Le timbre est velouté, avec ce qu’il faut de gravité et d’âpreté cachées dans l’ascension lyrique. Il y a chez elle une force terrienne, une façon musclée d’exister qui font fuir les clichés de la chanson réaliste et de celle qu’on dit leste. Avec Nathalie Joly, les années 1890-1940 vous collent à l’oreille et cognent cœur et estomac.
Par Gilles COSTAZ - WEBTHEATRE
Par Gilles COSTAZ - WEBTHEATRE