« Si vous n’étiez pas au Duc des Lombards, club où les conditions sont idéales (proximité, intimité, ambiance, communication entre public et musiciens), et bien précipitez vous sur ce live ; vous y retrouverez (…) une version de 9’ de Dear Old southland, morceau emblématique des jazz funérailles à la Nouvelle Orléans, d’abord interprété comme un cantique religieux puis à la manière des vieilles fanfares, One for the Duke de Johnny Hodges, dans un traitement bluesy, Mamanita et The crave, deux compos pour piano de Jelly Roll Morton représentatives de la syncope latine (dixit JRM cité par Evan dans les notes de pochette) que le groupe interprète à sa manière. Voilà une musique et un disque qui rendent heureux et devraient être remboursés par la sécurité sociale. »
Par Francis COUVREUX - DJANGOSTATION
Par Francis COUVREUX - DJANGOSTATION