« Maintenant que les bars et clubs de jazz ont officiellement le droit d’accueillir des clients et des suicides, il faut absolument les encourager avec ces mois de pandémie. Que ce soit le Upstairs (rue Mackay), Le Dièse Onze (rue St-Denis) ou La maison du jazz à Laval, celle de Montréal ayant fermé ses portes, la note bleue sera donc au rendez-vous. À défaut de festivals et de voyages, il faudra certainement attendre encore un peu, allons jeter une oreille dans l’un des derniers clubs de jazz à Paris : Le caveau de la Huchette. Propriétaire de cet endroit mythique depuis les années 70, le vibraphoniste/Dany Doriz (1941) fait l’objet d’une rétrospective avec que du beau monde. Après avoir écrit sur une anthologie du Caveau (1965-2017) il y a quelques années, le patron se fait donc plaisir avec moult rencontres. Qu’il soit en big band, en petite formation, celui qui fut influencé par le regretté Lionel Hampton, maitre en la matière ne lésine pas sur le swing. Des instants de bonheur pour tous. Ce triplé accompagnera votre été sans aucun doute. »
Par Christophe RODRIGUEZ - BLOGGER
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