“Perfectionniste à l’excès, Yves Montand n’aimait pas ses anciens disques. C’est sans doute pour cela qu’on ne réédita jamais “Ainsi va la vie”, “La grande cité”, “La légende du boogie-woogie”, “Ce monsieur-là” ou “Un p’tit bock”... qu’on trouve dans le premier volume de cette indispensable intégrale. Le meilleur d’Yves Montand se trouve bien dans cette décennie 1945-1955. Bonne idée d’avoir joint des extraits de la bande sonore des “Portes de la nuit”, film étrange et attachant, critiqué à sa sortie, mais aujourd’hui fort justement réhabilité.” PHONOSCOPIES N° 33