Depuis la nuit des temps, l'organisation humaine, pour se structurer, doit définir le bien et le mal. Naguère, l'association Arte-Filosofia organisait un colloque réunissant André Comte-Sponville, Françoise Dastur et Michel Terestchenko, autour de l'une des questions les plus essentielles de l'histoire de la pensée, celle du mal. Citant Leibniz ("Si Dieu existe, d'où vient le mal ? S'il n'existe pas, d'où vient le bien ?"), les éditions Frémeaux et associés proposent de se plonger dans cette passionnante réflexion. Ainsi Michel Terestchenko y interroge, au travers du documentaire Le jeu de la mort, vu naguère sur France 2, la "banalité du mal" et y défend la thèse de la vulnérabilité fondamentale du sujet moral.
par L'ALSACE
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