«Une réédition exceptionnelle ! »

« En 1962, L’Aiglon d’Edmond Rostand prend un nouvel envol. A Paris, sur la scène du Châtelet, Pierre Vaneck triomphe dans le rôle créé soixante-deux ans plus tôt par Sarah Bernhardt dans le théâtre d’en face. La critique, au diapason du public, parle de «meilleure interprétation de tous les temps». L’occasion nous est données, à nous qui n’étions pas là, de juger sur pièce…radiophonique. Puisque grâce à Moshe-Naïm, après deux années de scène, en 1964, les comédiens entrent en studio pour enregistrer une version sonore en compagnie de Maurice Clavel. L’écrivain - Journaliste – Philosophe, très impliqué dans le projet, a peaufiné des textes de liaison qu’il dit sur le ton d’un reporter dans le feu de l’action. Parmi les comédiens, au côté de Pierre Vaneck dont la prestation peut servir d’illustration à un cours sur la musique de la langue française, citons Jacques Dumesnil qui joue un Flambeau très … Gaullien. Une réédition exceptionnelle ! »
Par René Troin — ENSEIGNEMENT CATHOLIQUE