« (…) Démarche diamétralement opposée avec Daniel-Sidney Bechet. Fils du légendaire saxophonistesoprano qui popularisa le jazz New Orleans dans la France de l’aprèsguerre, le batteur est le gardien de la flamme et de l’héritage paternel. Pour perpétuer cette mémoire, il s’est associé depuis 2009, notamment à Olivier Franc (saxophone-soprano), l’un des grands spécialistes du genre. Il suffit d’écouter leur CD « Sidney Bechet, ses plus grands succès » (Frémeaux & Associé), qui comporte deux inédits sur disque, pour retrouver cette ambiance unique d’un jazz festif, joyeux, populaire, dansant voire insouciant. Un excellent remède à la crise et à la sinistrose ambiante. Ils sont tous les dimanches jusqu’au 6 avril (sauf le 23 mars) au Théâtre des Bouffes-Parisiens à 15 h 30. »
PAR DIDIER PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN
PAR DIDIER PENNEQUIN – LE QUOTIDIEN DU MEDECIN