profond du métier d’acteur. Par MYTHOLOGIE(S)

  • « La daronne du slam » par Causette
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    Pionnière du féminisme, elle a inventé l’art du parlé chanté, une sorte d’ancêtre du rap ou du slam. Yvette Guilbert fut, à la fin du XIXe siècle, la reine du café-concert. Ses textes drôles, truculents et engagés étaient, à l’époque, tout à fait d’avant-garde. Et la dame n’avait pas la langue dans sa poche ! Toulouse-Lautrec l’a immortalisée dans ses toiles, Proust lui a consacré un article et Freud est devenu son ami intime. Beau palmarès, la Yvette. Yvette en série. Episode 1 : Je ne sais quoi. Nathalie Joly se penche sur un demi-siècle d’amitié entre Freud et Yvette Gilbert. Les deux zigotos avaient un centre d’intérêt commun : les terres inconnues de la sexualité. Episode 2 : En vl’à une drôle d’affaire. La comédienne revient sur la départ d’Yvette pour New York et la création de son école de chant pour jeunes filles démunies. Episode 3 : Chansons sans gêne. Nathalie Joly explore la carrière cinématographique de Guilbert, qui la démarre à… 61 ans ! A contre-courant des normes [...]

  • « Tout nous séduit » par Le Soir
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    C’est le septième volume de cette histoire sonore de la littérature française, formidablement racontée par Alain Viala et appuyée par des textes lus magnifiquement par Daniel Mesguich. Ici, on va d’une guerre à l’autre. D’Apollinaire et « Le Feu » de Barbusse à Aragon, Eluard et Desnos, via Proust, Gide, Malraux, Céline, Prévert… La voix grave de Viala, la voix posée de Mesguich, le propos, tout nous séduit.Par J.-C.V. – LE SOIR

  • « Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne » par Nos Echanteurs
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    « Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne » par Nos EchanteursLe simple fait de chroniquer un disque de Lalanne déclenchera son lot de sarcasmes. Pour l’essentiel, on aura tort. Ça vaut le coup d’entendre Francis Lalanne dans l’habit des mots de Léo. Cette voix que nous avons aimé, qui s’empare de ces titres emblématiques que sont « Avec le temps, Les anarchistes, C’est extra, Vingt ans, L’affiche rouge (sur ce titre, convenons que Lalanne en fait sans doute un peu trop : il lalannise !), La mémoire et la mer. Et, en duo avec Ferré lui-même, Pauvre Rutebeuf ». Bon, on tiquera un peu sur cette archive sonore (tirée des Francofolies de la Rochelle 1987) où Ferré annonce le couplet nouveau que Lalanne adjoint au « Temps des cerises » et interprète. Suivent deux amples chansons (10’57 et 8’44) de Lalanne, aussi inédites qu’intéressantes, consacrées à Léo, en « mode Ferré ». (...)Par Fred HIDALGO – NOS ENCHANTEURS

  • « Un parcours sonore original » par Enseignement - Eca
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    Pour la philosophe et essayiste Laurence Vanin, la conscience originelle de l’homme d’être un maillon faible au cœur d’une nature potentiellement destructrice a toujours été son moteur. C’est ce qu’illustre sa lecture de l’histoire de la philosophie, de l’Antiquité à Heidegger, en passant par l’ethnologue André Leroi-Gourhan. Au cœur de ce parcours sonore original, accessible aux élèves de terminale et aux néophytes, la question de la technique. Cette dernière permet de redonner à l’homme une puissance qu’il ne possède pas en renvoie ainsi à « sa fragilité créatrice ».Pa M.B. – ENSEIGNEMENT -ECA

  • « Un beau répertoire » par Jazz News
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    Un pianiste à bretelles patenté (Eric Bouvelle), un enfant de La Chope des Puces (Roman), un archer tirant sur la corde sensible (Laurent Zeller), leurs comparses Mathieu Chatelain et Laurent Delaveau, une sélection sophistiquée de swing musette… Ça souffle, ça frotte, ça respire, ça prend son temps… et ça fait du bien. Le bon goût devient denrée rare mais heureusement pour nous, Bouvelle, Romane et Zeller en ont encore dans la besace. Ô cher lecteur, foin ici d’expérimentations téméraires mais n’est-il pas bon parfois de se sentir comme à la maison, après un long voyage ? Bon, il faudrait peut-être refaire la peinture de l’entrée, à savoir un ou deux standards joués ici en version pas très originale, mais le reste est si bien agencé… Un beau répertoire, d’élégantes compositions (« La Camarde »), le tout réalisé avec cœur et humilité. « Allo Balthazar ?! Sois tranquille, ton fils Romane et ses copains s’en sortent très bien… »Par Michel MERCIER – JAZZ NEWS

  • « On peut se fier à l’excellence de cette interprétation » par Jazz News
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    Voici un cas d’école : comment (et pourquoi) rendre un tel hommage à pareil monument ? en l’occurrence, le cultissime « Manouche Partie » de Jo Privat. Au cinéma on appellerait ça un remake, en musique classique une version, tant on est proche de l’original : tracklisting, arrangements, citations de chrorus… jusqu’au sequencing. Seule différence : l’absence de violon et de clarinette tandis que le tuba remplace la contrebasse. La redondance avec l’original laissera perplexe les possesseurs de l’opus de référence mais tout amateur de swing et de 6e mineure en étant encore dépourvu (en reste-t-il ?) pourra se fier sans crainte à l’excellence certaine de cette interprétation. Le livret – merci à Frémeaux de poursuivre son travail d’éditeur – éclaircira quelques anciens mystères. Enfin l’avantage avec Givone et Swing of France, c’est qu’on peut encore se hâter d’aller les apprécier au concert.Par Michel MERCIER – JAZZ NEWS

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